Gabriel, ou le retour de Staline. Car c’est bien de malades mentaux que celui-ci traitait ceux qui osaient discuter sa parole divine. La solution est bien évidemment hors des partis politiques et de l’idolâtrie dont bénéficient leurs chefs, et tant que les partisans se comporteront comme des fans de football, haïssant par principe tout adversaire, il est clair que l’union populaire est impossible. Et c’est exactement le but de la caste qui a dépêché votre idole sur le front, sentant le vent de la révolte se lever..
Non, il n’y a aucune ambiguïté : il est évident que le FdG et ses dirigeants sont chargés par le système de canaliser la révolte légitime du peuple, en récupérant sa colère à son propre profit et lui empêchant toute union hors des structures partisanes et, dès lors, de ce « diviser pour mieux régner » cher à la caste dominante.
Chez nous on a coutume de dire : « Il faut vraiment ne pas avoir de coeur pour ne pas être communiste à 16 ans, et ne pas avoir de cerveau pour l’être encore à l’âge adulte ».
@Le Chat : il suffit de lire leurs réactions, de voir leur volonté d’agresser et censurer toujours ceux qui ne pensent pas comme eux (aux cris de « fachos » alors qu’ils font preuve qu’ils le sont eux-mêmes) pour être persuadé que ces défenseurs de l’ignoble seront les pires dictateurs et les plus sanglants. Car contrairement à ce que nous font subir les gouvernements européens, ils n’y mettront ni les formes ni les manières. Bien au contraire.
On remarquera que l’auteur, comme tous les défenseurs du communisme, parle à son sujet exactement la même chose que les croyants parlent de leur religion : des crimes ont été commis au nom de ma religion (ou de mon communisme) mais ce n’était pas la vraie religion. Comme si les néo-nazis nous disaient que le nazisme est une idéologie de progrès, de paix et de tolérance malheureusement pervertie par des intégristes car, comme Staline et Mao n’étaient pas de vrais communistes, Hitler n’était pas un vrai nazi. Cette manière de défendre les idéologies les plus meurtrières est proprement irresponsable et néfaste à l’humanité, et la bienveillance avec laquelle le communisme est aujourd’hui regardé par les adeptes forcenés du politiquement correct simplement écoeurante. On ne s’étonnera dès lors nullement de voir les néo-communistes s’allier avec les islamistes les plus rétrogrades : ils ont en effet en commun le désir de dictature mondiale comme l’agression permanente envers quiconque oserait discuter le bien-fondé d’une idéologie coupable des crimes les plus abominables, comme de la mise à mal de tous les pays dans laquelle elle s’est installée.