J’ai bien apprécié les propos d’Elisabeth Badinter.
Elle s’oppose à l’idéologie naturaliste, qui enferme depuis longtemps femmes et hommes dans des carcans...
Contrairement à ce que disent des commentateurs, elle « n’impose » rien. Pff... Tss tss
Et elle rappelle qu’il y autant d’être femme que de femmes... "Je lutte pour qu’on cesse d’avoir une idée unique de la gent
féminine, comme si on était un troupeau. On a des désirs, un
inconscient, une histoire différente."
Merci, chère Julie, de cet article rafraîchissant...
Les faux-c..s ont l’indignation toujours sélective et souvent très hypocrite. Une bienséance sur les motsqu’ils défendent à grands cris outragés, mais qui ne s’applique guère au plus important : les actes....
Le PS qui croit se refaire une virginité morale en désignant son Frêche-émissaire ne l’emportera pas aussi facilement qu’il le pense... Les citoyens ne sont pas dupes de leurs manœuvres politicardes grossières, cachées sous les voilettes (très ajourées) de la « morale ».
Ne parlons pas de Mélenchon, qui utilise, parmi d’autres, les épithètes de « claudicant » et de « délirant » pour fustiger Frêche. Sympa pour les gens qui ont la malchance de boiter ou de perdre un peu leurs repères mentaux...
Merci pour cet article, qui pose une question importante.
Comment comprendre la violence, et comment y répondre ?
On ne peut y répondre de façon simple. Car si des personnes (jeunes ou pas) se livrent à des actes dangereux pour elles-mêmes et pour autrui, il faut chercher les causes, tenter de remédier à leurs effets, mais également sanctionner l’acte qui a porté atteinte aux autres.
Définir seulement la personne comme la « victime » d’un système est contre-productif, pour la personne elle-même et pour la société.
Il faut également tenter de prévenir la violence, en s’attaquant à ses multiples causes chez les jeunes : échec scolaire, voire illettrisme, manques de repères symboliques, écartèlement entre des repères culturels hétérogènes....
Tous les volets doivent être envisagés en même temps : prévention, compréhension et prise en charge des souffrances sous-tendant les actes de violence, et sanction des actes.
Voyons, je me gratte la tête. Un tabou est levé, qu’est-ce ?
Mais c’est bien sûr, Allain Jules, vous voulez dire que les hommes vont devoir porter la burqa, ou plutôt le niqab ?
Car à force de balader leurs attributs virils serrés dans leur jean sous le nez des femmes, et d’exhiber leurs magnifiques visages glabres ou barbus, que de tentations n’induisent-ils pas ! C’est intolérable !
Allez messieurs, couvrez vite ce visage que nous ne saurions voir ! Endossez la niqab !
La grand-mère, peut-être redoutable, mais si structurante...Matriarche et peut-être patriarche ? Elle aurait pu menacer le développement,
l’épanouissement, l’indépendance de l’enfant, au lieu de cela elle lui a permis de devenir Camus, cet homme qui ne voulait pas que la haine engendre la haine...
La mère, sourde et analphabète , qui apporte et accueille l’amour, et ouvre l’enfant aux mots qu’elle ne peut entendre, lire ou écrire, et qu’il entend, lit et écrit, sans doute aussi pour elle, deux fois...