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  • xa 23 juillet 2007 14:53

    @bruxman

    Pour compléter votre propos ...

    Charles Beigbeder a créé Selftrade, et l’a revendu sns bénéficier de l’effet bulle ... Selftrade n’était pas assez rentable à l’époque.

    Actuellement, Poweo vaut 200 Millions, et la levée de 150 milions doit permettre le financement de la centrale de Maubeuge. Par ailleurs, Poweo a signé un accord avec EDF pour le financement d’une centrale à gaz.

    Poweo vise l’équilibre en 2009, vise 3600 MWh en 2012. Pour mémoire, Selftrade visait des résultats ... qui n’ont pas eu lieu.

    La levée de fond se limite pour l’instant à 150 millions. On est très loin des 2 milliards. Cette somme représente actuellement 10 fois le CA, et 40 fois le résultat. Poweo n’a pas encore prouvé aux investisseurs sa capacité à rentabiliser des infrastructures (qui sont en cours de construction). Il faudra attendre un peu de voir la marge de l’entreprise lorsqu’elle disposera de sa propre production avant de voir les investisseurs laché 2 milliards de plus.

    Il faut se méfier des business plan, ils sont toujours beau, magique, mais rarement tenus. CB n’en est pas à son coup d’essai, mais son coup d’essai n’était pas si concluant que vous le laissez entendre.

    Quand aux centrales nucléaire, CB envisage de prendre des parts dans une centrale EPR. Il n’a jamais parlé de construire une telle centrale.



  • xa 9 juillet 2007 15:39

    Dans les faits, cela ressemble à une TVA applicable aux flux financiers en plus d’être applicable aux flux de services/matières.

    Cela pourrait effectivement simplifier le système fiscal. Cependant, cela rompt avec le principe de progressivité de l’impôt, lui même corollaire du principe de solidarité. C’est un choix entre imposition proportionnelle et imposition progressive.

    Pour le « hautement automatisable », l’IR n’est pas incompatible avec une automatisation. Les Suisses, les Américains, les Suédois, les Danois y arrivent très bien. Pourquoi n’en serions nous pas capable ??? Parce que notre système fiscal est trop complexe ? Pour la majeure partie des gens, l’imposition automatique ne poserait aucun souci. Seules les niches poseraient problème ... de trésorerie pour les contribuables les utilisant (ils avanceraient des impots qui leur seraient remboursés en fin d’année, c’est le fonctionnement américain).

    Personnellement, en terme de simplification, je pencherai plutôt pour la généralisation de l’IR en remplacement de tous les systèmes que nous avons (IR + CSG + CRDS + Charges Sociales + TF + TH + Niches diverses et variées ....), sur le principe utilisé, par exemple, en Suisse ou au Danemark :
    - tout le monde paie des impots, mais comme on a enlevé les charges sociales, cela ne change rien sauf la visibilité de cette participation au fonctionnement de la nation. Et cela règle la guéguerre entre ceux qui payent et ceux qui ne payent pas...
    - les impots sont progressifs par rapport aux revenus (la grille de progression des taux fait 800 lignes à Genève) ;
    - il n’y a pas à gérer un système pour les salaires, un autre pour les capitaux, un troisième pour le foncier, etc...
    - la protection sociale est alors financée sur tous les revenus

    Quelque soit la méthode (TUU ou généralisation d’IR), il y a un préalable : il ne faudrait plus que l’Etat adosse une dépense à une recette spécifique. Or la complexité des prélèvements francais, vient en grande partie de cet adossement :
    - les charges ... j’ai pas le courage de faire le détail, mais chaque ligne correspond au moins à un besoin de financement .... faite le calcul vous même.
    - la CSG pour une partie des dépenses sociales. On peut même découper la CSG en imposable et non imposable, adossée chacune à des dépenses particulières.
    - la RDS pour le cumul des déficits de la sécu.
    - la TVA pour le fonctionnement de l’Etat.*
    - la TP pour l’éducation.
    - la redevance pour la télé/radio publique,
    - la TIPP, les taxes tabacs, alcool, ....

    Du coup, comme on ne peut pas facilement redéployer le budget en fonction des priorités du moment, et mettre le paquet sur un projet. On doit jouer avec les miettes redéployables, et on soupoudre des mesures, au lieu de prendre parti et de mettre plus de moyens mais sur moins de mesures.



  • xa 6 juillet 2007 11:43

    @NPM

    «  »Non, la CDC est un investisseur institutionnel, pas ses filiales (dont le role n’est pas d’investir)." Arf ! Evidement que si.

    Enfin bref, avec vous, les zinzins c’est otu le monde sauf les PME !! Etrange déf.."

    Non. Je pensais avoir été très clair.

    Un zinzin c’est une entreprise dont le business repose sur l’investissement dans d’autres entreprises. Par extension, les banques et les assureurs, qui possède des filiales d’investissement sont des zinzins.

    Par contre, les filiales de zinzin dont le travail n’est pas l’investissement ne sont pas des zinzins.

