Vous n’avez pas compris grand chose à ce qu’a écrit l’auteur. Mais ce n’est pas étonnant, puisque vous ne l’avez pas lu.
Une précision : le « camp à Nicolas », c’est une petite moquerie à propos du caractère infantilisant du discours ambiant. Même ça vous n’avez pas compris...
« Étonnant qu’aucune étude publique officielle n’ait été engagée pour évaluer les impacts de la pression foncière »étrangère« (Parisiens, retraités Français inclus) et plus particulièrement celle des Anglais. »
Quelle horreur : son nom, son adresse et son numéro de téléphone connus de tout le monde... comme un vulgaire abonné au téléphone inscrit dans l’annuaire.
Rendez-vous compte, en ce moment, il y a même des gens qui vous avouent leurs idées politiques. Comme ça, sans aucun anonymat. Incroyable non ? On les appelle des « candidats » aux élections.
Trêve de plaisanterie.
Cessez d’avoir peur. Par le renoncement à s’affirmer comme un individu pleinement libre, on ne fait que tisser les liens de sa propre aliénation.