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Hamed

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Tableau de bord

  • Premier article le 27/02/2013
  • Modérateur depuis le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • Hamed 2 avril 13:12

    @Epsilone

    Merci pour la réponse, je vous comprends mieux et votre réponse est claire. Tout ce que je peux dire combien même vous dîtes que « Je n’ai pas été obligé d’écrire ce livre ni me suis senti inspiré », vous êtes une personne qui cherche à comprendre l’humain que nous sommes. Comme je le fais moi.

    Et ce n’est pas facile ; il faut surtout être éclairé par sa pensée et il faut aussi l’avouer, l’être humain bien qu’il pense ne signifie pas qu’il est éclairé.

    De même pour la « recherche du noble », ce n’est pas donné à tous les humains ; le monde est fait de bonnes gens, d’esprit noble, de mauvaises gens, de gens sordides, ignobles ; mais il faut se dire ainsi va le monde. Je vous ai lu et je suis heureux de vous avoir lu et je pourrais aussi vous lire encore.

    Tout ce que je pourrais vous dire « bonne continuation dans votre travail, dans vos œuvres », sachez que vous apportez un plus à l’humanité. 
    Heureux de vous avoir connu.

     



  • Hamed 1er avril 16:18

    @Epsilone

    Merci pour le message. C’est vrai, je n’ai pas tout lu, et cela demande du temps, mais j’essaie de comprendre votre pensée. Je crois que pour avoir écrit ce gros livre, c’est que vous avez été inspiré de le faire.

    En clair, du moins selon ce que je comprends, vous avez été obligé de l’écrire, et par inspiration que l’on ne commande pas, on fait ce qui nous est dicté, surtout que c’est dans le sens du bien, on y est encouragé, et même récompensé intérieurement.

    Et c’est la raison pour laquelle je vous ai posé la question sur la réincarnation, qui m’a intéressé parce que c’est un sujet métaphysique et j’ai voulu comprendre votre idée. Vous avez beaucoup écrit dessus, mais vous ne donnez pas de réponse ; à mon sens, vous dissertez. D’ailleurs ce passage :

    "Nous verrons que si la réalité de la réincarnation pouvait être établie, cela pourrait changer profondément le paysage philosophique. Et que savons-nous de ce qu’il en adviendrait si ces observations faisaient l’objet de l’investigation qu’elles méritent ? Je veux donc montrer ici l’immense enjeu de la question et éveiller l’intérêt pour elle.
    Et je ne parle pas du tout de la satisfaction que nous pourrions éprouver à savoir que nous allons survivre.

    Bien que cette question soit centrale pour mon propos, je ne veux pas aborder ici la question de la réalité de la réincarnation et ceci pour trois raisons. La première est que, si je suis convaincu de sa réalité c’est, pour une part au moins, grâce à une expérience personnelle qui ne vaut que pour moi et dont je ne peux tirer argument. La seconde est que ceci est un ouvrage de philosophie. La troisième est que c’est un travail qui revient aux psychologues. Je m’intéresserai donc à la description de ces observations et je tenterai de répondre aux questions et objections que l’on peut énoncer.

    La question qui m’intéresse plus particulièrement ici est d’essayer  de  savoir si cette révolution silencieuse va  finir  par  s’imposer en dépit de la contre-révolution. L’idée de réincarnation présente-elle une force de conviction rationnelle et expérimentale qui finira par vaincre toutes les résistances psychologiques et sociologiques ou ne sera-t-elle qu’un feu de paille ?« 

    Vous parlez d’expérience personnelle, mais combien elle ne vaut que vous et vous dîtes que vous ne pourrez argument, mais dans un ton impersonnel, commentez cette expérience comme si elle n’est pas à vous, peut-être pourriez-vous être plus clair d’abord avec vous et ensuite nous qui vous écoutons. Et peu importe s’il n’y a pas d’argument. Ne perdez pas de vue que votre expérience est en fait une pensée malgré qu’elle soit »enveloppée".

    Merci pour le post ainsi qu’à xana qui trouve plaisir à nous lire. Et la lecture fait du bien.



