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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 13:01

    @Xenozoid

    Mais qu’est qu’un « parasite » ? Etes vous certain d’avoir assimilé la « définition » ? Vous avez récolté 2 étoiles avec votre réaction. Vous allez donc nous expliquer votre compréhension de ce qu’est un « parasite ». 

    La parasitisme est un « interaction biologique » entre deux organismes. Et vous, Xenozoid, vous venez écrire : « le moustique n’est pas le parasite, il le transmet ». Le moustique « transmet », par conséquent, une « interaction biologique » ? 

    C’est trop simple écrivez-vous ? Je pense que vous n’avez surtout pas compris.
    Le parasitisme n’est donc pas « une molécule » ou un « être vivant » mais désigne l’action qui se produit entre deux êtres, l’un vivant au détriment de l’autre et étant nuisible à sa santé.

    Pour ma part, je vous livre ceci : 

    Qu’est-ce qu’un parasite ?

    Rien de commun entre un pou, un phlébotome et du gui, et pourtant, les trois partagent un trait de caractère pas toujours apprécié. Ce sont des parasites, c’est-à-dire qu’ils se développent sur le dos des autres. Pas seulement sur leur dos d’ailleurs !

    Ainsi, le parasitisme est une interaction biologique qui s’installe entre deux ou plusieurs organismes vivants, mais ici, l’un des partenaires vit totalement aux dépens de l’autre.

    Par exemple, le pou du corps humain se nourrit du sang qu’il y puise, mais n’apporte rien en retour. On compare souvent le parasitisme à son contraire, la symbiose mutualiste qui est une relation où chacun tire un avantage de l’interaction. C’est le cas des champignons mycorhizogènes qui colonisent les racines de plantes. Ils tirent du sol de l’eau et des nutriments utiles à la plante, qu’elle peine à extraire elle-même. En retour, celle-ci leur apporte des molécules carbonées (sucres, lipides) issues de la photosynthèse.

    On compare aussi le parasitisme au commensalisme qui est une relation bénéfique pour«  l’invité  », qui mange à la même table que son hôte, sans lui nuire. Le rémora, par exemple, est un poisson qui se fixe sur la peau des requins ou des tortues. Outre la protection qu’il reçoit d’un plus gros animal que lui, il profite des restes de ses repas et mange des petits poissons qui tournent autour de son hôte.

    Rôle pathogène des phlébotomes

    En France, les phlébotomes ont un rôle pathogène (indirect) majeur en tant que vecteurs deLeishmania infantumchez le chien (ou d’autres mammifères).

    Leur rôle pathogène direct est plus limité. Les piqûres de phlébotomes peuvent provoquer une sensibilisation, décrite chez l’Homme, qui induit des réactions cutanées immédiates ou retardées. Elles se manifestent par des papules de 2 à 3 mm qui restent proéminentes durant plusieurs jours avant de disparaître peu à peu. Le prurit est modéré à sévère et des surinfections bactériennes sont possibles. Les sites de piqûres sont principalement les zones glabres, comme le museau, le pourtour des yeux et les oreilles des chiens.



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 12:46

    @chantecler
     La page wiki. Merci chantecler.



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 avril 20:39

    @Enki

    L’article reprend un raccourci. Il faut comprendre que ce « parasite » ne pénètre pas sous la peau, il « pique » ! C’est toute la différence avec d’autres parasites qui peuvent infiltrer la circulation sanguine. 
    L’article ne dit donc pas « juste ». J’arrête aussi d’expliquer ! 



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 avril 15:55

    @Enki

    J’ai bien lu, mais j’ai été plus loin. Oui, les phlébotomes sont des parasites. Mais, contrairement aux parasites de la gale (l’acarien « sarcoptes scabieux var hominis »), ils ne s’immiscent pas sous la peau de leur hôte mais les « piquent », comme le font les moustiques.

    Pas de parasite dans l’organisme = ivermectine totalement inutile.

    Il est bien indiqué, comme vous l’avez d’ailleurs repris : « Elles sont dues (les maladies) à différents parasites du genre Leishmania, transmis par la piqûre d’insectes communément appelés phlébotomes »

    En revanche, le dioxyde de chlore  ClO2 , un puissant « oxydant », pourrait être très efficace pour éliminer les molécules du « non soi » qui ont pénétré l’organisme après la piqûre. Ce ClO2 est d’ailleurs utilisé par les « baroudeurs » pour purifier leur eau lors de leurs périples loin des sources d’eau potable. L’ajout de dioxyde de chlore vous permet de boire de l’eau même croupie. Tous les germes et micro-organismes qu’elle contient vont être éliminés.

    https://www.sports-alpins-chamonix.fr/purification-de-l-eau/159-gouttes-de-purification-d-eau-au-dioxyde-de-chlore-5031863440103.html



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 avril 15:37

    @Francis, agnotologue

    J’imagine, si cela fonctionne comme chez les moustiques, que c’est, seule, la « femelle » qui vient piquer l’être humain (ou d’autres animaux) pour se procureur du sang riche en « protéines ». Les mâles ne piquent pas parce qu’ils se nourrissent de « glucose » et n’ont pas besoin de faire l’acquisition de protéines abondantes pour des raisons de non ovulation. Je pense que c’est le même schéma chez les phlébotomes.

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