Monica

Cher Ecomata,

Lorsque des personnes lancent des commentaires à la cantonade, il est difficile de savoir s’ils s’adressent à l’auteur, ou si c’est une réflexion générale.

J’aime bien répondre à chaque personne, puisque je suis venue ici pour discuter.
Il est évidemment plus facile de le faire quand le message est adressé à une personne 

Bonne journée

Mohammed,

Je ne reprends pas le terme d’identité nationale introduit par Sarkozy, car il est connoté d’éléments discriminatoires.

Mais j’assume pleinement de me sentir française, et j’aime ce pays qui a adopté mes ancêtres venus d’ailleurs, leur permettant de vivre dignement. J’aime ce pays, malgré ses parts d’ombre (qu’il doit tenter de corriger en réparant toutes les injustices), car c’est aussi un pays de Lumières.

Tous les droits sociaux : ai-je dit le contraire ? Mais dans le respect, par tous, du socle démocratique qui nous est commun.

Cher Phil,

Merci de ce commentaire très constructif.

Cet article a été rédigé par moi, après des échanges nourris avec des amis sur mon Blog à propos de différents sujets. Nous tentons de penser tous les sujets, hors des « prêts à penser » de droite (évidemment) mais aussi de gauche (eh oui !). Nous ne sommes pas toujours d’accord, mais un socle commun nous réunit.

J’en avais écrit pour mon Blog un première version, très provocatrice, sur ce que j’appelais la « bonne pensée de gauche », que j’avais appelée « la BPG ». Cet article un peu sarcastique a plu à certains, violemment déplu à d’autres, qui m’ont dit en gros « tu oublies que l’ennemi est Sarkozy ».

Mais non je ne l’oublie pas, nom de Zeus, mais j’en ai ASSEZ que l’on s’englue dans SES termes au point d’en oublier les NÔTRES. Cela nous empêche de penser et c’est grave !

Je l’ai donc réécrit sous cette forme plus « douce » et l’ai soumis à Agoravox pour voir comment il serait perçu. Bilan à analyser, dans les nuances  

Bien cordialement.

Cher Christian Delarue,

Je ne sous-estime pas le rôle de Sarkozy dans ce débat. Je l’annonce et le critique d’entrée de jeu.

Je dis simplement que le fait qu’il instrumentalise des questions ne doit pas occulter que nous nous en posions certaines bien avant qu’il n’arrive au pouvoir.

Merci de vos différents apports dans ce débat.

Cher Melchior,

Nous partageons la même vision des choses.

Il est vraiment important que, l’identité étant par définition un processus très complexe, différent d’un individu à l’autre et, dans le même individu, d’un moment à l’autre, nous fassions l’effort de l’analyser de façon très nuancée et dialectique. En l’intégrant dans le cadre européen et mondial.

Pour ce qui concerne la France, il est intéressant de définir le socle commun, donné par son histoire, sa géographie, sa langue, sa constitution, et s’exprimant dans ses dialectes, ses accents, ses recettes, en constante évolution au fur et à mesure que nous intégrons les apports des peuples venus d’ailleurs qui viennent nous enrichir.