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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 17:21

    @GoldoBlack

    T’as raison, j’ai bugué !

    Mais est ce que cela change grand chose sur la continuité de la lutte économique et sociale entre les classes sociales ?

    Non, les droits sociaux ne se donnent pas, ils s’obtiennent par le rapport de force, la lutte et non par charité chrétienne, car c’est une liberté et non une obligation légale.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 11:49

    @titi

    Mais relis donc mon commentaire, il contient déjà les réponses !

    En effet, de quand date donc le début du communisme et des mouvements ouvriers ? certainement pas avec l’URSS, puisque c’est exactement le contraire !

    Puis, regarde bien de quelles « avancées » tu parles par rapport à la situation d’aujourd’hui !

    Et dis moi donc comment ces droits ont été obtenus ? Par charité chrétienne ou bien par la lutte des classes ?

    1848, cette date fait référence à quoi sinon à la commune de Paris ? L’obtention du droit des syndicats, du droit de grève, comment cela s’est obtenu à ton avis.

    Puis pur les congés payés, la retraite, la sécurité sociale généralisé, deux guerres mondiales pour les obtenir en occident.

    Tu avais hate de me lire, c’est fait !



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 10:56

    @Eric F

    J’avais pas vu votre commentaire (les autres n’ayant plus d’intérêt car on tourne en rond avec les mêmes personnes).

    En effet, ce que j’écris est complémentaire de ce qu’écris Keim, c’est ce que j’ai voulu montrer et expliquer à Jean Keim avec mon dernier commentaire. Je pense qu’il l’a perçut comme il dit, mais refuse toujours d’en prendre compte réellement.

    Car Keim a son cogito tout entier occupé par sa théorie sur le mode de pensé, le dissociant de la causalité alors même qu’il ne peut pas exister de mode de pensé sans le principe de causalité. La causalité est partout dans la réalité car c’est la condition d’existence de cette dernière. Mais nulle part dans l’imaginaire car on peut s’en passer mais il y a un prix à payer pour cela (notamment l’impossibilité de communication et de la solitude que cela implique) !

    C’est l’aporie de son raisonnement qu’il ne veut pas prendre conscience pour conserver la validité d’une théorie dont il ne veut pas voir les limites et l’impasse dans la mesure où elle ne permet rien de concret tant qu’elle ne débouche pas sur la réalité.

    Car si ce qu’il dit pose effectivement ce qui agit dans notre cogito, cela ne permet pas de lui donner une forme concrète quelconque si on reste figé dessus. Pour passer à la réalité, il faut nommer, caractériser les éléments en jeu.

    Dans son exemple il écrit "pour que je mange une pâtisserie, il faut d’abord la pensée qui élabore le désir et l’intention de le satisfaire, puis seulement après il y a passage à l’acte, si j’affirme que je mange le gâteau et qu’ensuite je pense que je le mange je suis illogique, toutefois mon goût pour les pâtisseries est dans mon univers mental, en clair dans mon mode de penser ; celui-ci agit uniquement dans le domaine du connu, il m’est impossible de désirer quelque chose que je ne connaîtrais pas.

    "

    Il oubli juste que la pensée qui élabore le désir et l’intention de le satisfaire est une relation de causalité qui lie la pensée et le désir, car une relation de causalité est fondamentalement l’expression d’une volonté entre deux états celui du manque et celui de la volonté de satisfaction de ce manque.

    Il n’est donc pas nécessaire de connaître le goût d’un gâteau, suffit juste de vouloir multiplier ses expériences de goûts. Il est non seulement possible de désirer quelque chose qu’on ne connais pas, mais c’est un des plus puissant moteurs du cogito humain pour aller vers l’inconnu. Après, une fois connu, le cogito à enregistré la relation de causalité qui li sa pensée à l’objet de manière automatique ou de forme innée.

    Ici, on s’arrête à l’humain, maintenant, si on veut poser la question de l’origine de l’Univers, là, c’est une autre paire de manche et la solution n’est pas compatible avec un commentaire.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 10:12

    Vous écrivez « la notion de mérite, et la mise en avant du « Gagnant » a fait le reste. »

    La notion du mérite est centrale dans tout modèle, qu’il soit capitaliste, communiste ou autre, car tous posant comme fondement le principe du mérite personnel, mais où ce principe sera dévoyé, manipulé ou carrément dénigré selon le but recherché.

    Le principe d’équité se fondant sur celui du mérite personnel, la manipulation consiste à faire croire que le mérite personnel est compatible avec l’exploitation du mérite d’autrui à son profit, ce qui est en réalité incompatible, car par définition, est personnel ce qui est propre à l’individu et qui interdit par définition l’exploitation, prédation du mérite d’autrui à son profit, ce qui est le cas dans un système qui donne à chacun indépendamment de son mérite, tout comme celui qui donne à quelqu’un le droit d’exploiter le mérite d’autrui à son profit.

    Bref, le fondamental est le principe du mérite personnel et qui se résume par la formule suivante

    nul ne peut (devrait) exiger plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il accomplit de devoirs par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il réclame de droits pour lui même.



  • Hervé Hum Hervé Hum 7 mai 09:55

    @Hervé Hum
    erratum

    ’avant la fin du XIXème siècle il n’y avait pas plus anticlérical qu’un curé et antibourgeois qu’un évèque et au début du XXème, les deux s’étant trouvé une menace, ennemi commun qu’est le communistes,

    Il faut lire
    ’avant la fin du XIXème siècle il n’y avait pas plus anticlérical qu’un bourgeois et antibourgeois qu’un évèque et au début du XXème, les deux s’étant trouvé une menace, ennemi commun qu’est le communistes,

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