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Accueil du site > Tribune Libre > Passer du capitalisme à la résilience écologique et sociale

Passer du capitalisme à la résilience écologique et sociale

La crise sanitaire que nous sommes en train de vivre nous a montré toutes les limites du système de développement dans lequel nous sommes. Cette crise fait suite à des crises qui ne font que se succéder de plus en plus rapidement et à s’amalgamer. Si rien ne change de manière radicale et dans l’immédiateté réaliste, notre avenir ne sera qu’une crise permanente. Croire que ce système ne demande que quelques réformes pour retrouver la sérénité relève de la malhonnêteté intellectuelle ou de la naïveté. Nous vivons le début de l’effondrement et il serait beaucoup plus sûr de faire confiance aux collapsologues qu’à nos gouvernants actuels pour envisager l’avenir de façon responsable1. Le monde d’avant est bien terminé, nous vivons dans ses derniers soubresauts et il nous faut absolument mettre en place un autre monde avant qu'un chaos perpétuel ne s’installe.

Le monde ne peut pas revenir comme avant car depuis des années, le capitalisme a atteint ses limites infranchissables : une productivité qui ne parvient plus à se hisser au niveau qui doit être le sien ; la nature qui a été saccagée et qui ne donne plus rien sans le payer de catastrophes naturelles ; révoltes sociales et démocratiques de plus en plus fréquentes aux quatre coins de la terre2. Le néolibéralisme par sa rapacité a amené le capitalisme à son terme. Désormais la terre est divisée entre eux et nous, entre le 1 % de la population qui vit comme des rapaces et les 99 % qui sont soumis, le peuple-classe.

Tandis que le 1 % investit dans la première cité martienne pour mieux fuir le monde qu’ils ont détruit, nous autres subissons le réchauffement climatique, l’anéantissement du vivant, les crises sociales, économiques et démocratiques. Et plus ce 1 % persistera dans sa stratégie, plus il sera obligé de mettre en place un système autoritaire, non pour l’intérêt général mais pour faire fonctionner le système qui arrange ses intérêts. Ils nous tiennent par la peur et la falsification. Peur qu’ils entretiennent par leurs menaces économiques (c’est l’État qui perturbe l’économie et la main invisible d’Adam Smith qui pourrait nous apporter le bonheur) ; une finance absurde qui voit la dette mondiale s’élever à plus de 300 % du PIB mondial (se rendent-ils compte que leur système financier est totalement fictif et arbitraire ?) ; et falsification par une consommation basée sur la création de besoins inutiles qui n’existeraient pas sans marketing pour les servir eux et pas nous.

Dans l’immédiat, il faut pourtant maintenir la population à flot par des mesures économiques. Le plan de relance à quelques centaines de milliards proposé par Merkel et Macron pourrait y répondre. Mais, derrière cette somme se cache encore la dette qu’ils annoncent une nouvelle fois comme devant être remboursée. Par qui ? Pourquoi serait-ce toujours les mêmes qui paieraient ? Il n’est pas légitime que ce soit nous qui la remboursions3. Entendons-nous parler d’une taxation du patrimoine, de la mise à contribution des riches, de l’effacement de la dette ou de sa répudiation ? Non ! Et pourtant, des économistes proposent ces solutions4. Même Alain Minc, fervent néolibéral, prône la dette à perpétuité parce qu’il devient dangereux d’augmenter la pression de l’austérité.

L’argent se crée facilement et autant qu’ils en veulent, nous l’avons vu en 2008, en 2010, en 2015 et maintenant. Mais, si cet argent est créé, ça n’est, pour l’instant, pas pour construire un monde meilleur mais pour maintenir le système qui les arrange. Pourquoi devrait-on s’arrêter là comme si l’avant serait l’après ? Macron nous a fait croire qu’il s’attaquerait au système mais en fait c’est à notre mode de vie qu’il s’attaque : distanciation, traçage, dette, chômage, misère, état d’urgence. Non !

Le système est arrivé en bout de course, il faut le remplacer. Et puisque l’argent peut être créé et que les riches et les patrimoines peuvent être mis à contribution, créons immédiatement ce qu’il faut pour construire le monde d’après dans lequel les crises seront atténuées.

Trois conditions sont à réunir pour que cela change :

  • Cesser d’avoir peur et d’accepter de se soumettre aux maîtres du monde

  • Croire que les 99 % peuvent se débrouiller sans le 1 %

  • Bâtir un système de développement radicalement différent

Poser les principes du monde d’après

Avant de trouver des idées à la foire du grand remue-méninges, il convient de redonner du sens et une direction au monde d’après. Cela se fait en déterminant des valeurs, en évaluant les moyens réels dont on dispose, en pratiquant une éthique du bien commun en ce qui concerne la recherche, la production et la consommation. A une démocratie réelle doit correspondre une nouvelle Constitution. Les méthodes et les objectifs sont déterminés en adéquations aux valeurs, aux moyens et à l’éthique.

Les valeurs à mettre en avant sont d’ordre écologique, humaniste et démocratique pour remettre du sens là ou il n’y a que productivisme et consumérisme débridés.

Les moyens reposent sur la nature qui est le commun d’excellence. Les biens communs peuvent aussi recouvrir des réalités sociale, culturelles ou politique : la solidarité, les langues et les patois, les savoir-faire, la démocratie… Ils peuvent aussi relever de conventions ou de constructions : la monnaie, l’Internet, les services publics, les voies de communication, les transports en commun…

Dans un monde qui souffre de surconsommation, de pollution, d’extermination d’espèces animales, sauvages d’une surpopulation d’animaux encagés et gavés d’antibiotiques, l’avenir est à la frugalité parce que la terre, l’eau et l’atmosphère ont besoin de se régénérer et qu’une partie du monde ne peut continuer à tenter de survivre tandis que l’autre vit dans une débauche de futilités et de caprices.

L’éthique concerne la recherche, la production et la consommation. Nous devons refuser la loi selon laquelle tout ce qui est techniquement réalisable sera réalisé, quoiqu’il en coûte moralement. Les dispositifs éthiques doivent précéder la recherche et la production.

Le peuple doit être décisionnaire à tous les échelons de la Nation, de la société et de l’entreprise que ce soit en tant que citoyens, usagers, salariés.

Les méthodes ne doivent plus suivre le mot d’ordre de la rentabilité mais de l’utilité et de la prévention et du respect de la terre. Le circuit court, l’économie circulaire et l’économie de l’usage devraient être la règle de la production ; le travail mieux partagé et internalisé à l’économie ; l’élaboration des projets, faire l’objet d’une démocratisation afin que nul ne soit laissé de côté, dans l’ignorance ou exploités.

Le monde d’après sera certainement beaucoup plus simple mais plus en symbiose. La transition écologique va nous tourner vers une autre activité moins « rentable » au sens où on l’entend aujourd’hui mais plus efficiente dans son impact écologique. La frénésie de la surconsommation va être remplacée par une vie plus sobre mais aussi plus solidaire, plus saine, plus culturelle. Si les organisations macro-économiques sont encore utiles, leur rôle ne consistera plus à complexifier le système financier mondial pour lui permettre de croître dans une économie fictive. Ces organisations n’auront qu’à gérer le réel, ce qui est beaucoup plus simple pourvu que l’exploitation des ressources, la consommation et la production de déchets soient revenues à un niveau acceptable en production carbone, c’est-à-dire proche de la neutralité d’un point de vue production / absorption.

Bien des choses existent déjà que le capitalisme tolère : circuits courts ; sociétés coopératives de production ; économie circulaire ; monnaies locales complémentaires, systèmes d’échange local ; économie sociale et solidaire ; logiciels libres ; AMAP ; solidarité intergénérationnelle ; systèmes d’échange locaux ; groupements d’achats communs ; réseaux de partage, pair à pair ; coopératives, mutuelles ; entraide, etc.

 

L’hypothèse du développement résilient

Le Programme des Nations Unies pour le développement a défini un « développement durable résilient au changement climatique »5. Mais nous savons que ce développement n’est qu’un pis-allé du capitalisme car il intègre les technologies, la recherche et la mondialisation pour « faire plus et mieux avec moins »6 (entendez produire plus pour consommer plus). Le développement durable tel que le conçoit le capitalisme est fait pour alimenter la croissance. Remplacer le parc automobile pétrolier par le même parc électrique est une arnaque : elle conserve le principe du véhicule individuel et tout le modèle qui va avec.

Le développement résilient c’est bien plus que cela : il combinerait plusieurs concepts comme l’économie solidaire et sociale, l’économie bleue (100 % des déchets comme matière première) et l’économie d’usage, l’économie circulaire en circuits courts, la démocratie et la dynamique des écosystèmes. C’est un développement qui permettrait d’atténuer et de prévenir les risques qu’encourent les écosystèmes et la société, de résister aux chocs et de retrouver un équilibre après la survenue d’une crise (écologique, sanitaire, sociale, économique). Il ne peut survenir qu’avec la décroissance des consommations et des pollutions.

La généralisation d’une économie solidaire et sociale commence par exiger à ce que toutes les entreprises se tournent vers une utilité d’intérêt général, d’abord sur un secteur puis sur l’ensemble de leurs activités. Les productions de la futilité7 seraient interdites.

La mise en place d’une économie des communs suppose de passer à la généralisation de la propriété partagée. Les communs sont des ressources d’intérêt général qui ne peuvent faire l’objet d’une propriété absolue parce qu’essentiels à la vie de la Nation ou parce que ce sont des ressources naturelles qu’il faut utiliser avec parcimonie8.