  • Hamed 31 mars 17:00

    @Epsilone

    Merci pour les messages. Une question cependant, qu’entendez-vous par « réincarnation ». Je reprends un fragment dans la conclusion :

    "Mais à vrai dire, l’essentiel de cet ouvrage, au moins à mes yeux, n’est pas la tentative d’essayer d’introduire en philosophie la question de la réincarnation. Ce n’est que la condition de possibilité de la suite ; et cette suite, c’est l’incitation à vivre noblement. La vraie révolution silencieuse elle serait là, mais sur ce point je risque de rencontrer encore plus de résistances. Et c’est aussi, mais c’est sans doute voué à l’échec, la tentative de faire pièce au règne de la pseudo-spiritualité qui devrait succéder à la fin du matérialisme comme l’a probablement très bien vu René Guénon et qu’il a expliqué dans Le règne de la quantité et les signes des temps.« 

    Vous dîtes dans ce texte : »et cette suite, c’est l’incitation à vivre noblement.« et encore : »qui devrait succéder à la fin du matérialisme comme l’a probablement très bien vu René Guénon et qu’il a expliqué dans Le règne de la quantité et les signes des temps."

    « La fin du matérialisme », qu’entendez-vous par là ? Et qu’est-ce que René Guénon a vu ? J’ai lu un peu Guénon, certes il a une vision du monde, mais je ne vois pas ce qu’il a vu. Peut-être Christian pourriez-vous éclairer ma lanterne si vous avez des réponses là-dessus ; là je comprendrez mieux ; je suis dans l’expectative d’une pensée qui peine à démarrer, et je n’y suis pour rien ; certainement par votre pensée qui je ne sais si elle a réellement penser sa pensée.

    Excusez mes mots, ils viennent tous seuls, je ne suis qu’un support humain.

    Merci pour vos messages



  • Hamed 29 mars 15:14

    @Epsilone

    Merci pour l’ouvrage que vous m’avez transmis ; très riche, c’est vrai mais il demande d’être précisé. Je reprends à la page 233 où vous dîtes :

    "Je ne vois pas très bien comment on pourrait sortir de là. Il y a une intention à l’origine de l’Univers ou il n’y en a pas. S’il n’y en a pas, nous n’avons rien à espérer, notre présence dans cet Univers est purement fortuite. S’il y a une intention, quelle est-elle ? Ou bien elle sert les objectifs du porteur de cette intention ; nous sommes l’équivalent de jouets, d’objets, et il n’y a rien non plus à espérer. Mais, si cette intention est bienveillante par rapport à nous, alors seulement nous avons notre place.« 

    Je peux vous répondre et je ne sais si vous serez d’accord.

     »On ne peut pas sortir de là parce qu’il n’y a pas de réponse puisque la pensée qui nous meut ne fait que nous interroger sur notre être ; elle ne nous donne pas de réponse. Et c’est valable pour tout être humain.

    Notre présence est purement fortuite ? Impossible. Si cela est vrai, l’univers forcément est fortuit, ce qui s’applique à nous ne peut que s’appliquer à lui. Or, si nous existons, c’est que nous sommes une réalité, avec tout ce qui est en nous et extérieur à nous.

    S’il y a une intention, quelle est-elle ?

    Puisque nous dans réalité, en tant qu’êtres pensants nous le sommes pas par nous-mêmes, nous sommes en fait pensés par notre pensée, et c’est une vérité qui peut dire le contraire ? cette pensée même nous empêche de connaître l’intention.

    Si nous connaissons l’intention de l’univers et nous compris, nous serons aussi des dieux

    Quant à : Ou bien elle sert les objectifs du porteur de cette intention ; nous sommes l’équivalent de jouets, d’objets, et il n’y a rien non plus à espérer.« Non, au contraire nous ne sommes pas des jouets mais des instruments en quelque sort divins pour réaliser une »intention supérieure« que nous ne connaissons pas. Et cela se montre dans les formidables progrès qu’a permis la Pensée aux penseurs humains : et qui nous dit ce que nous serons demain ?

    Et ici, vous avez raison : »Mais, si cette intention est bienveillante par rapport à nous, alors seulement nous avons notre place."

    Absolument, sinon nous n’aurons pas existé. Merci Christian Camus

     



  • Hamed 29 mars 11:03

    @Jean Keim

    Très juste ce que vous énoncez. Oui, l’au-delà sera tel que nous l’avons pensé dans notre vécu ; mais on ne peut savoir si ce qu’elle nous dit est ce qui nous attend.

    Un exemple. Vous résolvez un exercice de mathématique ou simplement vous envisagez un projet dans votre vie, et vous pensez que pour l’exercice de math, votre réponse est juste, de même que pour votre projet. Mais après les deux s’avèrent faux. Qui nous a trompé ? Est-ce nous ? Ou notre pensée ? Et surtout pourquoi ?

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