Issu d’un double parcours technique et commercial, j’ai élargi mon champs de vision par la lecture, l’intérêt pour la géopolitique et la ... psychologie. Je crois fermement aux blogs et à leur influence sur une évolution de la société (même si il faut voir cela à long terme).
Manifestement, vous ne maîtriser pas le sujet de la Liberté :) (ça c’est en pied de nez pour votre charge gratuite sur l’auteur :)
Vous mélangez Liberté et Démocratie. C’est un encrage culturel et historique. C’est ce qui amène beaucoup de confusion et qui permet de conclure n’importe quoi.
La Liberté n’a rien à voir avec le Devoir non plus. La seule limite de la Liberté, c’est la Liberté de l’autre. Mais je conçois que cela demande une conscience pour laquelle l’Humanité n’est pas encore prête. Ca n’empêche qu’on ne peut tordre la Liberté pour la faire entrer dans ses propres concepts d’acceptation.
@Fergus Peu importe que ce soit un métier de chien ou pas. Quand on s’engage à le faire, on le fait. Quand on est payé pour, on apporte la plus-value pour laquelle on est payée.
Personne ne les a forcé à prendre ces jobs. Et vu qu’ils ont tendance à se représenter, cela veut dire qu’ils veulent les avoir. Si ils les veulent, qu’ils en assume la charge et les responsabilités.
Loin de moi l’idée de dédouaner les députés. Mais je pense que le problème doit être vu de manière plus large et qu’il prend ses origines à d’autres endroits que dans l’assiduité intrinsèque de nos députés. Quand les partis politiques (ce n’est pas un phénomène nouveau) sont ainsi prédominants, le parlement ne sert strictement à rien. Peu importe le nombre de députés totaux ou présents. On l’a vu sur le Pass Sanitaire. Le gouvernement a décidé et les députés n’ont même pas eu le loisir de débattre ou d’accepter la moindre inflexion. Peu importe les propositions du Sénat, le gouvernement avait fait passer le mot : « on négocie rien, on vote d’après les consignes ».
On est évidemment loin de l’esprit d’une démocratie et de représentation que sont sensés être les députés. Le fond du problème est bien là : les députés dépendent des partis et non des citoyens. Tant qu’ils représentent leurs partis avant d’éventuellement représenter les citoyens qui les ont élu... ils ne servent strictement à rien.
Et je pense qu’une part de leur absentéisme est à comprendre au travers de ce fonctionnement. Ils savent eux aussi, qu’ils ne servent à rien. Donc, pourquoi aller dans une assemblée (à 2h du matin) pour aller suivre des consignes ? Je pense que même pour eux, ce système à perdu tout son sens et qu’ils vont donc faire le maximum pour ne pas y être. Pour certain, je pense que c’est même une excuse pour dire ensuite « moi je l’ai pas voté ».
Evidemment, ce sont des lâches et des irresponsables. Leur mandat est uniquement une gamelle et un possible strapontin.
Mais... tant que les citoyens continuerons à les voter... ils seront aussi responsables qu’eux.
« Comment peut-on sérieusement continuer à parler d’un vaccin expérimental alors qu’il a été injecter après de la moitié de la population mondiale sans ou presque, d’effets secondaires ? »
En soi, c’est une bonne question. Et on en revient aux fondamentaux de la manipulation : « plus c’est gros et plus ça passe ».
J’aime beaucoup les articles pragmatiques, analytiques et faisant place à des éléments factuels. Le problème, c’est qu’on est dans une époque ou les enjeux sont de l’ordre de la croyance ou de l’hérésie. Et... le paradoxe, c’est que ce genre d’article tombe finalement un peu à plat. Un peu comme si il était hors de propos. Tout en rendant honneur à l’auteur pour cet exercice de bon sens, il est malheureux de constater que le sujet sanitaire (réel) n’est pas l’enjeux de fond. Que finalement il importe peu de faire une analyse du réel, quand la société fonctionne sur la base du story-telling.