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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

Tableau de bord

  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 09:55

    @Hervé Hum
    erratum

    ’avant la fin du XIXème siècle il n’y avait pas plus anticlérical qu’un curé et antibourgeois qu’un évèque et au début du XXème, les deux s’étant trouvé une menace, ennemi commun qu’est le communistes,

    Il faut lire
    ’avant la fin du XIXème siècle il n’y avait pas plus anticlérical qu’un bourgeois et antibourgeois qu’un évèque et au début du XXème, les deux s’étant trouvé une menace, ennemi commun qu’est le communistes,



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 09:53

    @titi

    euh, c’est de l’humour ou tu prend tous les autres pour des idiots incultes ?

    parce que chez toi, l’exception est la règle !

    car tous ces systèmes étaient réservés aux fonctionnaires de l’état et pour le privé, ben, c’était à la discrétion des patrons bourgeois. Certains se croyant investie d’une mission quasi divine et prenaient soin de leurs ouvriers, souvent dû à une position de monopole sur leur secteur d"activité. Pour les autres, ils s’en remettaient parfois à leur femme, les fameuses dames patronnesses. Comme tu l’écris, ils étaient inspirés par les saints trou du cul. L’amusant de l’histoire d’ailleurs étant qu’avant la fin du XIXème siècle il n’y avait pas plus anticlérical qu’un curé et antibourgeois qu’un évèque et au début du XXème, les deux s’étant trouvé une menace, ennemi commun qu’est le communistes, ils se sont devenus tout d’un coup, copain comme cochons, comme des petits ou grand malins qu’ils sont.

    mais au niveau général, il est clair que sans la menace communiste puis de l’URSS, ben, on en serait resté au XIXème siècle en occident.

    Comme le disait un chef du MEDEF après la chute du mur de Berlin, bon, maintenant cela suffit le système social à la française, faut revenir au bon vieux système du XIXème siècle et c’est le chemin qui est pris depuis lors.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 09:34

    @Boogie_Five

    Comment convaincre la majorité écrasante de citoyens voulant vivre en paix de tous les pays de cesser la guerre ?

    En renonçant à une souveraineté nationale qui n’a jamais été et ne sera jamais celle des classes sociales travailleuses, mais uniquement celle de la classe dominante, exploiteuse, profiteuse du travail d’autrui c’est à dire, qui comme le résumait très bien Voltaire, « fait travailler le grand nombre est nourrit par lui et le gouverne ».

    Mais il ajoute très justement "Dans tout pays qui aura de bonnes lois, le peuple même aura le temps de s’instruire, et d’acquérir le petit nombre d’idées dont il a besoin pour se conduire par la raison (et non se laisser manipuler par la passion, d’une culture faites pour cimenter la populace à servir les intérêts de ses maîtres).

    "

    Techniquement, il est très facile de changer de modèle économique et le rendre juste, équitable, base pour un monde en paix. La grosse difficulté, peut être insoluble est la prise de conscience humaine que cela implique, exige.

    Quand vous voyez que ce sont des mouvements souverainistes qui affirment oeuvrer pour la paix alors que c’est physiquement impossible car dans toute communauté, quelle que soit l’échelle, la paix peut être garantie que par les lois communes et la disposition de la force pour les faire appliquer ; or ; c’est tout le contraire au niveau international où cela revient de demander à des chefs de gangs, de parrains de la mafia de s’arrêter eux même pour être jugé et aller en prison. C’est totalement absurde !



  • Hervé Hum Hervé Hum 6 mai 14:15

    @Boogie_Five

    Le but des dirigeants du Hamas étant la destruction d’Israël, ils sont l’ennemi parfait pour ceux d’en face qui veulent la même chose. La suprématie de la force étant du coté israélien, on sait qui génocide l’autre !

    Et dans une telle configuration où chacun des deux laisse à l’autre la même porte de sortie, c’est à dire, l’exode, là encore le rapport de force ne laisse pas d’autre alternative aux palestiniens.

    Ici, il vous faut vous rendre à l’évidence que l’enjeu de toute guerre est toujours le contrôle de la population civile qui habite la terre convoitée. Une cible principale ne peut pas être un dommage collatéral (1) ! Dès lors, dans la configuration actuelle, soit les palestiniens demandent à partir, soit ils seront éliminés.

    Bref, tant que le gouvernement israélien terroriste et génocidaire suivra la même ligne directrice et que le Hamas en tant qu’organisation terroriste et génocidaire continuera à dominer la population de Gaza, rien ne pourra changer.

    (1)ce qui est collatéral au second degré (pas de l’humour mais de l’action), c’est d’être dans la configuration où le but de guerre est de chasser ou éliminer la population présente, alors que souvent elle vise à simplement changer l’ordre souverain, soit entre régime et /ou entre individus ou groupes. Donc, où la population civile n’est pas directement concernée, tant qu’elle reste neutre et donc ne prend pas partie. Comme le but est de l’exploiter, il ne s’agit pas de la détruire mais de la faire travailler à son profit ! Etc....




  • Hervé Hum Hervé Hum 3 mai 17:53

    *@tous ceux qui suivent !

    Jean Keim écrit "je ne vois aucun imaginaire dans mes propos, percevoir le rôle que joue un mode de penser, c’est justement reprendre pied dans le réel.

    « 

    Or, je vous explique que le mode de penser est celui du prédateur face à sa proie, c’est ici que prend pied le réel... Via le principe de causalité, maître de la réalité, parce que pour parler de »mode", il faut nécessairement qu’il y ait la relation de cause à effet. Et dont les principes d’application sont la récursion, l’itération et la fractalisation

    L’imaginaire ici consiste à essayer différentes stratégies de prédation par itération, pour trouver la meilleure, celle qui fonctionne le mieux et le plus efficacement possible, la cerise sur le gateau étant qu’elle s’exerce le plus facilement, économiquement possible (1). Et la stratégie dépend des conditions environnementales qui ne cessent d’évoluer. Qui à l’échelle humaine prend une forme totalement différente, mais toujours en respect fondamental du principe qui définit la récurrence/récursion du principe ou mode de penser particulier à l’objet étudié, c’est à dire, satisfaire sa volonté (faim) de prédation.

    La prédation n’est pas un principe mauvais en soi (surtout qu’il est impossible à supprimer un principe), ce qui l’est, c’est qu’il ne soit pas en phase avec son milieu (espace/temps) et menace l’équilibre du milieu. Généralement dû à la non prise de conscience d’un changement environnemental majeur, c’est à dire, d’un monde en compétition à un monde qui doit passer au mode coopération. Et là, le principe de causalité est formel, il faut que la force publique internationale applique les lois du droit international et donc, des jugement rendus par l’instance légale qui est chargée de statuer. Sauf que c’est incompatible avec un monde ayant pour mode de penser celui de la compétition et de la division, pour tout ce qui concerne le devenir de la civilisation humaine sur la même Terre.

    Etc....

    La prédation dans une société humaine mature devant s’exercer sur les objectifs que la société veut atteindre et qui donne droit alors à une royalties.

    Celle-ci étant calculé selon le principe de relativité et qui appliquée à l’échelle de l’économie humaine prend une forme bien particulière.

    (1) tout cahier des charges devrait avoir comme règles de satisfaire trois objectifs. Simple, efficace, économique. Parfois il est impossible de tous les satisfaire, voire aucun.

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