Legestr glaz

@Claude Courty

Oui mais, « qui » entraine « qui » à la guerre ? La guerre est, hélas, un business qui profite à certaines industries, à certaines économies.

Et je n’en suis pas resté là.

Wall Street et l’ascension de Hitler
https://www.amazon.fr/Street-lascension-Hitler-Antony-Sutton/dp/2355120439

Wall Street et la révolution bolchevique

https://www.amazon.fr/Street-r%C3%A9volution-bolch%C3%A9vique-Antony-Sutton/dp/2355120447

@Claude Courty

Oui, bien évidemment. Les moujiks au casse-pipe. En revanche, pas de ça chez l’oncle Sam. L’utilisation de « bombes amies », évite de conduire au casse-pipe les « boys ».

En langage militaire cela s’appelle « bombardements stratégiques », peu importe l’avenir des populations civiles et de leur habitat. Les villes du Havre, Saint Malo, Brest, Lorient, Saint Nazaire, ont été heureuses de recevoir la visite de ces bombes amies.

Les bombardements en Normandie avant le 6 juin 1944, le jour même du débarquement et après, furent particulièrement dévastateurs. L’historien français Henri Amouroux dans La Grande Histoire des Français sous l’occupation déclare que les bombardements anglo-américains ont fait alors environ 52 000 victimes : 20 000 civils furent tués dans le Calvados, 14 800 dans la Manche, 10 000 en Seine-Inférieure, 4 200 dans l’Orne, 3 000 dans l’Eure.

Pour comparaison, au cours de l’année 1943, 7 458 civils français meurent des bombardements effectuées par la Royal Air Forceet l’United States Army Air Forces.

En tout, 1 570 villes ont été bombardées par les Alliés entre juin 1940 et mai 1945. Le nombre total de morts civils est de 68 778 hommes, femmes et enfants. Le nombre total de blessés est supérieur à 100 000.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombardements_en_France_durant_la_Seconde_Guer re_mondiale

Si je comprends bien. 

Les « carnistes » sont aveugles lorsqu’il s’agit d’examiner le contenu de la viande.

Les « carnistes » y vont au télescope lorsqu’il s’agit d’examiner le contenu des végétaux.

Serait-ce une critique ? Moi j’aimerais bien savoir ce que l’auteur reproche à la viande ? Si j’ai bien compris. Je ne peux qu’imaginer qu’il l’a scrutée au télescope et qu’il a tout saisi, si j’ose l’écrire, sur le contenu de la viande.

@Eric F
 copié-collé : « Disons que ce qui ne préoccupe est que les croyances irrationnelles se répandent, une régression de la raison. Cela permet du moins d’investiguer autour du sujet. »

La virologie est une escroquerie, une croyance, qui laisse penser que des « maladies » sont provoquées par des « virus » insaisissables« , qui »mutent« tout le temps. 

Il faut savoir simplement examiner la »réalité observable« , ce que chacun peut faire.
1°) les maladies respiratoires en automne-hiver, sont attribuées à la pathogénicité de »virus« . Mais la »réalité observable« nous montre que ces épidémies de maladies respiratoires interviennent »systématiquement« lorsque les taux de pollution augmentent dans l’atmosphère. Chacun peut se renseigner à ce sujet.
2°) les personnes qui tombent gravement malades ou qui décèdent lors de ces maladies respiratoires en automne-hiver, sont des personnes »déjà« malades, sont des personnes au système immunitaire déficient. Les personnes en bonne santé, au système immunitaire compétent, ne meurent pas de ces maladies respiratoires en automne-hiver. Les chiffres et la répartition de la mortalité par âge nous le démontrent, année après année.
3°) les maladies respiratoires en automne-hiver surviennent »brusquement« et disparaissent tout aussi »brusquement« . Ce qui fait que les chiffres de la »mortalité« en rapport avec ces évènements montrent une forme de »courbe en cloche« absolument caractéristique. Il n’y a jamais eu de »courbe exponentielle« . Ceci indique bien que se sont les personnes »baignant« dans le même milieu qui développent la maladie, toutes en même temps. La maladie régresse »brutalement« dès l’instant où les conditions défavorables disparaissent. Tout le monde peut le vérifier. S’il y avait »contamination« ou »contagion« , les épidémies de maladies respiratoires ne pourraient pas prendre cette forme de courbe en cloche. Celle-ci serait nécessairement exponentielle : un malade en contaminant un autre, puis celui-ci un autre, et ceci tant que tout le monde n’aura pas été touché. Mais ce n’est pas du tout, du tout, le cas. D’ailleurs, de nombreux chercheurs, dans de nombreux pays, ont mis en évidence qu’il y avait une »corrélation parfaite« entre la survenue d’un pic de pollution dans un espace donné et les pics épidémiques de maladies respiratoires dans cet espace. 