    Exemples :
    - la CDC est une banque d’investissement, c’est un zinzin ;
    - CEDM (viaduc de millaut), qui appartient en parite à CDC n’est pas un zinzin ;
    - SGAM, qui fabrique des produits de placements, donc nécessairement investit dans des sociétés pour créer ces produits, est un zinzin ;
    - SG qui possède SGAM tire une partie de son business de l’investissement, donc est un zinzin ;
    - BNP, pour les mêmes raisons que la SG, est un zinzin
    - Cetelem (filiale crédit revolving de la BNP) ne fait que du crédit, ce n’est pas un zinzin.

    On continue, ou vous finissez par comprendre ?

    Par usage, on exclut de cette définition les fonds spéculatifs, parce que l’on considère qu’ils n’investissent pas, mais spéculent. La différence tient à la durée du placement financier, et aux pouvoirs exigées par les détenteurs du capital. Les hedge funds, qui aiment acheter et vendre rapidement, demandent très rarement des places aux conseils d’administrations ni ne se déplacent pour voter aux AG. Ils utilisent des titres non nominatifs, pour lesquels la représentation à l’AG necessitent la délivrance de certificats de blocage par les teneurs de titre.

    «  »virtuellement d’engrengé 42 milliards de dividendes ..."

    Nan. Les bénéfices sont utilisé pour investir"

    Vous avez tord. Les bénéfices sont répartis entre dividendes et cash flow. Le montant des dividendes (donc le taux de répartition) est proposé par le conseil d’administration en AG ordinaire. Les actionnaires ont pouvoir pour refuser cette répartition.

    30 Milliards ont été distribués, parce que c’est un choix des actionnaires réels. Mais rien n’interdit de distribuer la totalité des bénéfices sous forme de dividendes.

    Avec 84 milliards de bénéfices, les dividendes peuvent aller de 0 à 84 milliards. Donc l’Etat aurait pu obtenir 42 milliards s’il avait été actionnaire de 50% du CAC....

    C’était bien votre raisonnement, au départ, que les zinzins c’était l’Etat, non ? Cherchez un peu la part des entreprises françaises détenues par des zinzins.

    Au final, vous devriez admettre l’évidence.
    - les zinzins ce n’est pas l’Etat.
    - Total, ce n’est pas l’Etat non plus.



  • xa 5 juillet 2007 18:59

    @NPM

    Non, la CDC est un investisseur institutionnel, pas ses filiales (dont le role n’est pas d’investir).

    La BNP est un zinzin, comme toutes les banques qui ne font pas que de la banque de détail.

    Les assureurs, qui placent leur fonds, sont des zinzins.

    Bolloré investissement est un zinzin. Toutes les holdings d’investissement sont des zinzins. Les seuls qu’on ne classe pas en zinzin sont les fonds spéculatifs, qui n’ont pas vocationà conserver leur participation dans les entreprises, mais achetent et vendent rapidement. Leurs participations sont noyés dans les « autres » voire « investisseurs particuliers », parce qu’ils n’ont pas d’actions nominatives, pas d’accès à l’AG, etc...

    Les zinzins ce n’est pas l’Etat. Ce qui appartient aux zinzins n’appartient pas à l’Etat (sauf pour le cas particulier de la CDC puisqu’elle, elle appartient à l’Etat).

    Quand aux dividendes, le CAC a représenté 84,3 milliards de bénéfices l’an dernier, après impôts. Ces bénéfices sont soit distribués en dividendes, soit conservé pour investissement. Si l’Etat était actionnaire, comme vous sembliez le penser, à plus de 50% du CAC, il aurait au le pouvoir, en tant qu’actionnaire majoritaire, d’imposer la distribution des dividendes, et donc virtuellement d’engrengé 42 milliards de dividendes ... Soit plus que le déficit prévu. (Et on ne parle pas des autres sociétés du SRD, ni des autres marchés cotés à Paris, détenues elles aussi en grande majorité par des zinzins



  • xa 5 juillet 2007 18:49

    @hurlevent

    Votre site de publicité vante le prix du chauffage au fioul, se référant selon lui aux prix constatés par le ministère.

    Pourtant, en cherchant dans les documents du minefi, on trouve un résultat plus mitigé.

    Ainsi, l’energie de chauffage la moins chère pour 100KWh consommé est ....... le bois ! En tarif primaire, le fioul vient ensuite ... deux fois plus cher.

    Enfin, cela correspond à l’énergie consommée, et non à l’énergie restitué pour le chauffage proprement dit. Il faudrait en plus connaitre le rendement des divers équipements pour être en mesure de trancher entre les différentes solutions.

    En comparant la solution fioul et la solution bois, qui utilise rigoureusement les mêmes équipements hormi le bruleur de la chaudière, vous devriez le crier haut et fort... le bois est moins chers encore que le fioul (2,3 euros / 100KWh consommé, contre 5,7 pour le fioul). ( Bien sûr un chauffage au bois n’est valable que s’il est récent et que la région dispose des ressources, faire venir du bois de malaisie n’a pas de sens).

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