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Hamed

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  • Premier article le 27/02/2013
  • Modérateur depuis le 01/06/2013
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Derniers commentaires



  • Hamed 28 avril 11:41

    @njama

    Très juste ce que vous dîtes : « Ça c’est le discours des religions, y a que la foi qui sauve... »

    Je dirais même que c’est « absolu » votre approche. La question est : « D’où vient la foi ? Est-ce de l’homme ou de quelque prodige dont l’homme n’en sait rien ? »

    Précisément, la « foi vient à l’homme, et sans la »foi« , il n’y a pas de religion. Par conséquent si le »verbe« n’a pas existé, rien n’aurait existé ; il n’y aurait pas eu ni monde ni néant. Dans la religion chrétienne :

     » Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu.

    Il était au commencement en Dieu.
    Tout par lui a été fait, et sans lui n’a été fait rien de ce qui existe.
    En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes,
    Et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue.

    Jean 1. 1-4« 


    ,

     »La foi vient de Dieu« , et »celui qui n’a pas la foi vient de Dieu". Ce qu’il faudrait comprendre njama.

    Vous dîtes : "s’il ne suffisait que de cela, de prières, de rites, d’observances religieuses... qu’aurions-nous besoin de Lois divines, pour nous guider, rappelées par une succession de prophètes qui, cornaquaient leurs contemporains pour les remettre dans le droit chemin...« Là aussi, l’ordre, le futur, le présent et l’état vient de Dieu, sauf que l’on ne se rend pas compte car on ne pense pas nos pensées qui ne veulent pas nous le dire, et cela en raison d’un dessein divin qui nous dépasse, et surtout parce que le monde est par ce qu’il est.

    Je vous donne un exemple. La guerre à Gaza a été voulu et donc elle devait être ; les 2 millions et demi de Palestiniens qui souffrent l’enfer de même que les otages israéliens devaient passer par cette épreuve ; une épreuve qui a une finalité parce qu’elle esquisse le monde passé, présent et à venir.

    Si Dieu avait voulu, ils n’auraient pas souffert ; mais l’humanité est créée ainsi et évolue entre le bien et le mal. Les 35 000 martyrs palestiniens qui ont été tués par l’armée israélienne sont certes morts mais ils ne sont pas morts pour l’au-delà. Dieu les a choisi parce qu’ils devaient être un exemple de sacrifice pour le bien pour toute l’humanité.

    Et pour comprendre ce processus de la Création, du Verbe, il faut avoir la »foi« qui n’est pas donné à tous.

    Reste l’intelligence profonde qui n’est pas donnée à tous ; mais l’intelligence pour petite qu’elle soit donnée par le Verbe, par »Soit« et la »Foi« sont suffisante pour guider tout humain si petit qu’il soit dans la voie de Dieu, dans la voie du Bien qui doit lutter contre le Mal qui est nécessaire sans quoi le Bien ne pourrait exister comme »substance« qui fait »fonctionner« le monde.

    Vous dîtes : »et où serait notre libre arbitre, car la liberté est fille de l’inconnu

    C’est la vie qui forge l’âme, le futur vaisseau céleste... encore faut-il que l’ouvrier, et l’ouvrage l’aient bien bâti, fût-il un frêle esquif...« 

    Notre arbitre est en nous, dans notre être, dans notre pensée ; sans libre-arbitre, nous ne pourrons exister en »humain« , et c’est ce qui nous différencie des autres êtres vivants ; ni les plantes ni les animaux n’ont de libre-arbitre ; ils existent d’instincts. Pour la plante, elle croit selon un processus inné en elle, l’animal évolue seulement d’instinct, une pensée et une intelligence-instinct. L’être humain pensé réellement son humanité et son univers.

    Quant à »C’’est la vie qui forge l’âme, le futur vaisseau céleste... encore faut-il que l’ouvrier, et l’ouvrage l’aient bien bâti, fût-il un frêle esquif..."

    Cela relève certes de l’ouvrier mais aussi du « Verbe » qui le suis pas à pas sans qu’il en prenne conscience ; surtout qu’à la fin, il retourne vers Celui qui l’a créé « Humain ».



  • Hamed 10 avril 11:15

    @ilias

    Vous dîtes : « Insoutenabilité de la dette : L’accumulation exponentielle de dettes publiques et privées menace la stabilité du SMI. La situation est intenable à long terme et risque de déboucher sur une crise financière systémique aux conséquences dévastatrices.

    A titre d’exemple, le dette publique des USA est à fin 2024 de près de 35 trillions de $ [1 trillion = 1 000 milliards], alors que le PIB américain est un peu plus de 25 trillions de $, soit un ratio de dette publique sur PIB de 1,4, soit une proportion de 140% du PIB. Il fort vraisemblable qu’à fin 2025 la dette publique américaine serait au moins supérieure à 1 fois et demi la valeur du PIB américain. Les conséquences néfastes de cet état de fait économique est presque entièrement supporté par le reste du monde, le dollar étant toujours dans une grande mesure une monnaie mondiale d’échange, d’investissement et d’épargne. »

    Je regrette de vous dire : « Non ! C’est faux ce que vous énoncez ; vous comprenez mal le sens et le processus de croissance de la dette américaine. »

    Que le Pib des États-Unis compte pour plus de 25 000 Mds (milliards de dollars) et la dette US près de 35 000 Mds, soit 140% du Pib US n’est pas en soi une catastrophe. Pourquoi ?