La mise en place de l’économie bleue9 se base sur les principes de l’économie circulaire et des circuits courts, et fait reposer toute production sur les déchets en tant que matière première. La recherche doit être accentuée pour que dans moins de 30 ans, la production se fasse uniquement à partir des déchets.

Ces différents systèmes ne sauraient remplacer à eux seuls le système capitaliste et son système monétaire, spéculatif et bancaire qui a divisé le monde entre exploiteurs et exploités. Exploiteurs de la nature, du vivant et de l’humain. Exploité comme esclave à la corvée ou à la consommation. Cette division du monde doit cesser car elle est source d’inégalités et de destructions. Pour cela, le système de développement résilient devra opter pour la propriété d’usage, limiter le profit financier et la possibilité de crédit.

Afin de garantir le développement résilient, la manière de gouverner est prépondérante. Celle-ci devra s’appuyer sur la primauté du peuple et la démocratie réelle à l’aide d’assemblées citoyennes face aux autres assemblées institutionnelles.

La vie au temps du développement résilient

Le chômage est certainement le pire des maux dans une société. Le travail ne manque pas, mais des gens par millions sont cantonnés à l’inutilité pour des motifs purement financiers. Il n’y a que deux solutions pour résoudre le problème du chômage : un État social qui crée l’emploi, favorise l’embauche ; et l’internalisation de tout le travail et non du seul « emploi qui rapporte ». Ce travail externalisé actuellement c’est, par exemple, toute l’activité bénévole, l’éducation des enfants par les parents, le nettoyage de la nature, l’investissement citoyen, l’entraide… Passer à un système dégagé des contraintes du capitalisme permettrait de retrouver les valeurs humaines du travail et que chacun soit certain qu’il est utile.

La prévention des risques d’un pays, c’est avant tout ne pas être dépendant des autres. C’est pourquoi l’autosuffisance sur les secteurs essentiels doit être assurée : l’alimentation de base, la santé préventive, le numérique et l’énergie.

Si les trois premiers secteurs cités sont réalisables en France ou avec l’Union européenne, l’énergie pose beaucoup plus de problèmes car tout le système actuel repose sur une surconsommation énergétique. Les énergies renouvelables comme les éoliennes, le photovoltaïque ou la biomasse sont des solutions qui nécessitent encore beaucoup de recherche avant qu’elles ne soient vraiment performantes10 11. Quant à l’énergie nucléaire, elle est extraordinairement polluante par certains de ses déchets actifs pendant plusieurs milliers d’années. En fait, toute énergie produite pose de gros problèmes à l’environnement parce que plus dépensière en moyens de production (consommation d'énergie primaire, atteinte à la biodiversité, pollution) qu'en résultat. L’énergie hydraulique suppose qu’on extermine des écosystèmes pour fabriquer les barrages. La géothermie offre de vraies solutions. Afin d'absorber le carbone produit par notre système de développement, les solutions sont donc : consommer beaucoup moins d’énergie ; reforester partout sur la terre ; végétaliser les zones urbaines.

Le scénario négaWatt est pour l’instant le seul qui paraît tenable et réalisable. Grâce à l’application systématique des deux premiers piliers de sa démarche, il est possible de diminuer significativement notre consommation d’énergie tout en maintenant une vie confortable :

  • Une division par deux de notre consommation à l’horizon 2050.

  • Le maintien d’un haut niveau de services énergétiques pour l’ensemble des besoins.

  • Une consommation couverte à 100 % par des énergies renouvelables en 2050.

  • Une fermeture progressive du parc nucléaire. Le dernier réacteur est arrêté en 2035.

  • En 2050, les énergies fossiles – pétrole, gaz, charbon – ne servent plus qu’à des usages non énergétiques (production d’acier et de ciment, etc.).

  • Une mutation des pratiques agricoles et sylvicoles en exploitant de manière équilibrée et soutenable les sols.

  • Le développement du power-to-gas (transformation de l’électricité en gaz) permet d’équilibrer production et consommation.

  • Les émissions nettes de gaz à effet de serre, toutes sources confondues, deviennent nulles à partir de 2049 : les puits de carbone agricoles et forestiers compensent alors les émissions résiduelles, qui sont principalement dues à l’agriculture et à l’industrie.

  • Outre le bénéfice santé et atmosphérique, le scénario négaWatt est créateur de 400 000 emplois à l’horizon 2050.

Les mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques, le nettoyage de la nature et la reconstitution des écosystèmes généreront une activité très importante.

Une urbanisation résiliente remodèlera les villes surpeuplées. La ville doit réintégrer la végétation. La nature doit regagner sur l’artificialisation des terres et toute terre artificialisée doit être compensée d’une surface équivalente végétalisée : murs, toits, routes… Afin de réduire l’impact au sol des habitations, l’habitat collectif doit être développé.

Dans ce monde nouveau et afin que la paix puisse durablement s’installer autrement que par la bombe atomique, l’éducation devra privilégier la coopération à la compétition. Dès le plus jeune âge l’expérience démocratique sera introduite à l’école.

L’État sera social garantira une vie décente pour tous en libéralisant le travail salarié, en veillant à ce que tous les travaux utiles soient accomplis et en garantissant un revenu d’existence pour tous. L’organisation de la société consistera à partager la semaine ainsi :

  • 3 jours salariés avec un fonctionnement en double équipe sur 6 jours pour l’entreprise.

  • 1 jour de formation continue

  • 1 journée citoyenne consacrée à la formation, à la gestion des communs et à la culture.

Tout part de la base

Tout part de la base, et nous devons nous accrocher à cette solidarité et à cet esprit de responsabilité dont nous avons fait preuve récemment. Le processus de démocratisation et de libération de l’étau capitaliste ne peut venir que des personnes, des organisations professionnelles et non gouvernementales, des associations en tous domaines, des entreprises écoresponsables… Chacun peut agir là où il est :

1 – Salarié ou travailleur indépendant (refuser des actions douteuses, alerter les syndicats).

2 – Consommateur (choix de produits ou des magasins écoresponsables, boycott).

3 – Épargnant (choix de banque éthique).

4 – Citoyen (demander des engagements aux candidats pendant les campagnes électorales, interpeler son député régulièrement, s’impliquer dans sa commune).

5 – Membre d’associations, de syndicat ou de parti politique en formulant des propositions et en se formant en permanence.

6 – Initiateur de projets ou micro projets d’intérêt général.

7 – Organisateur ou signataire de pétitions électroniques. Elles sont de plus en plus efficaces.

8 – Membre de réseaux sociaux (on peut toujours partager sur Facebook ou autre des expériences ou des idées novatrices), etc.

9 – Ceux qui ont la chance de connaître des journalistes peuvent aussi les sensibiliser sur des sujets importants pour qu’ils rédigent des articles.

10 – Dans tous les cas la lecture de la presse, d’internet, des réseaux sociaux, etc. permet de former sa pensée, de mieux comprendre ce qui se passe, et de jouer pleinement un rôle de citoyen.12

Le peuple doit reprendre sa souveraineté confisquée par un pouvoir qui a démontré son immaturité. Nous sommes 99 % et eux, l’élite confiscatoire, 1 %.

« Non seulement la caste des ultra riches ne cédera rien de rien, mais qui plus est, après avoir testé grandeur nature la capacité de plus de la moitié des populations de la planète à se soumettre à leur AUTORITÉ, ils démontrent jours après jours leur volonté de pousser encore plus loin toutes les nuances du mépris qui est le leur à l’égard de chaque peuple. À nous de savoir si nous jouons petit bras ou pas… » (Frédéric Lordon).

A chacun de s’impliquer là où il est. Avec opiniâtreté. Prêt à reprendre le pouvoir.

 

3Jean Gadrey (2012)

7Définies par les dispositifs éthiques


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72 réactions à cet article    


  • Clark Kent Séraphin Lampion 6 juin 2020 15:00

    « Prêt à reprendre le pouvoir.  »

    pourquoi REprendre ?


    • Julot_Fr 8 juin 2020 09:15

      @Séraphin Lampion
      Ils sont mercantilistes et non capitalistes et le fascisme vert malthusien est le dernier piege qu’ils tendent aux masses : on restreint l’acces au ressources des gueux les renvoyant au moyen age (vent et soleil) pour que l’aristocratie puisse s’accaparer les resources. On supprime la competition des PME coupees de l’acces a l’energie et on cimente l’ordre actuel a la faveur de l’oligarchie bancaire. Note : le fascisme vert nous est propose car on atteint les limite du controle par la dette.


    • Francis, agnotologue JL 6 juin 2020 15:19

      ’’pourquoi REprendre ? ’’

       

      En effet, il ne s’agit pas de reprendre le pouvoir mais d’en dessaisir les capitalistes.


      • JC_Lavau JC_Lavau 6 juin 2020 15:32

        « la lutte contre les changements climatiques ... La géothermie offre de vraies solutions. Afin d’absorber le carbone ... Le scénario négaWatt est pour l’instant le seul qui paraît tenable et réalisable », ou le délire télécommandé par des escrocs intergouvernementaux.

        Il faut être d’une nullité insondable pour gober cette escroquerie.


        • Francis, agnotologue JL 6 juin 2020 16:22

          @JC_Lavau
           
           ’’Il faut être d’une nullité insondable pour gober cette escroquerie.’’

