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frédéric lyon

Je suis seulement intéressé par ce qui se passe et j’ai horreur des idées toutes faites.

Tableau de bord

  • Premier article le 01/04/2008
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Derniers commentaires



  • frédéric lyon 9 novembre 2011 17:17

    Votre monnaie ne vaudra rien, car elle aura été fabriqué sans limite et sans contrôle.


    Donc personne ne lui accordera aucune valeur et personne n’en voudra.

    Vous venez de réinventer l’hyper inflation !!!


  • frédéric lyon 9 novembre 2011 17:13

    C’est ça, mettons que j’ai raison.


    Vous dites que ce mécanisme ne repose sur rien. Et bien pourtant il repose bien sur quelque chose puisqu’il repose sur le besoin de crédit que vous aurez exprimé à votre banquier pour faire face à vos échéances !

    Vous êtes étonné que cette création monétaire soit réalisée par un jeu d’écritures comptables, et vous vous étonnez donc de bien peu de chose. 

    Savez vous que les billets de banques et les pièces de monnaie que vous avez dans votre porte-feuille ont été crées par un jeu d’écritures comptables par la banque centrale, qui a donné ensuite l’ordre à son imprimeur de fabriquer lesdits billets ???


  • frédéric lyon 9 novembre 2011 16:58

    L’auteur n’a rien compris au mécanisme de la création monétaire et il n’est pas le seul sur ce forum !


    Il serait peut-être temps de vous expliquer, chers amis, que les banques ne créent pas de monnaie pour leur plaisir, ce sont leurs clients, (c’est à dire vous et moi), qui leur demandons de créer de la monnaie à chaque fois que nous leur demandons de nous accorder un crédit.

    A chaque fois que nous demandons à notre banquier un découvert, ou un crédit pour financer l’achat d’une automobile, nous lui demandons de mettre à notre disposition un argent qui n’existe pas encore, et celui-ci s’exécute (lorsqu’il nous accorde le crédit) en créant la quantité de monnaie correspondant au montant que nous lui avons demandé.

    Les banques créent donc de la monnaie pour répondre aux demandes de crédit, dans les limites et dans les conditions qui leur sont fixées par la banque centrale : 

    - en exigeant, par exemple, que les banques respectent un certain nombre de ratios financiers au niveau de leurs bilans comptables.

    - et en prêtant aux banques une partie du montant du crédit qu’elle nous accorderons.

    Le mécanisme de la création de la monnaie est donc déclenché par les particuliers ou par les entreprises, qui ont besoin de crédit pour financer leurs dépenses, et pour les banques ce n’est qu’un service qu’elles rendent à leurs clients !

    Pas de quoi fouetter un chat ! 


  • frédéric lyon 8 novembre 2011 02:36

    De plus, il faut avoir l’esprit un peu fruste pour croire qu’une intervention militaire en Iran se résumera à des attaques aériennes contre les seules infrastructures nucléaires iraniennes.


    On doit plutôt imaginer plusieurs phases successives d’attaques de plus en plus massives, qui concerneront progressivement TOUTES les infrastructures militaires ET civiles.

    C’est à dire toutes les bases et toutes les installations militaires (casernes, dépôts de matériels, radars, terrains d’aviation militaires, installations de télécommunications, etc), mais aussi toutes les installations civiles (pont, routes, radios et télévisions, centrales électriques, usines d’épurations, bâtiments publics, ministères, etc).

    Lorsque les ayatollahs en auront assez, ils mettront eux-mêmes les puces et on pourra discuter. 


  • frédéric lyon 8 novembre 2011 02:18

    Il faut être un peu tordu pour s’imaginer qu’une attaque contre l’Iran sera organisée à partir du territoire d’Israël, qui se trouve à plus de deux mille kilomètres de l’objectif.


    Alors qu’il y a des bases toutes prêtes en Afghanistan, en Arabie Saoudite et dans les Emirats du Golfe Persiques, qui ne sont qu’à quelques centaines de kilomètres.

    Sans oublier les porte-avions et les sous-marins lanceurs d’engins que l’on peut poster en face des côtes iraniennes.
    I
    Cette intervention militaire éventuelle en Iran, qui est déjà dans les cartons, ne ressemblera pas aux interventions en Irak ou en Afghanistan, car les objectifs politiques à atteindre sont complètement différents : 

    Il ne s’agira pas de chasser le régime des ayatollahs, bien que la chute des ayatollahs pourrait être obtenue comme un résultat collatéral de l’intervention, il s’agira seulement d’obtenir qu’ils renoncent à leur programme nucléaire militaire, d’une façon qui soit vérifiable par les organisations internationales.

    Il est clair que les iraniens ne pourront jamais réaliser un programme d’armement nucléaire complet, c’est à dire qu’ils ne pourront jamais se doter de têtes nucléaires opérationnelles et installer sur leur sol les infrastructures lourdes qui sont nécessaires pour les utiliser. 

    Un programme dont la réalisation leur demanderait de toutes façons encore beaucoup de temps et qu’ils ne sont peut-être même pas capables techniquement de mener à bien.

    Par conséquent rien ne presse. 

    Les israëliens ont bien sûr raison de jouer les impatients et d’agiter le chiffon rouge, puisqu’ils sont menacés en tout premier lieu, mais ce n’est pas eux qui interviendront pour solutionner cette affaire et ceux qui interviendront à leur place, c’est à dire l’ensemble du monde civilisé, ont tout le temps de mettre en place une réponse graduée.

    D’ailleurs cette réponse graduée est dores et déjà mise en place, elle a commencé avec une pression économique et politique qui pourra s’accompagner éventuellement dans un deuxième temps d’une pression militaire progressive avec des frappes aériennes de plus en plus massives.

    La publication prochaine du prochain rapport de l’AEIA, qui établira les réalités du programme nucléaire militaire de l’Iran et son état d’avancement, donnera bientôt l’occasion de passer à une phase de pressions plus lourdes, mais pas forcément à une pression militaire car cela est sans doute encore un peu prématuré.

    En tous les cas, ce qu’il y a de certains, c’est que l’Iran n’aura jamais d’armes nucléaires opérationnelles, il est inutile que les ayatollahs se fassent des illusions à ce sujet. 

    Tout ce qu’ils auront à décider sera le moment où ils abandonneront la partie pour se conformer à la volonté et à la loi internationale. 
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