    Une première réponse

    Tout simplement les 8 000 ou 10 000 milliards de dollars que la Fed américaine a racheté en bons de Trésor auprès du public américain et étranger via les banques américaines l’ont été par les quantitative easing (politique monétaire non conventionnelle), ce que s’appelle « monétisation » ; si la Fed garde ces masses de dollars dans ses bilans, c’est simplement pour dire au monde que certes, elle a monétisé une partie de la dette, mais qu’elle promet qu’elle va annuler progressivement ces rachats de dettes par la création monétaire en les remettant sur les marchés, ce qui signifie par le produit de la vente de ces bons de Trésor en milliards de dollars, elle détruira progressivement les milliards de dollars qu’elle a créés.

    Ce qui est faux ; elle ne peut les détruire pour la bonne raison que la Fed ne cesse ces QE, et son bilan ne cesse d’augmenter.

    L’autre réponse

    Ne perdons pas de vue que 35 000 Mds de dette américaine est libellé en dollars US, donc en monnaie domestique qu’il ne tient qu’à la Fed de diluer ou au Trésor américain d’effacer au moins une partie importante. Et qui peut empêcher la Fed d’annuler sa propre dette et il faut préciser « la dette intérieure ». La réponse : personne. Le trésor américain peut, avec l’aval du Congrès américain, effacer une partie de la dette publique. C’est un peu comme si un homme a emprunté une dette sur soi qu’il l’inscrit sur son compte personnel (un carnet de son domicile par exemple) puis décide après un temps de l’effacer, ou de déchirer ce carnet.

    La troisième réponse

    35 000 Mds de dollars est une dette brute signifiant une dette intérieure et une dette extérieure. Le plus grand problème pour les États-Unis porte surtout sur la dette extérieure ; et encore là, il faut entendre ce que les pays étrangers doivent à l’Amérique et ce que l’Amérique doit au reste du monde à travers les institutions internationales (FMI, BM, etc.) ou provenant d’accords bilatéraux.

    Et ce qui importe à la dette brute des Etats-Unis, c’est la dette extérieure nette ; si elle est négative et peu élevée, elle ne doit pas inquiéter la superpuissance ; si la dette extérieure est élevée, bien sûr elle doit inquiéter, mais là aussi, la monétisation de la dette extérieure peut toujours en dernier recours régler le problème, ce qui n’est pas dans l’intérêt des États-Unis, bien sûr.



  • Hamed 10 avril 10:26

    @ilias

    Votre approche se défend, mais la question porte sur la réalité du système monétaire international (SMI) qui est dominé par l’Occident ; et je ne pense pas que l’Occident voudrait le changer ; qu’il soit à bout de souffle ou non.

    D’ailleurs c’est votre analyse qui vous fait penser qu’il est à bout de souffle, n’empêche comme vous le dîtes que son hégémonie est fondé sur le dollar américain. Tout ce que vous énoncez sur les multiples défis est juste ; mais c’est aussi lié aux aléas du système comme il a été construit depuis qu’il s’est mis historiquement en place.

    Prenons l’instabilité financière. Vous dîtes que le système de change flottant est intrinsèquement instable. Je pense que vous vous trompez ; c’est précisément le change flottant qui a permis de libérer les pays d’Europe de la puissance américaine qui imposait le change fixe alors qu’elle n’avait pas assez d’or ; une partie de son stock d’or a été consommée dans les transactions internationales au bénéfice entre autre l’Europe.

    Vous dîtes « instabilité financière » alors que cette instabilité joue dans la dynamique des relations économiques internationales. Prenez la France ou la Grande-Bretagne ou n’importe pays d’Afrique ou reste du monde, quand ces pays enregistrent des déficits commerciaux, comment font-ils pour financer leur commerce extérieur, soit à puiser dans leurs réserves de change soit à emprunter ; dans les deux cas, ce processus de règlement de déficit se traduit par une dépréciation de la monnaie du pays déficitaire ; ce sont les dépréciations-appréciations qui expriment la vigueur du commerce mondial et il revient aux marchés monétaires de le réguler pour éviter qu’un pays s’enrichit aux dépens de l’autre.

    Bien sûr, les pays émetteurs de monnaies internationales comme l’est l’Occident sont toujours les grands gagnants dans leurs transactions commerciales avec les pays du reste du monde ; combien même les pays occidentaux sont gagnants sur cette donne ils sont aussi perdants sur une autre donne. Ceci simplement pour signifier que le privilège exorbitant ne constitue pas totalement une carte gagnante pour l’Occident, en particulier pour les États-Unis, avec le reste du monde.



  • Hamed 2 avril 13:21

    @xana

    Merci xana pour votre message ; j’apprécie votre réponse.



  • Hamed 2 avril 13:12

    @Epsilone

    Merci pour la réponse, je vous comprends mieux et votre réponse est claire. Tout ce que je peux dire combien même vous dîtes que « Je n’ai pas été obligé d’écrire ce livre ni me suis senti inspiré », vous êtes une personne qui cherche à comprendre l’humain que nous sommes. Comme je le fais moi.

    Et ce n’est pas facile ; il faut surtout être éclairé par sa pensée et il faut aussi l’avouer, l’être humain bien qu’il pense ne signifie pas qu’il est éclairé.

    De même pour la « recherche du noble », ce n’est pas donné à tous les humains ; le monde est fait de bonnes gens, d’esprit noble, de mauvaises gens, de gens sordides, ignobles ; mais il faut se dire ainsi va le monde. Je vous ai lu et je suis heureux de vous avoir lu et je pourrais aussi vous lire encore.

    Tout ce que je pourrais vous dire « bonne continuation dans votre travail, dans vos œuvres », sachez que vous apportez un plus à l’humanité. 
    Heureux de vous avoir connu.

     

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