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Derniers commentaires



  • titi titi 2 septembre 2008 08:01

    "homicide" bien sûr... faute de frappe...



  • titi titi 2 septembre 2008 08:00

    "Mais, pour être informatif, il aurait aussi fallu comptabiliser le nombre de civils tués par les talibans, le nombre de femmes afghanes immolées pour refuser un mariage forcé etc"

    Mais surtout il fut rappeler qu’en droit il y a un différence entre un "homocide volontaire" (se faire sauter au milieu des civils) et "homocide involontaire" (lacher sa bombe au mauvaise endroit).
    Même si, bien entendu, pour les victimes celà ne change pas grand chose...



  • titi titi 22 août 2008 10:35

    "un artisan qui se met à son compte c’est pour plus de liberté et moins de contraintes de hiérarchie et cela a peut etre un prix.il faut qu’ils soient bien conseillé et ne croient pas tout arrivé lorque cela marche bien-et rester vigilant"

    Je suis 100 % d’accord.
    Et j’ajouterai à mon précédent message où je détaillais le cout de la création d’entreprise que s’attacher les conseils d’un avocat c’est optionel mais c’est essentiel.



  • titi titi 22 août 2008 10:30

    Je ne dis pas que celà n’existe pas.
    Mais ce n’est pas la majorité.

    Concernant l’adage "une génération cree -une génération en vit et une génération coule" je suis assez d’accord.
    Beaucoup de personnes pensent qu’être patron c’est avoir un grand bureau et une grosse BM. 
    Les héritiers aussi. Mais c’est avant tout c’est bosser, bosser et bosser.

    Cependant je tempère.
    Je prends l’exemple du jouet et de Norev par exemple.
    Il y a 50 ans une voiture Norev c’était LE JOUET dont rêvait chaque gamin. C’est l’époque des créateurs.
    Aujourd’hui Norev interesse uniquement ces mêmes gamins devenus adultes. Allez faire décoller un gamin de sa PS3 pour jouer avec des Norevs !!! Mais ce n’est pas grave car les gamins d’il y a 50 ans sont devenus adultes avec les moyens d’acheter toutes les Norev qu’ils n’ont pas eu étant petits. C’est l’époque de ceux qui vivent.
    Dans 50 ans quand cette génération de fans aura disparue, plus personne n’achetera de Norev. Plus personne ne connaitera le nom. Ce sera l’époque de ceux qui coulent, et ils pourront faire ce qu’ils veulent ca coulera.

    Dans le même genre on peut citer la marque Jouef. Elle avait acquis un savoir faire inégalé dans l’injection plastique sur des modèles ferroviaires HO. Oui mais voilà le train électrique ne fait plus rêvé un gosse qui a une Nintendo DS. Les merveilleux moules, le savoir faire tout celà n’a servi à rien.

    Les sociétés vivent et meurent.



  • titi titi 22 août 2008 10:05

    "L’actionnaire qui investit prend un risque uniquement financier. Il ne travaille pas, ne touche pas de salaire, ne produit rien par lui même. Il apporte un capital et touchera des dividendes en cas de bénéfices. S’il n’est pas satisfait de son choix, il vend ses actions à d’autres investisseurs au prix du marché et va voir ailleurs. C’est son métier et il ne dépend que de son talent à choisir ses investissements. "
    Là encore vous fantasmez sur la "finance".
    Si vous parler de vendre des actions au prix du marché alors c’est qu’il s’agit d’entreprises cotées.
    Or la plupart des sociétés en france c’est le patron l’actionnaire.
    Très souvent la société est invendable, car le patron actionnaire est celui qui tient la barraque.


    "La faillite d’une entreprise est un drame pour le salarié. Il n’est pas responsable des erreurs de l’entrepreneur mais en subit les conséquences. Il perd son emploi et son salaire. Il perd aussi son investissement personnel dans l’entreprise. Il subit une forte baisse de revenu et sa famille en souffre, jusqu’à ce qu’il retrouve un emploi. Il arrive aussi qu’il tombe dans la précarité, le divorce, la rue, la misère. "
    Donc vous considérez que la faillite d’une entreprise est forcément la faute de l’employeur.
    Personnellement je pense que les défaillances au niveau des paiements des clients passe avant.
    Par rapport au risque courru par le salarié, c’est aujourd’hui le salarié le mieux couvert.
    C’est un fait. Le salarié et les impots sont "privilégiés" c’est le terme exact.

    "La solution pour rompre cette dépendance indigne serait que les citoyens actifs aient un unique employeur, la Sté Nationale de l’Emploi des Actifs. Il recevrait un revenu constant en fonction de critères objectifs. Les citoyens actifs pourraient trouver eux même leur entreprise et réciproquement. L’entrepreneur utilisateur verserait un salaire de complément à l’actif employé et une cotisation d’emploi à la SNEA. Plus de misère, plus d’exploitation arbitraire, une incitation à travailler. Qu’est t’en dit Titi ? "
    Déjà le terme "dépendance indigne" est un peut fort. Surtout que vous pouvez très bien vous retroussez les manches et vous mettre à votre compte. Il y a des métiers tels que l’entretien où il n’y a pas besoin ni de formation ni de capital important et qui marchent plutot pas mal.

    Et comment on finance la SNEA ? Surtout que la SNEA ressemble à s’y méprendre aux Assedic.
    Et on retombera sur le même travers : comment 90% de la population active peut finance 10 % d’inactif.
    "recevrait un revenu constant en fonction de critères objectifs"
    Ca ca me fait bien rire. C’est quoi les critères objectifs ?


    Tient petit quizz...
    Si vous faites un pot au bureau, ou à l’atelier, pour fêter je sais pas quoi, avec de l’alcool.
    Si vous avez un accident de la route au retour avec un test alcoolémie positif.
    Devinez qui est personnellement responsable au civil et au pénal ?
    Vous parliez de risque n’est-ce pas ?

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