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Orélien Péréol

Orélien Péréol

Auteur, essayiste, écrit nouvelles, pièces de théâtre... Acteur. Ex enseignant, participe de la sociologie de l'Analyse Institutionnelle...

Tableau de bord

  • Premier article le 09/12/2008
  • Modérateur depuis le 26/03/2009
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Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 décembre 2008 22:05

    Vous écrivez : "Soit C1 le comportement autorisé d’un individu I1". Qui a autorité sur le comportement d’un citoyen (et non d’un individu) ? En République : lui-même.

    Il ne faut pas nuire à autrui, bien sûr.

    Certains commentateurs considèrent comme un trouble à l’ordre public le fait de se mettre un tissu sur la tête. Je ne sais que leur dire....



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 décembre 2008 21:22

    Pourriez-vous argumenter ?
    Vous me dites que mon "article est une intreprétation (...) qui va à l’encontre de l’esprit de la loi et des droits de l’homme (universels, cela va sans dire)."

    Trouvez vous qu’interdire l’accès à l’école à des citoyennes est conforme à l’universalité des droits de l’homme ? Universalité veut dire (d’un point de vue fonctionnel) "qui convient à tous". "Convient" se comprend comme "va avec" dans le sens positif (profite) et négatif (oblige).
    Universalité des droits de l’homme signifie que les droits de l’homme, fondements de l’Etat républicain, profite à tous les citoyens (et, vous allez peut-être être surpris, même aux non-citoyens, aux sans-papiers par exemple, voir RSF...)



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 décembre 2008 20:51

    Vous m’écrivez : "la liberté de chacun commence par ne pas imposer à tous son appartenance à une "religion" ou un "groupe"."
    J’essaie de comprendre : mettre un T chirt " "A bas le nucléaire" ou " Vive le PSG" est-il imposer à tous son appartenance à un goupe (je reprends intentionnellement vos termes) ; si je mets un T chirt avec un Mickey ou avec la montagne Saint-Victoire parce que je suis né à Aix-en-Provence ou parce que je suis un admirateur de Cézanne, est-ce imposer à tous son appartenance à un goupe (je reprends intentionnellement vos termes) ?

    C’est la première question à laquelle je souhaiterai votre réponse.

    La deuxième porte sur le fait que des jeunes filles qui se mettent un tissu sur la tête n’écrivent pas sur ce tissu "Vive l’Islam" ou des choses de ce genre avec lesquelles on n’est pas obligé d’être d’accord ni avec lesquelles on a envie de discuter. Elles se mettent un tissu sur la tête.



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 décembre 2008 20:33

    Vous m’écrivez : "Mettez-vous ça dans la tête."

    Ce sera fait dans peu de temps.



  • Orélien Péréol Roland Petit 29 octobre 2008 19:41

    Je trouve ce film plutôt mal fait. On comprend très tard et assez mal de quoi s’occupe cette enteprise (il y a deux activités). Les premiers plans montrent des circulations de chariots élévateurs, dans tous les sens, la caméra tourne et bouge aussi. C’est sûr, c’est rouge et c’est beau. Bien pus tard on voit une scène où un ouvrier répare une palette (ma fille de 20 ans avec son bac ES d’il y a deux ans n’a rien compris de ces deux activités, elle a cru que l’ouvrier passait une colère sur une palette...)
    Le patron utilise l’islam comme mode de management de ses employés. La religion est une forme de pouvoir, c’est pas nouveau, c’est juste comme ça actuellement. Il donne une salle pour une mosquée et nomme l’imam, ce que certains n’acceptent pas.
    Quand le patron doit fermer le garage, il s’y prend de la façon la plus brutale et insensible qui soit.
    La fin : le conflit entre les ouvriers des deux activités (les caristes ne peuvent plus travailler). Le patron vient et dit : "je suis chez moi". Aucun dialogue possible. Il pourrait leur montrer que l’activité n’est pas rentable et les mettre sur ce problème. Au lieu de ça, il répète "je suis chez moi", joue les zorros en escaladant la grille, se fait casser la gueule et le film se termine là dessus. Bon !
    Ce personnage n’est pas cohérent. La façon de filmer, lente, a un certain charme et fait "auteur" : il ne filme pas comme les autres, comme tout le monde... il a sa singularité et son point de vue sur le cinéma.
    Quant au titre, il est dans l’air du temps... l’entreprise est le dernier maquis (?...) c’est ça que cela veut dire ? il nous manque des analyses plus fines et plus pertinentes...

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