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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 09:15

    @Francis, agnotologue

    Quelque chose qui me parait important, mais dont il est rarement question. Qui pourrait faire l’objet d’un article d’ailleurs si le temps ne comptait pas.

    L’être humain, au cours de son évolution, a su s’adapter à son environnement en développant des compétences pour survivre et perpétuer son espèce. Nous tenons nos gènes de l’Homme du paléolithique, qui s’est construit, des milliers d’années après des milliers d’années.

    Et, parmi les compétences développées par nos très lointains ancêtres il y a « notre système immunitaire ». Tous les problèmes rencontrés par ces Hommes du paléo, nous les rencontrons toujours aujourd’hui et nos organismes doivent lutter contre ces agents pathogènes. Ils le font d’ailleurs assez bien s’ils sont mis en de bonnes dispositions.

    La pollution atmosphérique existait déjà du temps de nos ancêtres du paléolithique. Nos grands aïeux étaient, eux aussi, confrontés à des formes de pollution (éruptions volcaniques, feux de forêts, poussières de sable, spores, etc). Ce qui fait qu’aujourd’hui, il n’est pas « surprenant » de trouver, chez les êtres humains « modernes », le résultat des compétences développées par les Hommes du paléolithique pour lutter contre la « pollution atmosphérique ».

    L’être humain possède des « récepteurs » spécifiques appelés « Aryl hydrocarbon Receptor » -Ahr-, des récepteurs de xénobiotique qui détectent plusieurs familles d’hydrocarbures fortement représentés dans l’environnement (dioxines, PCBs, hydrocarbures aromatiques...).Ce rôle est bien caractérisé chez les mammifères.
    Ces récepteurs détectent, par liaison, les polluants et activent la transcription d’enzymes qui conduisent à l’élimination de ces molécules.

    Notre évolution nous a permis de nous protéger contre les particules émanant de la pollution atmosphérique, comme nous savons le faire également contre d’autres agents pathogènes, grâce à un système immunitaire compétent, qui fait la distinction entre le « soi » et le « non soi », qui identifie les bactéries et leurs toxines de nos propres cellules.

    Et j’en arrive à la question qui fâche : qu’en est-il des « virus », qui, selon la parole officielle, existent sur la planète Terre bien avant l’apparition de l’Homme ? Et bien, le « mystère » est complet ! L’être humain n’a développé, au cours de son évolution, aucune compétence spécifique pour contrer les agressions des virus : aucun système de défense, aucun récepteur particulier. C’est quand même curieux non ? 

    https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2012/03/medsci 2012283p255/medsci2012283p255.html



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 08:28

    @Géronimo howakhan

    Merci Géronimo. Je me permets de faire traduire pour une meilleure visibilité.

    ... « La peste ou « la peste noire » aurait anéanti la moitié de la population européenne au milieu des années 1300, ce qui lui a valu le titre de pandémie la plus meurtrière de tous les temps.

    On prétend que la bactérie Yersinia Pestis a causé la mort de toutes ces personnes et que la maladie était si contagieuse que le fait d’être proche d’un cas pourrait être mortel. De nombreux aspects du récit ne concordent tout simplement pas, en particulier le fait que la théorie des germes et les postulats de Koch ont été falsifiés à de nombreuses reprises au cours du siècle dernier.

    Comme nos amis italiens l’ont déclaré après leur récent entretien avec le Dr Mark Bailey, ces contes de fées ont asservi le monde à un faux paradigme de maladie pendant des générations. Les théoriciens actuels des germes ont ignoré bon nombre de faits gênants, notamment un récit beaucoup plus détaillé des cas de peste survenus en Australie au siècle dernier.

    Dans cette vidéo, nous examinons la science derrière cette maladie dite contagieuse et pourquoi les roues sont tombées de l’un des joyaux de la mythologie « pandémique ». »...

    https://drsambailey.com/resources/videos/germ-theory/what-we-werent-taught-about-the-plague/



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 08:24

    @Géronimo howakhan

    Salut Géronimo.

    Il existe bien des études scientifiques, consultées fréquemment par de nombreux chercheurs, mais qui ne trouvent aucun écho dans la population générale. Et, surtout dont « on » ne tient pas compte pour apporter les soins nécessaires aux malades.
    C’est le cas de celle-ci. Extrait :

    ... «  Les études épidémiologiques ont constamment montré une association entre la pollution atmosphérique particulaire et non seulement les exacerbations de la maladie chez les personnes souffrant de maladies respiratoires, mais également l’augmentation du nombre de décès dus à des maladies cardiovasculaires et respiratoires chez les personnes âgées.
    Les méta-analyses de ces études indiquent qu’il est peu probable que les associations soient expliquées par un facteur de confusion et suggèrent qu’elles représentent une cause et un effet.