           Et que faut-il être pour ne pas voir ce que cache cette escroquerie ?
          Je parle d’une escroquerie pire encore ?


        • JC_Lavau JC_Lavau 6 juin 2020 17:15

          @JL. En France, les possibilités de la géothermie sont très locales et limitées. Mais c’est un baratin qui fait bien dans la secte zécolo. Délire communautariste.
          Silence zécolo sur les séismes que ces forages provoquent. A Bâle, il a fallu mettre les pouces : trop de dégâts.


        • Jean-Luc Picard-Bachelerie 6 juin 2020 19:26

          @JC_Lavau
          Ok, mais alors, connaissez-vous un meilleur scénario ?
          Que proposez-vous ?
          La tribune appelle des critiques pour peu qu’elles soient accompagnées de solutions, de propositions ou de questionnement. En rester à la critique ne sert strictement à rien.


        • JC_Lavau JC_Lavau 6 juin 2020 20:44

          @Jean-Luc Picard-Bachelerie. Il n’y a pratiquement aucun mot de vrai dans tes présupposés.
          Viktor Sébastopol était le plus calamiteux des espions jamais dessinés. Aussi reçut-il l’ordre de trahir sa chère Boursoulavie, de passer à l’ennemi et de se conduire là bas exactement comme dans son pays. A la fin de l’épisode, un vigoureux coup de pied le renvoie par dessus la frontière, là d’où il venait.
          La secte zécolo  Negawatt par exemple est ici un Viktor Sébastopol, infoutu de s’apercevoir qu’il est télécommandé à travailler invariablement pour l’ennemi, contre son propre pays. Sa mission, qui lui est secrète et impénétrable, consiste via son vote et via les journalistes aux ordres dans la presse aux ordres, à imposer aux gouvernements les pires politiques énergétiques possibles, les plus ruineuses et les plus irréparables.
          Exemple de ce triomphe : la « route solaire » de la pimprenelle du Poitou. Tout ingénieur ou technicien ayant pratiqué la géotechnique routière pouvait garantir le désastre ; tout ingénieur électrotechnicien pouvait garantir le désastre. Et c’est effectivement le désastre total.

          Recruté pour sa bêtise et sa misanthropie, le sectaire zécolo est infoutu d’envisager les contraintes militaires : le dernier pays ou régime qui pourra encore donner à glouglouter à son armée de l’air raflera toutes les mises. Ah ! On n’avait pas prévu !
          Pourtant le verdict de la 2e guerre mondiale est sous les yeux : les japonais n’avaient plus assez de carburant pour faire voler des élèves pilotes, ni bientôt pour déplacer leurs navires.

          Les fortunes pétrolières qui ont fondé et tiennent le WWF, et dirigent discrètement Greenpeace ont tout intérêt à ce que les naïfs zécolos fassent fermer toutes les centrales et couvrent la France d’éoliennes. Chaque fois que le vent tombe, et encore plus s’il fait nuit, il faut démarrer des turbines à gaz. Et qui vend le carburant indispensable ?

          Voilà : ta naïveté fait de toi un agent de l’ennemi.


        • chantecler chantecler 7 juin 2020 07:15

          @JC_Lavau
          En attendant ils ont laissé un sacré trou .


        • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 08:28

          @chantecler. Sens toi libre d’être clair dans ta tête. Qui est « ils » ? Où est ton « sacré trou » ? De quoi s’agit-il ? Merci d’avance de détailler ton histoire.


        • chantecler chantecler 7 juin 2020 08:44

          @JC_Lavau
          "Silence zécolo sur les séismes que ces forages provoquent. A Bâle, il a fallu mettre les pouces : trop de dégâts.

          "
          ...
          Il s’agit du célèbre trou de Bâle .
           smiley


        • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 10:48

          @JC_Lavau
          Donc, je serai un agent de l’ennemi. Gasp !
          Je vous demande une solution à la place du scénario négaWatt et je me retrouve avec un roman d’espionnage mal écrit. 
          Je réitère donc ma question : avez-vous un meilleur scénario que celui de négaWatt à proposer car, n’étant pas scientifique, je ne peux en construire un moi-même ?
          A défaut, vos affirmations sont totalement décrédibilisées.
          Merci de m’indiquer l’adresse de votre site car votre bio renvoie sur un forum avec un texte qui n’est pas écrit par vous.
          A défaut d’obtenir réponses à ces 2 questions, vos affirmations sont totalement décrédibilisées.


        • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 12:36

          @Jean-Luc Picard-Bachelerie. Commence par chercher Cui bono. A qui le crime profite-t-il ?


        • ticotico ticotico 6 juin 2020 16:20

          Le principal problème à résoudre n’est pas de savoir comment notre monde devrait être organisé, mais avant tout de savoir comment faire disparaitre les parasites accrochés aux commandes.

          Pour l’organisation, les idées ne manquent pas, ici, par exemple...


          • arthes, Britney for ever arthes 6 juin 2020 16:46

            @ticotico

            Mais si nous ne savons pas nous même dans quel monde nous voulons vivre, il y a de fortes « chances » qu’en éliminant les « parasites d’aujourd’hui » nous les remplacions par d’autres, qui seront « accrochés aux commandes »(et qui en rêvent), et le monde ne sera pas mieux, peut être pire d’ailleurs.....
            Croire que l’humain peut influer sur les variations climatiques, atmosphériques, je capte pas..C’est de la fumisterie de communication.
            En revanche, il peut songer à s’y adapter, et aussi agir sur la pollution, la destruction des écosystèmes, bref, il peut agir sur tout ce qui dépend de lui même, sur sa vie, la société, son environnement immédiat, sur la justice , l’économie etc...


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 00:05

            @arthes
            « peut-être pire » parce que vous pensez qu’on peut faire pire que d’avoir éliminer 80% des animaux sauvages, détruit la biodiversité, fait fondre les pôles... ? Bref je ne vais pas vous faire une liste sans fin. Dîtes-moi ce qui pourrait être pire parce que je ne vois pas trop.
            « Croire que l’humain peut influer sur les variations climatiques, atmosphériques, je capte pas » a priori, nos gaz à effet de serre ont contribué au réchauffement. Qu’on ne puisse faire redescendre la température, effectivement, les scientifiques sont partagés.Mais tenter de le faire en reforestant, en végétalisant, en pratiquent une agriculture bio, etc. on agit sur la pollution, sur les écosystèmes et sur notre environnement immédiat. Ça tombe plutôt bien. Non ?


          • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 00:42

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie : « fait fondre les pôles » ? Certes Audrey Garric le répète tous les jours : elle est payée pour faire cette propagande là. Elle incarne la nullité en sciences, notamment en géochimie, mais aussi en physique de l’atmosphère, en océanographie, etc.
            Un exemple de la propagande de L’imMonde :
            https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/09/18/la-banquise-arctique-pourrait-completement-disparaitre-d-ici-a-quatre-ans_1761703_3244.html


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 10:54

            @ticotico
            Un peu de srieux JCLavau. Vous êtes scientifique oui ou non ? 
            Ne me faites pas perdre mon temps à lire des articles de journalistes.
            Faites directement la preuve que la banquise ne fond pas.


          • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 12:06

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie. Des fluctuations climatiques, il y en a déjà eu des centaines de milliers, y compris au long du seul 20e siècle. Tu te documentes, des fois ?
            Certains hivers, le vin gelait dans les carafes sur la table du Roi-Soleil à Versailles. A cette même époque, des glaciers alpins rasaient des villages.
            Quand Hannibal a fait passer ses éléphants à travers les Alpes, elles étaient aussi enneigées et aussi englacées qu’aujourd’hui ?
            Le refroidissement climatique qui a chassé les Ostrogoths et les Wisigoths de leur Suède natale, et poussé les nomades Hunis à l’assaut de l’Europe jusqu’à Troyes, il est documenté ou non ?
            Tu te documentes parfois sur la durée des interglaciaires comparée à celles des glaciations, durant notre Quaternaire où il y a des glaciations ?
            Tu te documentes sur les innovations physiologiques que certaines familles végétales, par exemple les crassulacées et les cactées, ont été contraintes de faire par ces glaciations ?
            Durant la glaciation de Riss, le glacier du Rhône recouvrait les Dombes et Lyon, et bloquait la Saône en un vaste lac. Durant la dernière glaciation, il descendait moins bas, ses moraines sont à peu près là où je suis.
             
            Il y a eu aussi une période avec glaciations fin du Carbonifère, début du Permien. T’es-tu donné la peine d’étudier cela ? Notre ancêtre commun à tous les mammifères, tous les reptiles et tous les oiseaux était un petit amniote insectivore, d’aspect et de niche écologique assez proche de l’actuel lézard des murailles : Hylonomus lyelli, 312 millions d’années.
             
            La précédente période avec glaciations, la Varangienne, fut de loin la plus dramatique : elle a éradiqué la plupart des espèces vivantes sous une glaciation complète. Sur la place ainsi dégagée, ont pu ensuite se développer des formes radicalement nouvelles, métazoaires et non plus protozoaires. Nous en sommes issus. On soupçonne d’avoir le fossile de l’ancêtre fort primitif, commun aux arthropodes et à nous-mêmes : Dickinsonia, dans la faune Ediacarienne.

