Né à Plaintel, 22, en 1943. Etudes secondaires et professionnelles, éduc spé.
retraité. intérêts, sports, humour, culture, politique, et la mer. Actuellement correspondant local de presse (Ouest France)
Bonjour Paul. Continuons encore un peu... Le mot fixe une perception de quelque chose de vécu. L’expérience est facile : deux personnes ayant vécu les mêmes événements en ont toujours un souvenir différent si ce n’est contradictoire (cf nul ne livre une info qui lui est défavorable) nul ne se construit un souvenir défavorable non plus ! Si les mots sont écrits (décrivant un événement) alors ils fabriquent un souvenir commun entre les lecteurs témoins de l’événement. Ils peuvent être discutés ou contestés mais pour certains lecteurs ils feront autorité, d’autant plus qu’aucune critique ne viendra systématiquement les décortiquer...
Il est primordial de compléter le travail de l’école (un minima indispensable) par une relation éducative avec ses enfants, les proches, pour palier aux « ornements de style » et développer le sens critique. ceci est une porte ouverte mais c’est jamais fini...
Ddacoudre : je vais re-relire « pourquoi j’ai mangé mon père » Mes quatre garçons l’ont lu et se sont bien marrés... Saine lecture !
Epidémies animales... La grippe porcine... la grippe aviaire... Où il est démontré que ce genre de trainée de poudre concerne uniquement et directement les circuits d’alimentation du bétail empilé dans des locaux de concentration... Peut-on poser des questions qui dérangent : Pourquoi importer de la nourriture de l’autre bout du monde quand on pourrait conserver une production locale (économie de transport, de pollution...) Ceux qui réfléchissent au « bio » incluent désormais l’écologie du transport... On constate que les germes viraux se développent et se fortifient, du fait de la concentration animale... végétale... (?) et on fabrique des médicaments (efficaces ??) ça fait marcher la bourse !! Circulez, rien à voir !
Dénonciations
nombreuses, de l’inanité d’un
discours de Sarko au Latran, à Rome, faisant duplat au grand mamamouchi… . Encore une partie de lèche botte digne du « petit
chien de Busch. »
«
Ce 29 décembre, la dépêche concernant la bagarre d’une cinquantaine de
religieux dans la basilique de la nativité, à Bethléem, me remplit de joie
(Ouest France dernière page.)
Navré
pour les belles ââââmes, mais la preuve est faite, avec évidence, oh
combienroborative pour le mécréant que
je suis.Mettez deux religieux l’un en
face de l’autre et vous aurez la guerre, le massacre « à coups de barres
de fer » (Je ne vois pas ce que ces instruments viennent faire aux mains
de balayeurs, fussent-il religieux si ce n’est de la préméditation !). Pour
atteindre un tel déchaînement, il s’agissait sans doute d’une énorme querelle
théologique, telle que savent en inventer les artistes de saintbarthélémies,
inquisitions et autres joyeusetés religieuses. Que nenni, il s’agissait d’une
querelle de techniciens de surface ! « Balayer, c’est mesquin,
transformons vite cette humble tâche en machine à martyrs » ont dû se dire
ces bons religieux, sur les lieux supposés de la naissance de leur dieu. Et Vas-z-y
de bon cœur, le paradis est au bout du chemin !
« Travaillez
plus, croyez plus » nous susurre notre NSnational. Le ridicule ne tue pas encore… Quoique ? dès fois qu’on
aurait à balayer… quelques croyances résiduelles !!
Re bonsoir !
Le texte de G Brassens : "les imbéciles heureux qui sont nés quelque part" me semble répondre parfaitement au débat... dommage qu’il ne soit pas accepté intégralement en ces lieux !
Rien à dire de +
Salut et bon vent.