    Nous proposons que l’explication réside dans la nature du nuage de particules urbain, qui peut contenir jusqu’à 100 000 particules de taille nanométrique par ml, dans ce qui pourrait être une concentration gravimétrique de seulement 100 à 200 microgrammes/m3 de polluant. Nous suggérons que de telles particules ultrafines soient capables de provoquer une inflammation alvéolaire, avec libération de médiateurs capables, chez les individus sensibles, de provoquer des exacerbations de maladies pulmonaires et d’augmenter la coagulabilité sanguine, expliquant ainsi également l’augmentation observée des décès cardiovasculaires associés aux épisodes de pollution urbaine.
    Cette hypothèse est vérifiable à la fois expérimentalement et épidémiologiquement. »
    ...

    Etude de l’année 1995, citée 2865 fois, ce qui est « énorme ».

    « Particulate air pollution and acute health effects »

    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7741860/

    La conclusion de cette étude est celle-ci : 
    ... Nous proposons que les particules acides ultrafines caractéristiques de la pollution atmosphérique provoquent une inflammation alvéolaire qui provoque à la fois des modifications aiguës de la coagulabilité sanguine et la libération de médiateurs capables de provoquer des crises de maladie respiratoire aiguë chez les individus sensibles.

    Les changements sanguins entraînent une augmentation de la susceptibilité de la population exposée aux épisodes aigus de maladies cardiovasculaires ; ce sont les plus vulnérables qui en souffrent le plus.

    Cette hypothèse, basée sur le nombre, la composition et la taille plutôt que sur la masse des particules, rend compte des relations épidémiologiques observées et explique la surmortalité survenant chez les personnes susceptibles de se trouver à l’intérieur, ainsi que la raison pour laquelle des effets graves similaires ne sont pas observés chez les travailleurs industriels exposés à des concentrations de poussières beaucoup plus élevées, mesurées en poids.

    En attirant l’attention sur les effets possibles de l’inflammation alvéolaire sur la coagulabilité sanguine, nous proposons une explication de l’association observée et jusqu’ici inexpliquée entre les épisodes de pollution et les décès cardiovasculaires.

    L’hypothèse peut être testée épidémiologiquement, en étudiant les relations entre la coagulabilité sanguine et les modifications des concentrations de particules dans l’air ; et expérimentalement chez le rat en étudiant l’inflammation de l’espace aérien induite par les particules ultrafines et ses effets sur la libération des médiateurs et les facteurs de coagulation."



  • Legestr glaz Legestr glaz 13 mai 07:35

    @Eric F

    Copié-collé : « 
    Mais il y a des questions tranchées : est-ce que la terre tourne autour du soleil, est-ce que le monde a été créé en six jours ou a évolué pendant des milliards d’années, est-ce que les virus (les licornes) existent  »

    Voilà rectifiée votre proposition. Elle a meilleure allure.



  • Legestr glaz Legestr glaz 12 mai 16:39

    @Gollum

    Avec quelques arguments ce serait mieux. Sinon c’est écrire pour ne rien dire et exposer son « opinion ». 

    Comprendre « pourquoi » certaines personnes développent des infections respiratoires en automne-hiver, et pas d’autres, c’est résoudre pratiquement le problème. En attribuant cette « cause » à des virus, la « science » ne progresse pas d’un pas. Pourquoi ? Parce que cette « hypothèse » est fausse.

    C’est bien la « faiblesse immunitaire » des personnes infectées qu’il faut prendre en considération. Les personnes au système immunitaire compétent ne meurent pas d’infections respiratoires en automne-hiver. Et lors des « épidémies de maladies respiratoires » une autre tendance est visible : celle de l’augmentation soudaine, mais toute provisoire, des taux de pollution atmosphérique.

    Vouloir cacher la réalité de cette situation aux populations pour « développer » des vaccins rentables est d’une grande injustice. Parce qu’il y a des vies qui pourraient être sauvées en prenant le problème pour le bon bout.

    PS : Effectivement, les gaz d’échappement qui émettent des HAPs, sont très nocifs. Mais ils ne sont pas les seuls. Le dioxyde de soufre -SO2 affecte le système respiratoire, le fonctionnement des poumons et provoque des irritations oculaires. L’inflammation de l’appareil respiratoire entraîne de la toux, une production de mucus, une exacerbation de l’asthme, des bronchites chroniques et une sensibilisation aux infections respiratoires.

    Si vous avez le nez qui coule, que vous toussez et que vous vous mouchez, cherchez donc à savoir si l’atmosphère que vous respirez n’a pas été un peu trop chargé en SO2. Il y a des activités humaines qui mettent, à certaines époques, beaucoup de SO2 en mouvement dans l’air. Il semblerait que l’on en fasse pas une grande publicité.

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