Ceux qui veulent vérifier ces faits, le peuvent. S’il leur faut des études scientifiques qui le prouvent, je peux les mettre à disposition.

Quelqu’un a parlé de » croyances irrationnelles« . Mais cette personne a t-elle, elle même, examiné ses propres croyances au regard de la »réalité observable" ?

@Eric F
copié-collé : « Votre allégation de non isolation de virus est une calembredaine basée sur des sophismes relatifs à la procédure, Legestr glaz, vous êtes un embobineur compulsif
La dérive, c’est de votre fait, Legestr glaz, vous embrouillez et amalgamez différents points, en pleine confusion mentale, pour submerger les interlocuteurs sous un flot incohérent. »

... « Il n’y a pas de tentatives de contrôle dans lesquelles exactement la même chose est faite, uniquement avec du matériel non infecté ou stérilisé. »...

Ne vous en déplaise, la méthode scientifique rigoureuse est totalement écartée lors du processus de « purification » et « d’isolement » des virus. C’est un fait Eric F.

Les calembredaines, c’est vous qui les racontez. Pourquoi, à votre avis, la purification et l’isolement, lors du processus de recherche des virus, ne se fait jamais devant témoin ? Rien, absolument rien, ne peut dire que ce n’est pas le « processus » lui même qui crée la mort des cellules puisqu’aucun prélèvement témoin n’est réalisé pour le savoir. Et ceci dure depuis toujours.

Aucune expérience de contrôle n’a jamais été effectuée, ce qui est un comble et une négation de la méthode scientifique. Mais pour Eric F, ceci est un « détail ». 

 Il semblerait que vous ne soyez pas très exigeant sur les méthodes utilisés.

Et puis, copie-collé : « Vous prétendez à vous seul réfuter tous les experts dans le domaine biologique de tous les pays du monde en me prenant personnellement à partie, vous êtes un cuistre, Legestr glaz »...

Vou êtes parfaitement ridicule en écrivant ceci Eric F. Parce que, figurez-vous, rien n’est de moi, je ne fais que des mises en perpective. Je montre, ici, le travail de chercheurs « honnêtes », encore en mesure, sous certaines conditions, de mener des recherches de fond. Les experts dont vous faites état, ne sont pas du tout « unanimes », Eric F. C’est ce que vous voulez faire croire, mais c’est faux. Mais je veux bien être un cuistre à vous yeux, c’est même un compliment pour moi.

1. Les virologues interprètent la mort des cellules en laboratoire comme virale

2. Les virologues assemblent mentalement les informations génétiques les plus courtes des cellules mourantes pour former un très long brin génétique, qu’ils produisent comme le brin génétique d’un virus.

3. Pour l’alignement d’un virus, les virologues ont toujours besoin d’un brin génétique donné d’un virus. Pour cela, cependant, ils utilisent toujours un brin génétique généré génétiquement/informatiquement et jamais un vrai, un trouvé dans la réalité.

4. Les virologues n’ont jamais vu ni isolé de « virus » chez les humains, les animaux, les plantes ou leurs fluides. Ils ne l’ont fait qu’en apparence, indirectement et uniquement au moyen de systèmes cellulaires très spéciaux et artificiels en laboratoire.

5. Les virologues n’ont jamais isolé, caractérisé biochimiquement ou obtenu leur supposé matériel génétique à partir des supposés virus qu’ils photographient à l’aide d’images au microscope électronique. Ils n’ont jamais mené ni publié d’expériences de contrôle pour savoir si, après avoir isolé ces structures, il était effectivement possible de détecter des protéines « virales » (l’enveloppe du virus) et, surtout, le génome viral, censé être le noyau central

6. Les virologues signalent des artefacts typiques de tissus/cellules mourants et des structures typiques qui apparaissent lorsque les propres composants de la cellule tels que les protéines, les graisses et les solvants utilisés sont tourbillonnés, sous forme de virus ou de composants viraux. Ici aussi, il n’y a pas d’expériences de contrôle avec des cellules/tissus qui n’ont pas été infectés mais qui ont également été traités.

7. Les soi-disant tentatives de transmission que font les virologues pour prouver la transmission et la pathogénicité des virus suspectés réfutent toute la virologie. Évidemment, ce sont les expériences elles-mêmes qui déclenchent les symptômes, ce que les expérimentations animales fournissent comme preuve de l’existence et de l’efficacité des virus suspectés. Ici aussi, il n’y a pas de tentatives de contrôle dans lesquelles exactement la même chose est faite, uniquement avec du matériel non infecté ou stérilisé.