            Encore une fluctuation climatique ? La belle affaire !
            Sauf pour Al Gore bien sûr, qui fait fortune sur votre crédulité de nuls en sciences et en Histoire.


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 14:28

            @JC_Lavau
            Je fais avec ce que je sais et avec ce que je peux. Je n’ai aucune prétention et votre ton est carrément choquant.
            Vous savez, pourquoi pas, bien que votre manière d’asséner vos vérités les rendent totalement imbuvables.
            Parce que pour les fluctuations climatiques, merci, je les connais. Mais niez-vous les gaz à effet de serre que l’humain a ajouté à forte dose ? Niez-vous leurs effets ?
            Alors donc, avec votre science, que proposez-vous plutôt que de casser les bonnes volontés ? Parce que, pour l’instant, vous êtes contre productif.



          • arthes, Britney for ever arthes 7 juin 2020 15:19

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie
            Pire ?
            Pas compliqué, on y va et le discours des écolo va aussi dans ce sens : 
            Déshumaniser l’humain par exemple, en l’infantilisant, ce dernier n’étant pas au coeur des préoccupations des écolos,.

            Quant à la nature, il convient de retrouver surtout le lien qui nous y unissait, nous sommes faits d’elle, elle est en nous, c’est notre propre nature en fait « humaine » qu’il faut connaitre, donc, afin de ( re) trouver l’harmonie,en nous et vivre et vibrer à l’unisson avec elle (la nature) et les fleurs, les pitits oiseaux, les gentils poissons, le cosmos etc....), pour qu’elle nous délivre d’elle même sa sa loi.
            C’est tout aussi simple...Et très lointain.. 

            Pour le reste, vu qu’on est pas des kadors, agir sur ce que l’on peut en évitant de polluer, et sous entendu, la reforestation, une autre agriculture, et gestion des dêchets,etc...... , c’est bien ce que j’ai avancé non ?

            Bon, le bio, ça coûte plutot très cher (filière pour la capitalisme ultra libéral et ceusses qui en profitent) et il y a un petit coté sectaire bobo de gauche et moralisateur assez déplaisants in fine.


          • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 15:25

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie : « Je n’ai aucune prétention  ...  casser les bonnes volontés... contre productif ».  Tchiô problème : les escrocs-aux-ordres qui te dirigent t’ont dicté des prémisses fausses de A à Z, une « problématique » 100 % fallacieuse.

            Bien sûr que si, tu es d’une prétention injustifiable : tu prétends trancher du bien et du mal sur des bases entièrement falsifiées par des malfaiteurs-aux-ordres, et dicter au peuple français toutes les conneries qui le détruiront aux profit des esclavagistes mondialistes.


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 15:27

            @arthes
            tout ce que vous annoncez comme pouvant être pire est déjà à l’oeuvre. Evidemment, on peut encore trouver du pire du point de vue écologique, mais c’est vraiment à la marge. L’essentiel est fait. C’est plutôt du côté des régimes politiques que je vois le pire advenir.


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 15:56

            @JC_Lavau
            Vous me renvoyez sur des lectures critiques de la bien bien-pensance. Soit.
            Mais, ça n’est pas ça que je cherche. Je m’enfile déjà pas mal de lectures critiques.
            Par contre, je suis très intéressé par des propositions. Surtout les vôtres puisque vous savez a priori tout et que tous les autres sont des imbéciles.
            Dites-nous ce qu’il faut faire.


          • arthes, Britney for ever arthes 7 juin 2020 16:09

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie

            Les régimes politiques, quels qu’ils soient sont portés par ceux qui les mettent en place, c’est pour cela que je répète souvent : Il devient essentiel, crucial même que chacun se pose profondément cette question, en dehors de toute idéologie : Dans quel monde voulons nous  vivre ? 
            La mondialisation implique de plus en plus (et nous fait apparaître) que pour le confort de certains, d’autres doivent mourir, subir des guerres ou des malheurs, détruire leur environnement, massacrer es espèces animales , malheurs dont ne sont pas épargnés pour autant les plus nantis, nos sociétés occidentales souffrantes et décadentes, car la souffrance reste une souffrance, il ne suffit pas de se dire il y a pire ailleurs, d’autant que la souffrance des uns est aussi une source de mal être pour les autres, quant on y réfléchit bien, et tout cela crée de la violence.

            Alors, hélas, je ne crois pas qu’en matière de pire, l’essentiel soit déja fait.
            Le pire sur la nature et le pire sur l’humain, ce qui revient à la même idée.

            Je reprends en ce sens l’idée de Xéno : L’humain EST le produit.

            Mais, cela ne signifie pas qu’il faut ne rien faire, jamais se résigner , au contraire : C’est le début de la fin mais le commencement d’autre chose, je vois cela , pour les homme de notre époque, comme un socle à construire, sur lequel une autre civilisation pourra s’ériger,un socle qui tienne en compte la nature elle même et la nature humain qui se retrouve en s’appuyant , et ce librement sans se renier soi même (car chaque ethnie a sa propre âme, perception, histoire, , ) sur tout ce qui a fait l’humanité  : L’ art , la culture, les rites et traditions, la science physique, la technologie ...En échanges, en transferts et libre circulation, bref, pas un retour au passé, mais un enrichissement pour tous.

            Tout, tout ce que nous devons faire de positif doit venir de nous même parce que ce doit être un plaisir, une évidence, mais pas imposé comme un concept abstrait , comme une culpabilité, une peur, comme ne venant pas de soi même...


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 16:47

            @arthes
            Ok, mais alors, lorsque je propose un autre système, cela correspond, pour vous, à un concept abstrait imposé ?


          • dimitrius 7 juin 2020 17:10

            @arthes
            Oui c’est çà en s’appuyant sur l’art du panpan cucu !!!


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 17:28

            @JC_Lavau
            Bon, ça commence à suffire. Me faire insulter de secte despotique par un malotru qui n’a pas grand chose à dire de constructif sinon rien alors que je lui parle bien, c’est bon. Basta. Passez votre route.


          • arthes, Britney for ever arthes 7 juin 2020 18:28

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie
            Ok, mais alors, lorsque je propose un autre système, cela correspond, pour vous, à un concept abstrait imposé ?


            Bin.....ça y ressemble quand même.....Cela dit, Il y a quelques idées pas trop mal, à travailler,
            Mais.....Le principe du « peuple décisionnaire » , vu que le peuple n’est pas lui même un parangon de vertu ni de connaissances et qu’il pense surtout à sa propre g., ce que je ne lui reprocherai pas, , ça fait démago, dit comme ça...Cela dit, je ne mets pas en doute ni cause votre sincérité, c’est à dire votre sentiment que cela est pour une juste cause. 


          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 19:25

            @arthes
            Heureusement que le peuple pense à lui. 
            Mais, sans vouloir être désagréable, vous confondez un groupe diversifié avec un citoyen. Le peuple quand il décide, c’est à plusieurs, en assemblée.
            Croyez-vous que les représentants du peuple ne pensent qu’à l’intérêt général ?
            Regardez les résultats en Suisse des votations. Le peuple est capable de maturité surtout lorsqu’il est éduqué à la vie civique en permanence depuis 178 ans. 
            L’important dans la démocratie directe, c’est le débat permanent.
            Mon idée, c’est qu’en face d’une assemblée de représentants, il y ait toujours une assemblée citoyenne votée au sort parmi des volontaires et représentant sociologiquement le pays. Une peu comme ce qu’on a fait avec la convention climat cette année.


          • chantecler chantecler 8 juin 2020 08:31

            @arthes
            Assez d’accord avec vous .
            Ce réchauffement anthropologique sincèrement je n’y crois pas .
            Mais même : supposons que ce soit le cas : il serait le fait des pays très industrialisés ce que nous Français nous ne sommes plus .
            La Chine n’en rien à battre de la production de CO2 : ni pour ses usines, ni pour le transport de sa production .
            Alors revenons à l’écologie de base : lutter pour la biodiversité , pour le maintien de la faune et de la flore ; limiter la surexploitation des forêts exiger que l’on reboise après les coupes , etc etc...
            Un détail encore : lors des élections européennes les écolos ont marqué des gros points .
            E. Macron n’en était pas désespéré .
            Parce que pour lui , toujours à la recherche de pognon en provenance du peuple dont il se fiche comme de sa première chemise , il y voit l’occasion de taxer , taxer et encore taxer : le CO2 , les carburants etc etc ....
            Alors prout au zécolos politiques qui voient dans l’écologie le moyen de se montrer originaux , comme avant « la révolution » néolibérale et la mondialisation nous ont été imposés .
            De plus une révolution écologique demanderait à mobiliser des sommes fantastiques que l’état ne possède plus .
            C’est en ça que je me méfie des projets de l’avenir en commun .
            Non décidément nous tournons en rond .
            Disons que pour moi le souci est de mettre un arrêt au néolibéralisme , à la mondialisation , à relocaliser et à réintroduire des règles des lois et éventuellement planifier .Afin que chacun trouve sa place et puisse croire en un avenir autre que le chômage , le petit boulot sans intérêt , le logement abordable etc, etc ... 
            De toutes façons par la force des choses on va y revenir :
            Nos balances commerciales à déficit abyssal , la paupérisation croissante de la population , la classe moyenne qui se fait niquer , leur politique de l’offre boostée encore un temps par le crédit ça ne peut pas durer...
            Par contre j’ai comme des appréhensions pour quand tout ça va éclater , devenu intenable .


