• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 17 10354 1954
1 mois 0 79 0
5 jours 0 10 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 531 293 238
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 15:47

    @chantecler

    La seule question qui vaille est : avez vous compris ce qu’est un « parasite » ?

    Vous m’offrez la notice Wikipédia, mais quelles sont vos connaissances sur les parasites ? 

    Vous m’avez fait le coup avec le « stress oxydatif » et maintenant vous récidivez avec les parasites. Cela ne montre qu’une chose : prenez le temps de réfléchir avant d’écrire. Vos connaissances dans le domaine sont nulles. Vous nous montrez, dans une grande clarté, ce qu’est « l’effet Dunning Kruger ». Soyez un peu plus humble avant d’accuser les autres d’être « négationnistes ». Vous ne savez pas de quoi vous parlez.
    Vous n’arrivez même pas, dans votre aveuglement, à prendre en considération les notions que je poste (qui ne sont pas de moi mais qui sont des références scientifiques). 
    chantecler vous faites des blocages inouïs ! 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 14:03

    @Francis, agnotologue

    C’est assez simple. Il existe des « parasites » qui peuvent vivre à l’intérieur de leur hôte (les endoparasites) et d’autres qui ne le font pas (les ectoparasites). Les phlébotomes, qui provoquent la maladie leishmaniose, sont des ectoparasites. Ils se nourrissent du sang de leur hôte en les piquant. Pour favoriser l’extraction du sang de l’hôte, afin que les processus de coagulation ne se mettent pas en place, le phlébotome produit des toxines anticoagulantes. Par ailleurs, lors de cette piqûre, d’autres toxines peuvent pénétrer la circulation sanguine.

    De nombreux organismes produisent des toxines qui peuvent agresser l’être humain. C’est le cas, par exemple, des « méduses », lesquelles peuvent être (pas toutes) urticantes. Elles peuvent même provoquer un choc anaphylactique dangereux pour l’être humain. Mais les méduses ne sont pas des parasites parce qu’elles ne profitent pas de l’être humain pour vivre et obtenir leurs « nutriments ». En revanche, le phlébotome, le vecteur de la leishmaniose, est un parasite puisqu’il pompe le sang de son hôte. Le moustique, d’ailleurs, est aussi un parasite.
    (... Les moustiques sont de petits insectes faisant partie de la famille des Culicidés. Ici encore tout comme la tique. et le phlébotome, ce sont des parasites externes qui sont hématophages, c’est-à-dire qu’ils se nourrissent de sang. Ce sont les femelles qui vont piquer un animal ou un humain pour prendre leur repas de sang. Cependant, au cours de leur repas de sang, les femelles peuvent inoculer à l’organisme dont elles se nourrissent des agents pathogènes pouvant être responsables de maladies graves aussi bien chez les animaux que chez les humains. Les moustiques sont donc des vecteurs de maladies infectieuses.)

    Ainsi, je suis intervenu simplement pour préciser que « l’ivermectine » qui est un anti-parasitaire connu et très efficace, ne peut être efficace que, et uniquement que, sur des organismes vivants. Mais comme le phlébotome ne pénètre pas l’être humain, que se sont les toxines qu’il émet qui rendent malade l’hôte, l’ivermectine sera inévitablement inefficace pour soigner cette maladie. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 13:20

    @Francis, agnotologue

    copié-collé, selon pseudo Xénozoid : « la femelle pique et a déjà le parasite »

    Comme je viens de l’écrire le « parasitisme » est une « interaction » entre deux organismes. La « femelle » ne peut donc pas avoir déjà le parasite, c’est elle, qui par son « interaction » avec l’être humain, devient son « parasite ».

    Bref, mauvaise compréhension de ce qu’est le « parasitisme » pour certains ici. 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 13:14

    @Dr Khadija Moussayer

    (réponse adressée préalablement par erreur à pseudo chanceler).

    Je ne parle pas de vous mais de la définition qui est donnée de la « leishmaniose » dans votre article :... « Les leishmanioses sont des maladies parasitaires provoquant des affections cutanées ou viscérales très invalidantes, voire mortelles si elles ne sont pas traitées »...

    Les leishmanioses sont effectivement des maladies « parasitaires », le parasite étant l’organisme qui vit au dépend de son hôte. En l’occurence, ici, le phlébotome est la parasite, c’est lui qui vit au dépend de l’être humain. Mais la maladie n’est pas déclenchée par l’introduction de ce parasite dans l’organisme humain. C’est sa « piqûre » qui entraine l’infiltration dans la circulation sanguine de molécules délétères, de toxines, pour l’organisme, comme cela peut être le cas après le piqûre d’une abeille. L’ivermectine n’est efficace que sur des organismes vivants. Et, en l’espèce, aucun organisme vivant ne pénètre l’être humain après la piqûre du phlébotome femelle. 

    C’est la notion de « parasitisme » qui est mal comprise ici. Mais peu importe d’ailleurs si les gens ne veulent pas faire l’effort de comprendre en me présentant la page « Wikipédia ».

    Bonne journée 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 avril 13:13

    @chantecler

    Je ne parle pas de vous mais de la définition qui est donnée de la « leishmaniose » dans votre article :... « Les leishmanioses sont des maladies parasitaires provoquant des affections cutanées ou viscérales très invalidantes, voire mortelles si elles ne sont pas traitées »...

    Les leishmanioses sont effectivement des maladies « parasitaires », le parasite étant l’organisme qui vit au dépend de son hôte. En l’occurence, ici, le phlébotome est la parasite, c’est lui qui vit au dépend de l’être humain. Mais la maladie n’est pas déclenchée par l’introduction de ce parasite dans l’organisme humain. C’est sa « piqûre » qui entraine l’infiltration dans la circulation sanguine de molécules délétères, de toxines, pour l’organisme, comme cela peut être le cas après le piqûre d’une abeille. L’ivermectine n’est efficace que sur des organismes vivants. Et, en l’espèce, aucun organisme vivant ne pénètre l’être humain après la piqûre du phlébotome femelle. 

    C’est la notion de « parasitisme » qui est mal comprise ici. Mais peu importe d’ailleurs si les gens ne veulent pas faire l’effort de comprendre en me présentant la page « Wikipédia ».

    Bonne journée 

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv