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Orélien Péréol

Orélien Péréol

Auteur, essayiste, écrit nouvelles, pièces de théâtre... Acteur. Ex enseignant, participe de la sociologie de l'Analyse Institutionnelle...

Tableau de bord

  • Premier article le 09/12/2008
  • Modérateur depuis le 26/03/2009
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Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 15:44

    Veuillez me répondre et ne pas traiter avec d’autres d’interprétations illégitimes de mon propos. Je n’ai jamais parlé d’inutilité ou d’utilité. Je n’ai rien dit des auteurs que vous avez invoqués....

    Répondez à mes questions.
    Croyez-vous être détenteurs du sens des mots ?
    Si vous ne vous croyez pas détenteurs du sens des mots, sur quoi vous fondez-vous pour déclarer que des emplois sont abusifs ?



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 11:31

    J’ai écrit un article sur l’intérêt, à mon sens, d’employer les mots adaptés au cadre conceptuel de ce que l’on veut dire : http://abonnes.lemonde.fr/opinions/chronique/2009/05/04/le-precaire-et-le-proletaire_1188316_3232.html



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 11:23

    Le sens des mots n’est pas de la pierre. Voilà ce que je dis.

    Si le gouvernement veut prendre les citoyens pour des imbéciles, cela se retournera contre lui parce que les citoyens ne sont pas des imbéciles et ne le deviendront pas parce que le gouvernement les prendra ou les prendrait pour des imbéciles. Voilà ce que je dis.

    La précision avec les mots, si elle n’est ni « millimétrique » ni définitive, vaut la peine d’être l’objet de notre attention. C’est pourquoi j’ai préféré « citoyens » à « les gens ». Non pas que je trouve que « les gens » soient faux, cela me paraît juste trop vague. Nous discutons d’un problème de citoyenneté.

    Chacun d’entre nous peut tromper ses concitoyens par le langage. Le gouvernement le peut et un citoyen, via un article sur agoravox, le peut aussi.
    L’effort pour parler clair, détailler ce dont on parle, exposer et réexposer ce que l’on dit sous des angles différents, en donner les grandes lignes de force, le cadre général, les tenants et les aboutissants, l’avant et l’après, les causes et les conséquences... me paraît l’effort pour être ou rester démocratique. Le mot « pédagogie » me paraît exprimer cet effort.

    En ce sens du mot « pédagogie », il devrait avoir une place privilégiée, centrale dans les écoles. Penser qu’il transforme en école les endroits où il est prononcé me paraît une inversion. 



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 10:56

    Un homme féministe qui partage les tâches de la maison et des enfants se voit privé de tous ses droits au tribunal aux affaires familiales : sa parole est trahie par le mensonge, l’interprétation délirante, et l’invention pure et simple.
    La forme de son machisme est une homosexualité inconsciente. C’est donc pire. L’oppression qu’il exerce sur la femme est encore pire : il lui vole son rôle de mère.

    Allez lire ce blog de lutte :
    http://rpplbis.blog.lemonde.fr/



  • Orélien Péréol Aurélien Péréol 9 mai 2009 01:40

    Pour moi, vous êtes à l’envers.

    ça ne me dérange pas qu’il y ait une critique de l’école ! Je ne comprends pas par quels mécanismes vous arrivez à me poser cette question.

    Vous êtes à l’envers parce que tout se passe comme si vous imaginiez que prétendre vouloir faire de la pédagogie transformait les gens en maîtres d’école et en élèves !
    Les mots n’ont pas ce pouvoir.
    Evoquer la novlangue !... est dérisoire. Chaque emploi nouveau d’un mot est susceptible d’aller vers un ou des glissements sémantiques. Il ne faut pas avoir peur de la vie comme ça.

    Vous voulez enfermer les mots dans un sens bien strict et étroit. « Le gouvernement n’a aucune autorité pour instuire le peuple. »
    Parce que s’il veut faire de la pédagogie, selon vous, alors il prend le peuple pour des enfants et, en plus, ça marche, le peuple devient un peuple d’enfants. Et là. Danger !

    Etre pédagogique ou vouloir l’être, c’est se soucier de se faire comprendre. Ce n’est pas un apanage de l’école qui fait que dès qu’on veut faire de la pédagogie, tout devient une école comme les beaux chevaliers deviennent des crapauds quand la sorcière dit sa formule magique.

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