          • arthes, Britney for ever arthes 8 juin 2020 18:56

            @chantecler

            Disons que pour moi le souci est de mettre un arrêt au néolibéralisme , à la mondialisation , à relocaliser et à réintroduire des règles des lois et éventuellement planifier .Afin que chacun trouve sa place et puisse croire en un avenir autre que le chômage , le petit boulot sans intérêt , le logement abordable etc, etc ...

            Je vois cela possible, faisable et réalisable au niveau local...C’est pour cela que les municipales m’intéressent...Pour le dire vite, c’est tout ce qui nous reste pour pouvoir agir, déja, dans sa propre sphère, vite, concrètement, avec des moyens qui se réduisent comme peau de chagrin, mais justement, cela oblige à faire preuve d’inventivité, de création, sortir de l’endormissement....Quant à la mondialisation, je ne suis pas contre, mais c’est si compliqué pour qu’elle soit bonne...En Europe, nous avons raté le coche, juste des traités commerciaux,comme ciment entre les peuples, et des axes financiers, pour une dépendance financière, l’Europe du centre a disparu suite à deux guerres, quel gâchit, quelle perte !!!!...Avec le corona, nous avons bien vu à quel point, et sans surprise, le « chacun pour soit » de chaque « province » (je n’ose mm plus dire nation" reflétait l’absence de sentiment de faire partie d’une entité homogène.


          • arthes, Britney for ever arthes 8 juin 2020 19:04

            @Jean-Luc Picard-Bachelerie

            Le débat permanent , genre les ateliers citoyens, ce n’est pas l’action, nous avons besoin d’actions, et pas de blablas interminables, avec des phraseurs qui représentent le peuple (tirés au sort) et des représentant pour écouter les phraseurs, représentants eux même pas forcément dénués de soif de pouvoir, ce n’est pas si simple, c’est même utopique, et puis...« interdire ce qui est futile » ...( j’ai lu cela dans votre billet) Allez, qui décrète ce qui est futile ? Moi ? Vous ? Et pourquoi l’interdire ?


          • Clark Kent Séraphin Lampion 6 juin 2020 17:29

            Le capitalisme est un système économique plus évolué que le troc et permet des échanges plus complexes grâce à l’accumulation par certains d’un « capital » qu’ils mettent à disposition (contre rémunération) de personnes souhaitant créer un outil de travail ou acquérir un bien. Ce système est aussi vieux que le néolithique et doit son nom au mot « cheptel » qui désigne le nombre de « têtes » de bétail d’un troupeau. La valeur du troupeau est en effet proportionnelle au nombre de têtes, ce qui donne à son propriétaire un avantage sur ceux qui ne possèdent aucun animal et deviennent dépendants de lui s’ils veulent subsister.

            L’évolution de ce système s’est tellement complexifiée que nos regards de myopes ne permettent plus, la plupart du temps de discerner les mécanismes de base qui sont restés les mêmes, y compris en URSS et en Chine, états qui ont rapporté et dont l’un rapporte beaucoup d’argent aux financiers, même si l’histoire est souvent écrite autrement. 

            Ces deux exemples montrent que l’aveuglement qui consiste à se renfermer dans un déni en affichant une façade qui n’est pas représentative du vrai fonctionnement de l’économie mène à la faillite :

             en URSS, l’économie parallèle (marché noir et flux clandestins de capitaux) a fini par devenir la règle avec la prise du pouvoir par les mafieux d« Eltsine qui ont fait long feu

             en Chine, le parti communiste est devenu l’appareil officiel d’un capitalisme d’état

            On ne remplace pas un système économique par des concepts comme celui de »résilience« ou un autre. Il faut un moteur. Et l’utilisation du moteur vieux de 10 000 ans repose sur la propriété privée des biens de production (foncière et productive, ce que les vieux comptables appelaient »capital mort« et »capital vivant« devenus »passif« et »actif") et le crédit privé. 

            Pour se passer du capitalisme ou en sortir, il faut concevoir un autre type de moteur, et non pas se gargariser de mots à la mode.


            • Pierre Régnier Pierre Régnier 7 juin 2020 10:27

              @Séraphin Lampion

              Vous dites : Pour se passer du capitalisme ou en sortir, il faut concevoir un autre type de moteur, et non pas se gargariser de mots à la mode.

              Oui, mais il ne faut pas non plus, à l’inverse, nier ce que nous avons appris ces dernières décennies : en plus de la logique interne du capitalisme depuis qu’il existe (la création et le maintien d’inégalités flagrantes) il détruit les moyens naturels de vivre sur la planète que nous habitons.


            • Old Dan 6 juin 2020 23:20

              Bon article !

              Vous ne proposez rien moins qu’une métamorphose du « récit présupposé », de la légende du « progrès » que chacun se fait de la marche du monde ; et qu’il lègue à sa descendance depuis 2 siècles via l’éducation, les médias, la pub et les modes... jusqu’à l’abrutissement et la crétinisation organisée.

              Changer de Conscience est plus lent que changer de smartphone ou de régime politique. La prochaine génération en aura-t-elle le temps ?...


              • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 00:31

                @Old Dan. Wow ! Et c’est ça qui se prend pour le Guide Suprême de la Conscience !


              • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 09:32

                Il y a vingt cinq siècles, Sun Tzu a décrit l’usage des agents morts, ou condamnés, ou liquidables selon les traductions. Il est astucieusement combiné qu’ils seront démasqués par le royaume adversaire, et qu’une fois morts, ils ne pourront plus dévoiler à l’interrogatoire à quel point les renseignements confidentiels qu’ils portaient sur eux, sont fallacieux.

                Ici, dans nos pays surenveloppés, la secte écolo sert d’agents morts, inconscients de servir à l’ennemi, dont par exemple les fortunes pétrolières, et les banksters mondiaux.

                Bien sûr que eux aussi, quand ils auront bien contribué à ruiner leur pays, et le contraindre à mendier à genoux aux fortunes pétrolières, eux aussi seront ruinés et affamés, et que leur éventuelle descendance sera broyée et droguée ; ils ne sont que des imbéciles providentiels, exploitables sans merci. L’ennemi a su exploiter leur narcissisme de meute, leur carence en jugeotte, et l’insondable échec de l’enseignement scientifique dans notre pays.


                • Old Dan 7 juin 2020 10:11

                  @JC_Lavau
                  (Rires !)
                  Sors de ce corps, Didier Raoult, grand lecteur de SunTzu (selon les traductions), prophète visionnaire de l’avenir planétaire, et pourfendeur d’hérétiques impénitents selon... vous-même !
                  En clair, on se repend tous à genoux d’avoir ruiné nos pays bla bla...
                  .
                  [ Vos pilules ? Si c’est le confinement, ouvrez donc la fenêtre... Bof ! ]


                • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 14:29

                  @Old Dan. Dans une autre guerre de religion, cet autre psychotique asservi à sa guerre de religion nous assénait qu’il avait trouvé la vitesse de la lumière dans le coran, avec huit décimales exactes :
                  http://citoyens.deontolog.org/index.php/topic,527.0.html
                  Jamais les guerres de religion n’ont rendu intelligent.


                • arthes, Britney for ever arthes 7 juin 2020 15:30

                  @JC_Lavau

                  Ici, dans nos pays surenveloppés, la secte écolo sert d’agents morts, inconscients de servir à l’ennemi, dont par exemple les fortunes pétrolières, et les banksters mondiaux.

                  Wow...Toutafait !!!


                • JC_Lavau JC_Lavau 7 juin 2020 17:29
                  Le climatologue Roy Spencer a entrepris de détecter le signal anthropique dans l’évolution de la teneur atmosphérique en dioxyde de carbone. La crise sanitaire due au covid a provoqué un ralentissement mondial sensible de l’économie et donc des émissions de CO2. Il a donc cherché à voir comment cette brusque réduction se traduisait dans les données relevées par l’observatoire de Mauna Loa. Pour comparer, il a été amené à tenir compte du cycle annuel lié à la végétation dans l’hémisphère nord et à l’effet mesurable de la température moyenne des océans (en particulier les El Niño, La Niña).

                  Résultat : la sensible réduction de la consommation mondiale de combustibles fossiles (le prix du pétrole est même devenu temporairement négatif) n’a pas eu d’effet détectable.

                  http://www.drroyspencer.com/


                  • Francis, agnotologue JL 7 juin 2020 18:12

                    @JC_Lavau
                     
                     ’’ la sensible réduction de la consommation mondiale de combustibles fossiles (le prix du pétrole est même devenu temporairement négatif) n’a pas eu d’effet détectable.’’
                     
                    Le climatologue Roy Spencer doit habiter dans une campagne bucolique. mais les gens qui habitent en ville ont bien perçu eux, la différence.


                  • Sparker Sparker 7 juin 2020 22:26

                    @JC_Lavau

                    Dans mon coin de montagne à 1000m les arbres et arbustes sont couvert de fruits et de fleurs, les abeilles virevoltent c’est splendide et ça c’est noué pendant le covid, je ne sais pas s’il y a une incidence mais c’est remarquable et ça n’est pas arrivé (autant) depuis bien longtemps. 


