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  • titi titi 22 août 2008 09:38

    J’ai très bien compris.

    " Il produit des richesses. Il doit donc recevoir une part des bénéfices."
    Dans le salaire est la contrepartie d’un travail effectué. Pas d’un temps de présence.
    C’est la contrepartie à la production donc à la richesse produite.

    Si, en plus, il doit y avoir participation aux bénefices, alors il doit y avoir participation au déficit.
    Ca parait le minimum



  • titi titi 21 août 2008 23:06

    "ce que j’appelle "point de vue stratégique" rejoint ce que vous appelez "pragmatisme". Il est fort pragmatique, du point de vue des actionnaires, de vouloir faire porter une partie du risque financier à de petites entreprises juridiquement indépendantes (même si, d’un point de vue économique, elles ne sont pas si indépendantes que cela). C’est la même logique qui pousse une entreprise à se débarrasser des activités les moins rentables : les actionnaires en effet (ou les fonds de placement qui gèrent leurs intérêts) poussent en effet à des taux de rentabilité très élevés (en général beaucoup trop élevés, d’ailleurs, ce qui met en danger la survie de l’entreprise. Cf à ce sujet Le capitalisme est en train de s’autodétruire de Patrick Artus et Marie-Paule Virard, Editions de la Découverte). "
    Je pense que vous fantasmez beaucoup sur la "finance internationale".
    Bon nombre de sociétés en France ont un actionnariat "patrimonial", ne sont pas cotées. et ne subissent aucune pression des "fonds de placements". De grace rappelez vous que dans le CAC 40 il n’y a que 40 entreprises.
    Sous-traiter, faire appel à des interimaires nuit à la rentabilité. Renseignez vous sur le prix des prestations des entreprises de nettoyage et vous verrez que niveau rentabilité un salarié revient bien moins cher.
    Oui mais voilà la réalité c’est qu’une entreprise n’a que très peu de visibilité et que le risque aujourd’hui : c’est la masse salariale.



  • titi titi 21 août 2008 22:40

    "il ya des assurances privées pour les entrepreneurs pour perte d’emploi-
    les partrons cotisent souvent en plus pour leur retraite pourquoi ne le font tils pas pour la perte d’emploi ? ? Tout d’abord si on démarre une activité en se couvrant au cas d’échèc ce n’est pas faire preuve de foi dans son projet.
    Et d’autre part il s’agissait juste de répondre à l’auteur qui laissait entendre que les "gérants salariés" abusaient du système en profitant des couvertures des salariés. Or c’est faux.

    "en france il ya bcp d’ent familiales-avec l’héritage pas besoin de sous pour s’installer-
    les vrais entrepreneurs sont rares - "
    Je l’attendais celle là. Le discours : "les patrons sont des salauds qui ont tout reçu de papa maman. Et moi je n’arrive pas c’est à cause de celà".
    Bah non les patrons ne tapent par leur famille, et n’attendent pas la mort de leurs ascendants pour se
    lancer. IL y a des gens qui se démerdent seuls sans aide de qui que ce soit ni de quoi que ce soit.



  • titi titi 21 août 2008 22:27

    "Les produits sont inadaptés, la recherche-développement est insuffisante, les décisions sont calamiteuses. L’entrepreneur est le seul responsables puisque qu’il décide en dernier ressort mais ce sont les salariés qui paieront les pots cassés. "

    C’est faux. Les salariés s’en sortiront le mieux.
    Les salaires sont assurés par le FNGS jusqu’à la liquidation, puis pendant leur préavis (dont ils sont souvent dispensés ce qui permet de "doubler" si ils retrouvent un job. Si ils ne retrouvent pas de job alors ils auront droit au chomage. Sans compter l’indemnisation en fonction de l’ancienneté.

    Ceux qui paient les pots cassés ce sont les sous traitants : les détenteurs de dettes chyrographaires. Ils ont fournit une prestation, un travail qui ne sera rémunéré qu’au terme d’un long processus et seulement si il reste de l’argent. Ce qui si il s’agit de travailleurs indépendant conduira à des situations dramatiques.



  • titi titi 21 août 2008 22:18

    Bah voilà.

    Donc pas de partage du risque pas de partage des bénéfices c’est tout simple.

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