                  • Bertrand Loubard 7 juin 2020 21:12

                    Merci pour votre billet. Vous dites :
                    - Cesser d’avoir peur et d’accepter de se soumettre aux maîtres du monde.
                    - Croire que les 99 % peuvent se débrouiller sans le 1 %.
                    - Bâtir un système de développement radicalement différent.
                    Je suis, évidemment, d’accord avec vous.
                    Mais, « Refuser de se soumettre aux maîtres du Monde », OK. C’est bien nécessaire ; mais comment refuser une seconde ou même une deuxième (ou troisième) pandémie dont nous serions, justement, les premiers responsables, par notre refus de reconnaître l’évidence de la maîtrise du monde par ceux qui, normalement, détiennent, légitimement, les leviers de ces nouvelles pandémies ?

                    En fait : « Croire que les 99 % peuvent se débrouiller sans le 1 %. ». c’est ce qui depuis des siècles ou des millions d’années a toujours été les cas .... Comment ne pas croire cela ? Où sont les vérifications scientifiques de cette assertion ? Car que signifie se débrouiller... sinon comme on le fait, tous, maintenant, depuis le début de la pandémie, abaisser nos frocs et dire merci poliment .... en fonction de ce qui ne nous sera pas « fourré » trop douloureusement ... ?

                    Et finalement, « Bâtir un système de développement radicalement différent ».... Je ne peux que me remémorer les autres systèmes de développement qui ont été mis bâtis radicalement différents. Et excusez-moi ... mais ce n’est pas trop positif....
                    Bien à vous.


                    • Jean-Luc Picard-Bachelerie 7 juin 2020 22:06

                      @Bertrand Loubard
                      Un peu de pommade au début pour mieux planter la banderille à la fin. :)
                      Quand je dis se débrouiller sans le 1%, je ne parle pas de la vie de tous les jours mais de mettre en place un système en se passant de leurs intérêts particuliers.
                      Quant aux réminiscences des systèmes dictatoriaux, certes, il y a toujours danger. Mais dans la mesure où nous sommes soumis à la dictature du capital, je ne vois pas vraiment d’argument pour s’opposer à essayer autre chose. Car, si nous ne sortons pas très rapidement de notre système, je ne vois pas comment la civilisation survivrait dans des conditions acceptables. Si nous avons encore le temps pour éviter cela. Je n’en sais rien.


                    • Sparker Sparker 7 juin 2020 22:27

                      @Jean-Luc Picard-Bachelerie

                      Qui et comment mettre en place ce système ?


                    • Bertrand Loubard 7 juin 2020 23:04

                      Merci de votre réponse.

                      A Bruxelles, Capitale de l’Europe, il n’y pas 4 heures que les forces de la répression ont sifflé la fin de la « récréation ». Ne sera-t-il pas, dès lors, fort probable que le gouvernement de Belgique (Gladio ?) décrète une deuxième vague de la pandémie et celle-ci étant due, évidemment, aux « casseurs » qu’il aura lui-même « mandatés » .... Depuis les Gilets Jaunes : « Bis repetita placent », ne continue-t-on pas à abaisser son froc ? ....Mais pourquoi faut-il que ce soit à la fin d’une manifestation (pacifiste pendant plus de 3 heures) et qu’il n’y a plus « personne », justement, que ces casseurs infiltrés (filmés par ailleurs) pour s’exprimer de la manière que l’on apprise à connaître ..... et pourquoi faut-il qu’ils ne sont-ils jamais ... interpellés ? ...Bonjour Benalla et .... Pardon Maceron !!!!

                      Bien à vous.


                    • Old Dan 8 juin 2020 09:12

                      @Sparker
                      Comment changer de système ?... (LA the question ds l’état actuel !)
                      Surtout ne rien faire, continuer comme maintenant, laisser tout s’écrouler = (le vrai retour aux cavernes du RN)
                      ... et, ds 3 générations attendre qu’une majorité fut redevenue intelligente ! Ou moins stupide. Ou un messie (Bolsonaro junior, Raoult bis, Lavau II ?
                      S’ra pas belle, la vie ??...
                      .
                      [ Évidemment, j’déconne... de désespoir, de rogne comme beaucoup d’autres. Alors j’vais arroser les tomates et envoyer un p’tit don à XR... GRRR ! ]


                    • gnozd gnozd 8 juin 2020 11:19

                      Alors je vais faire comme Bertrand Loubard : un peu de pommade au début, et estocade après.

                      Pommade : vous avez raison.

                      FAUDRAIT QU’CA CHANGE !!! (C’est probablement ce que se disent tous les idéalistes depuis l’avènement des premières civilisations.)

                      On sait pas trop comment, mais yakafokon.

                      Estocade : comme je dis toujours, le véritable changement va se faire quand la der des der des gouttes de pétrole aura été pompée, ou extraite sur les derniers schistes dignes de ce nom, et que les sociétés (désormais privées pour la plupart) qui s’occupent de la maintenance des sites nucléaires auront oublié tous les protocoles..., alors là ouais, ça va être une putain de révolution !

                      En attendant, le système se perpétue tranquillos, profitant aux enfoirés d’en haut, mais aussi, ne pas l’oublier, aux enfoirés d’en bas, avec entre les deux la populace qui se déplace régulièrement pour élire des connards parfaitement interchangeables, et qui paye pour tout le monde.

                      J’espère que les quelques ruraux résilients de l’époque qui feront pousser leurs légumes et élèveront leurs bétail sauront aussi manier la kalachnikov et le bazooka, parce que quand les derniers loubards urbains auront finis de dévaliser ce qui restera des super-marchés, qu’ils auront mis à sac les beaux quartiers, qu’ils auront fini de bouffer les chiens, puis les chats, puis les pigeons, puis les rats, puis les bébés, puis les vieux, puis les femmes, et bien ces charmants garçons déferleront sur les campagnes, tant il est vrai que depuis le début du néolithique, le monde appartient aux carnassiers.

                      Bienvenue dans le monde réel.


                      • Ecométa Ecométa 8 juin 2020 12:05

                        Force est de constater que l’on est bien loin du vœu pieux cartésien d’une « science pure et parfaite », et qu’en est-il de son corollaire la technique, qui, si assez souvent donne satisfaction, satisfait réellement, est, par ailleurs tout aussi problématique. Que de controverses !

                        Nous sommes en plein dans la prédiction de Rabelais : Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ... science sans « Ontologie », sans « Déontologie », sans « Étique », sans « Altérité » : sans « Humanité » ! Surtout quand il s’agit d’ Économie... car l’économie c’est la vie humaine !

                        Dans toutes ces controverses, ces « seuils contreproductifs » évoqués par Ivan Illich, tous ces retours de bâtons pour une immense majorité d’individus... pour le profit d’une minorité : Il faudrait assurément un juge paix !

                        Il faudrait tout simplement un peu plus d’entendement, de « bonne intelligence » et moins de « malignité » ; plus de "raison raisonnable« , de simple efficience et non d’encore plus de »rationalisme" !

                        La science et la technique seraient-elles sans poser de problèmes ? Il est patent, sauf pour un « tenant du scientisme » qui s’est beaucoup exprimé ici, que la science et son corollaire la technique posent autant de problèmes qu’elles en résolvent, voire bien plus, qui plus est irrémédiables ! Comment peut-on être aussi érudit et aussi crétin ! On atteint là, en la matière des sommets… il est vrai que c’est précisément à cela qu’on les reconnait : au fait qu’ils osent tout !

                        Globalement d’accord ! Pour autant il manque une chose essentielle : il nous faut repenser fondamentalement l’économie. Le faire en fonction de quoi ? Tout simplement de la vraie nature de l’économie qui est « sociétale » ! Cesser de considérer l’économie comme un système purement « physique » au prétexte scientiste qu’il y a des « flux » ! 

                        L’économie, émergence métaphysique humaine, existait bien avant les pseudo-sciences sensées l’étudier ; qui ne font que l’agiter en fonction de principes essentiellement rationalo-positivo-techoscientsites du moyen pour le moyen et du moyen imbécile !

                        Une sérieuse remise en cause épistémologique de l’économie s’impose ; qu’elle se fasse non plus par un « simplisme » dogmatique mâtiné de technoscientisme rationaliste de l’individualisme méthodologique qui confine à la chose pour la chose et à la chose imbécile ; mais par une approche plus complexe comme celle « écosystémique » qui assemble au lieu d’opposer ! 

                        La science économique, ou plus exactement les sciences économiques, car elles sont pléthores, comme autant de moyens à mettre en œuvre, qui, le pus souvent s’ignorent et même se combattent ; les sciences économiques, toutes basées sur le dogmatisme, sont une véritable imposture intellectuelle !


                        « La perfection des moyens et la confusion des buts semblent caractériser notre époque ; il est hélas devenu évident aujouyrd’hui que notre technologie a dépasser notre humanité ! 

                        Albert Einstein

                        Il est évident que nous allons tout droit, à vitesse »V« , vers le transhumanisme et la fin du principe d’humanité » !


                        • Old Dan 8 juin 2020 14:35

                          @Ecométa
                          Rabelais, Ilitch, Einstein...
                          Vous avez de bonnes références...
                          .
                          [ ... mais quand est-ce qu’on s’bouge, en vrai, dans la réalité d’aujourd’hui ? ]


                        • Ecométa Ecométa 8 juin 2020 17:17

                          @Old Dan
                          Le problème c’est que le mal est profond... très profond, abyssal, que les gens qui tiennent les clés de l’ « oiko », de la maison économie (oikonomia), des règles de la maison, n’ont pas envie que cela change ! On va repartir de plus belle dans le genre, car pendant le covid 19, les riches se sont encore plus enrichis, et surtout ils vont avoir des opportunités incroyables d’investissement !
                           
                          Nous ne sommes hélas pas tombés assez bas ; les tenants des clés, les politiques, les tenants du capitalisme financiaristes, les affairistes, n’ont rien payées de cette crise, quant à ceux qui ont réellement payé : il s’en foutent royalement !.

                          « Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu’il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau »

                          Albert Einstein

                          Le changement n’aura pas lieu, ou à la marge ; en réalité, il n’y a pas l’intelligence, pas la simple et réelle compréhension de la chose économique par les économistes, pour que tout cela change ! 

                          Je voudrais me tromper... mais hélas !


                        • Pierre Régnier Pierre Régnier 8 juin 2020 17:44

                          @Ecométa

                          Le véritable obstacle est l’économisme lui-même. Il faut prendre conscience que c’est une philosophie. C’est la philosophie de ceux qui considèrent que la première tendance naturelle de l’homme est le devoir de se consacrer à l’économie : exploiter les richesses naturelles et en produire d’autres, et jouir des unes et des autres sans se préoccuper de leur répartition.

                          La logique capitaliste qui conduit le monde à son effondrement c’est aussi simple que cela.


                        • Ecométa Ecométa 8 juin 2020 20:38

                          @Pierre Régnier
                          C’est un fait : le problème c’est l’économisme ; autrement dit l’économie portée à son paroxysme technoscientiste !

                          Par contre ceci ne relève pas de la « philosophie », du moins, personnellement, j’ai une autre idée de ce qu’est la philosophie ; étymologiquement, l’amour du savoir et l’ami de la sagesse !

                          Là on est dans le sophisme le plus pur et même en plein cynisme, ce que combattaient précisément les philosophes de l’Antiquité comme Socrate Platon et Aristote  !

                          Au bout du compte, avec le savoir que nous avons développé, en totale négation de tout entendement, de la bonne intelligence, de la « Nature » et des « états de nature », dont notre propre nature humaine ; ce sont les sophistes et les cyniques qui ont gagné !


                        • Old Dan 8 juin 2020 21:32

                          @Ecométa
                          ... mais au-delà d’un certain seuil, l’économisme (= capitalisme actuel) n’est-il pas une histoire créé de toute pièce, une légende humaine, une convention mentalement acceptée... et généralement consentie  ?...
                          .
                          [ Même devenu monstrueux, il n’est donc pas inoxydable, etc... ]


                        • Pierre Régnier Pierre Régnier 8 juin 2020 22:55

                          @Old Dan

                          Je crois que vous vous trompez gravement. Le capitalisme qui, après le covid 19 va se développer comme avant s’il n’y a pas intervention révolutionnaire mais pacifique du peuple, et qui va donc continuer de mener le monde à sa perte est le contraire d’une convention. C’est avant tout une logique naturelle.

                           

                          Et c’est parce que les humains, dans leur très grande majorité, pensent que le naturel est forcément bon, qu’ils avancent « sagement » vers le grand effondrement « sans s’bouger », comme vous dites.

                           

                          C’est pourquoi je crois qu’il est nécessaire et urgent de développer une philosophie contraire, pour s’opposer pacifiquement à cette épouvantable logique naturelle.


                        • Old Dan 9 juin 2020 01:07

                          @Ecométa
                          Va pour un capitalisme « naturel » au départ.
                          Mais les présupposés initiaux existent-ils encore ?
                          Ce qu’il en est advenu depuis 2 siècles (spéculation HF, complicité en holdings, optimisation fiscale...) ne reposent que sur des conventions (entre amis ?) qui n’ont plus rien de « naturelles », et qui sont acceptées par tous comme la seule possibilité.

                          D’accord pour une révolution copernicienne du système. D’abord dans les esprits : L’entraide, la coopération plutôt que la jungle et la compétition darwinienne.
                          .
                          [L’idée chemine... chez les jeunes qui dérouillent et endurent là où j’habite. ]


                        • Ecométa Ecométa 9 juin 2020 11:02

                          @Old Dan
                          Il faut définir les choses dont on parle ; c’est la seule façon de s’entendre, d’être certain que l’on parle bien de la même choses.

                          J’ai même l’habitude, dans une définition, bien sûr de dire ce qu’est une chose mais surtout, en même temps de surtout dire ce qu’elle ne peut, et ne doit pas être... d’un point de vue de l’Ontologie, de la Déontologie, de l’Ethnique et de l’Altérité ou fait sociétal ! Car l’humain , certes « individualité » : fait « société » !

                          Pour moi , le capitalisme c’est le capital porté à son paroxysme, tous les mots en « isme » sont des paroxysmes ; de ce fait le capitalisme ne peut pas être un système économique en soi ! C’est un pur « DOGME »... ce qui ne fait pas une philosophie, ni une convention sociétale ! Nous sommes dans le dévoiement du savoir, de la logique, de la raison : nous sommes en pleine prévarication économique, comme républicaine (Res-publica,la « chose publique »), avec une « République tellement mal menée en ce moment par des traitres à la République et qui la dirige.  

                          Je suis pour l’usage du capital en économie, moyen utile et nécessaire à l’économie, même à la »logique d’ensemble« ( sens étymologique du terme d’économie oikonomia oiko la maison et nomia la règle ) ; une logique d’ensemble, et non particulière, dont doit relever une économie qui se respecte. ceci à la condition express que le capital soit économiquement au service de l’ensemble et non confiscatoire des libertés individuelles, et au service de quelsques privilégies .
                          Au passage le revenu universel serait comme revenu du »capital« donné à »priori« à tout un chacun, ceci inconditionnellement ; puis repris par l’impôt s’il n’est pas utile et nécessaire à son bénéficiaire. Qu’on ne me dise pas que ceci favoriserait la fainéantise (il y en aura comme toujours) ; ceci favorisera plus la liberté individuelle dans des choix de vie, et donc l’épanouissement personnel, de tout un chacun !

                          Ce serait un sérieux moyen de lutter contre les contraintes sociétales, du moins leurs non-prise en compte,par le libéralisme économique et son corollaire le capitalisme !

                          Le »libéralisme économique« c’est la non-prise en compte des contraintes sociétales qui diminuent les gains des affairistes : des tenants et des aboutissants capitalistiques.
                           
                          Je suis pour l’usage du capital en économie, mais je suis contre le »capitalisme« , usage paroxysmique qui réduit au maximum l’économie à ce seul et simple moyen qu’est le capital.De même, je suis un »libéral« convaincu, mais je suis coutre le »libéralisme« qui est un usage paroxysmique d’une liberté vouée exclusivement à l’économisme. Un libéralisme qui est le fossoyeur des libertés économiques sociétales : une négation du concept même de »société«  ! 

                          il est évident que nous avons développé, ceci depuis quelques siècle une civilisation paroxysmique qui abuse tout : la nature et les états de nature... dont niotre propre nature humaine ! 

                          Une sérieuse remise en cause épistémologique s’impose ! Il nous faut en finir avec l’ »individualisme méthodologique« de la science cartésienne et son rationalisme qui confine à la chose pour la chose et à le chose imbécile ! Il nous faut revenir au »principe cognitif de Blaise Pascal,« car lui, contrairement à Descartes, qui cherchait encore et toujours ; lui Pascal avait tout compris de la complexité du monde physique mais également métaphysique des humains, une complexité »écosystémique« , ceci, bien avant les physiciens de la physique quantique ! 

                          Cette révolution de la pensée doit être »écosystémique« , car ce n’est pas le simplisme cartésien de la chose pour la chose (de la chose imbécile) qui mène les choses mais une »complexité écosystémique«  !

                          Au plan purement physique, de l’élément le plus petit au plus immense, comme au plan métaphysique humain d’ailleurs : tout est »système« et »écosystème«  ! Le »système« à la particularité d’être à la fois l’unité de l »élément composant« et l’unité de l’ »élément composé«  !

                          C’est dans le »système« , dans la »logique écosystémique« , car tout système est »écosystème« ... »tout étant lié par un lien invisible« nous dit Pascal dans son principe cognitif ; c’est là, dans la logique écosystémique » : dans la logique « écosystémique » qu’est l’unité du savoir !

                          N’en déplaise au aficionados d’une « dichotomie » sans nul doute vieille résurgence de l’antédiluvienne lutte entre le bien et le mal, d’une dichotomie qui mène à cette « civilisation paroxysmique » que nous avons développée ; n’en déplaise à ces aficionados qui aiment diviser pour régner !


                        • Spartacus Lequidam Spartacus 8 juin 2020 12:14

                          Dire que ces écolos-fascistes se présentent et se croient bienveillants et dans le camp du bien.

                          Sans blague ils y croient...

                          1-Les 1%

                          En premier ils stigmatisent. En effet les totalitaires ne peuvent exister s’ils n’ont pas des minorités a accuser des malheurs.

                          L’auteur pour écrire ce texte utilise un ordinateur qu’un type du 1% lui a permis d’utiliser a lui pékin lambda alors qu’avant c’était réservé à une élite.

                          Un autre du 1% lui permet d’effectuer gratuitement des recherches pharaoniques sur son écran et a plus d’infos que s’il avait acheté 200 encyclopédies.

                          L’écolo-gauchiste nie l’apport des 1% à la collectivité. Il est haineux et jaloux.

                          Faut il lui expliquer que les 1% sont un paradoxe de Simpson et Bezos a vendu des mac do à 18 ans pour survivre ?

                          2-L’intérêt général

                          C’est la marotte du totalitariste ou de quelque « bien commun » (notions vides de sens) mais dans la perspective de conquérir le pouvoir et imposer par la force étatiste ses lubies.


                          3-Le misérabilisme

                          Il est partout. Pour l« écolo fasciste, il faut surjouer le malheur, la planète en flammes, les ptits oiseaux et oublier que refuser les OGM c’est refuser le riz doré a pauvres. Que les éoliennes sont places à 20% dans des resserves naturelles, que l’interdiction des pesticides a laissé les criquets passer du Kenya à l’Inde en passant par le yemen et le pakistan.

                          Le misérabilisme, c’est le capitalisme (forcément). Imposer l’écolofascisme c’est forcement bien.

                          Vous consommerez moins.

                          5-Les idées 

                          En général appelées »solidarité" ce n’est que des contraintes, interdiction domination étatiste et privation des libertés.

                          Il faut détruire la consommation, le consumérisme.

                          L’écolo fasciste ne dit pas ce qu’il faut faire avec ceux que ça n’intéresse pas d’attendre 8h que la voiture redémarre, manger du steak de soja et veulent des oranges à Paris.

                          Ca fait penser à Hulot qui a 6 voitures et 2 maisons de maitres, et fait dans le monde une litote sur la frugalité au coté de Binocheegérie de la fashion week temple de la consommation de luxe.


                          Imposer la non consommation. Plus ordinateur, retourne a la machine a écrire et au pigeon voyageur pour tes mails.


                          La banque « étique » attention, pas d’investissement dans les routes, le bitume c’est pas éthique. Vous aurez droit a des chemins maintenant.


                          les énergies renouvelables (pas d’électricité la nuit sans vent). Vous reviendrez a la bougie. Et devant chez vous des poteaux avec socle en béton armé.


                          Et puis la verdure a Paris.  20 000 habitants au km2, ils vivront sous terre.

                          A raison de 15m2 par arbre, pour laisser place les appartement feront 3m2.


                          Bref une grande farce.


                          • Pierre Régnier Pierre Régnier 8 juin 2020 16:31

                            @Spartacus

                            C’est sûr qu’un Hulot se croyant bienveillant et dans le camp du bien c’est révoltant.

                            C’est sûr aussi que les écologistes moins tricheurs mais qui croient pouvoir réaliser un monde écologiquement vivable sans modifier drastiquement la répartition des richesses naturelles et celles qui sont produites par le travail des hommes font partie, qu’ils le croient ou non, de ceux qui alimentent votre discours.


                          • Jean-Luc Picard-Bachelerie 8 juin 2020 23:01

                            @Spartacus
                            Je vois que pour vous le libertarianisme c’est enfermer les gens dans des généralités et de le cracher à la figure de l’un d’eux. Vous appelez ça du libertarianisme, moi j’appelle cela de la discourtoisie, de l’étroitesse d’esprit ou de la malhonnêteté intellectuelle et surtout de l’irrespect. Tout pour convertir au libertarianisme. Restez avec vos idées fixes et toutes faites, cela vous évite de vous fatiguer. Je suppose qu’avec votre paresse intellectuelle vos oeuvres sont à son image.


                          • Spartacus Lequidam Spartacus 9 juin 2020 22:26

                            @Jean-Luc Picard-Bachelerie

                            L’écolo-fasciste se croit intouchable et joue la vierge effarouchée quand on démoli par des arguments démontrés les fondements de ses convictions.

                            Devant des arguments, on joue pas Calimero à se croire visé, on essaye d’y répondre.
                            Au lieu de surjouer le juge des courtoisies, on argumente sur les fond.

                            La vérité c’est qu’en face des arguments développés, il est plus simple de jouer s’enfuir que d’assumer la vérité qui dérange et y répondre.


                          • jymb 8 juin 2020 13:30

                            Les faits sont têtus, dans la vraie vie, écologie signifie interdits, taxes, malus, restriction, flicage, bref pain bénit pour des états qui rêvent de peuples soumis, pressurés, vidéosurveillés, réduits à la marche à pied 

                            Et ils se trouvent des zozos pour le défendre

                            A eux demain la puce de surveillance injectée sous la peau 

                            Juste aprés le mouchard dans la voiture et le permis de promenade en forêt sur chemin électronico balisé ( avec envoi automatique d’amendes si écart ) 


                            • gnozd gnozd 8 juin 2020 14:19

                              @jymb

                              Les vrais écolos, ils plantent leurs choux, ils se débrouillent comme ils peuvent, et en général ils bossent dur.
                              Et ils sont rares.


                            • Jean-Luc Picard-Bachelerie 8 juin 2020 23:04

                              @jymb
                              Dites-moi à quelles lignes vous trouvez « interdits, taxes, malus, restriction, flicage ». Mais, il est vrai qu’en ces temps bénis du capitalisme nous sommes sans interdits, taxes, malus, restriction ni flicage. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.


                            • Ecométa Ecométa 9 juin 2020 11:41

                              @jymb

                              Écologie signifie « logique d’ensemble » et non tout ce que vous vomissez haineusement !

                              « Rien n’est plus proche du vrai que le faux ! »
                              Albert Einstein

                              En « fait », il faut beaucoup de lucidité, de perspicacité, d’entendement, pour les discerner : assurément tout ceci vous manque !


                            • ddacoudre ddacoudre 10 juin 2020 10:39

                              bonjour

                              si je souscrit sur le fond, il manque pour moi l’essentiel la raison pour laquelle l’organisation capitaliste du travail perdure et perdurera malgré ton programme réaliste.

                              le facteur humain est essentiel à appréhender.

                              l’humain court après la facilité, ce que nous appelons être fainéant, même si pour avoir accès à cette facilité nous sommes capable de faire de gros efforts.

                              Notre nature est d’être des cueilleurs comme tous les animaux. notre particularité est d’être capable de produire ce dont nous avons besoin. pour les besoins de base certes mais aussi pour en retirer un avantage qui nous porte au rang des 1%, si ce n’est de toutes les positions subalternes que nous retirons de notre activité travail voire en se soumettant aux dominants.

                              il est important de comprendre que ces dominants qui composent le 1% sont des dominants de deuxième rang, le dominants réel est le dominant systémique c’est à dire le libéralisme capitalistique. car tu pourrais éliminer tous ces gens qui composent le 1%, les 99% d’autres fourniraient un autre 1% de sa population pour les remplacer en les cooptant. il en est ainsi depuis des lustres, depuis plus de 8000 ans sous différents paradigmes. ce sont seulement eux que nous réorganisons. ton projet en est une forme, il revêt un caractère plus équitable plus social, plus citoyen, mais il reste de la gestion du capitalisme adapté aux réalités des conséquences du paradigme capitaliste en vigueur dont tu as donné les caractéristiques.

                              le socle du capitalisme est le Plan Comptable. l’activité travail y est ventilée pour assurer la richesse de celui qui entreprend. c’est « simplistement » comme cela :

                              un entrepreneur décide de produire ce que les hommes désirent. il investi un capital d’origine dont il a hérité historiquement ou acquis, avec il rémunère le salarié qu’il emploi pour produire ce que ce Salarié Achètera.

                              l’on comprend alors qu’il devra le lui vendre plus Cher pour couvrir son investissement et assurer ses ressources ou profits.

                              c’est ainsi qu’avec son salaire le salarié qui a produit le travail ne pourra pas l’acheter. Il devra emprunter la différence, est c’est encore le capital qui lui prêtera l’argent contre remboursement.

                              Comment changer cela, comment supprimer le salaria qui n’est qu’une étape dans la vie. faire en sorte que la valeur du travail devienne un capital travail, et pour le mesurer nous ne pouvons utiliser le système en vigueur qui n’est que suggestif du rapport des forces.

                              par contre nous sommes capables d’évaluer le travail de chacun en énergie, car le travail ce n’est que cela de l’énergie dépensé pour obtenir ce qui n’est pas à disposition par la seule cueillette. cette mesure existe c’est le joule. ainsi au quatre coin du monde nous pourrons avoir une valeur commune stable et réfutable et mesurer nos activités en énergie. nous faisons cela pour le sport.

                              Le prix des produits se calculerait en fonction de l’énergie réelle qu’il a été nécessaire de fournir pour le faire, auquel s’ajouterait tous les facteurs humains que nous développons pour marquer nos places sociale.

                              dernier aspect ’l’homme cherche depuis des lustre à se faire remplacer au travail, il est toujours inventif du moindre effort. aucun homme n’ira cueillir la pomme sur la dernière branche si la première en porte une, mais pour cueillir la dernière il construira une échelle pour s’éviter l’effort d’une grimpette.

                              c’est ainsi que nous fonctions, il ne faut dont pas craindre la suppression du travail, mais s’interroger sur la source de revenue et l’activité de compensation pour l’obtenir.

                              tu as en cité quantité et mis l’accent sur le besoin d’apprendre pour appréhender notre monde il y a là une possibilité en rémunérant les hommes pour apprendre sans faire appel au capital privé mais en utilisant le pouvoir régalien d’émettre de la monnaie avec toutes les complications que cela emportes.

                              http://ddacoudre.over-blog.com/2020/01/supprimer-l-impot-sur-les-societes-que-paient-les-salaries.html

                              cordialement.

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