clostra

@Taverne
Bonjour Taverne,
Personnellement je pense qu’on devrait de façon urgente confiner les non-vaccinés. En faisant de la sorte on éviterait d’entendre dire que ce sont les non-vaccinés qui contaminent avec omicron d’une part et d’autre part que c’est grâce à la vaccination que les contaminés au variant en question ne font pas de formes graves.
C’est juste que c’est mieux d’avoir des données pour observer par soi-même quelque chose qui nous concerne tous.

Mais alors pourquoi n’entend-on pas le Conseil Constitutionnel ? ne le saisit-on pas ?

Le sous-entendu de ces propos est que le Président a une intention (une envie, un désir) et qu’il a le pouvoir de s’auto-exhausser. Avoir une envie et la transformer en intention puis action n’est pas tout à fait la même chose que de « faire éclater » son indignation, sa colère, son exaspération ce qui n’est pas très grave en soi. On peut essayer de riposter en prenant les mêmes termes, par exemple :

J’ai très envie de pourrir la vie, de harceler* ce monsieur en l’obligeant à ne plus s’entretenir avec ses conseillers. Ai-je le pouvoir d’empêcher ces personnes d’atteindre l’Elysées ?

Non

et puis comme je ne bénéficie pas de son immunité (ni l’autre d’ailleurs ... ) et que je dois donc faire très attention de ne pas tomber sous l’article de loi qui traite du harcèlement moral, je ne vais pas dire par exemple (non ! on dit pas !) à la place : monsieur le Président faites tout de même attention à omicron qui s’attaque aux vaccinés.

J’ai dit quelque chose qu’il fallait pas dire ?

@Francis, agnotologue
en fait je me suis posé la question au moment où j’écrivais « antibiotiques », c’était une analogie, une sorte de suite dans les idées (une réponse à Dugué qui m’a interdit de commenter à cause de « Dugué vive la Rose » je crois, fini les free hugs)
Il dit « Les variants sont générés par les organismes infectés » eh ! bien ! pour moi ce n’est pas comme ça qu’il faut dire les choses. On devrait dire « Les variants sont sélectionnés par les organismes infectés voire vaccinés (pour leur échapper) », tout comme les variants bactériens sont sélectionnés par les antibiotiques (pour leur échapper)"
Tout comme chacun de nous, le virus veut vivre avant tout, il n’a pas d’autres raisons d’être que d’être.
Donc, les antibiotiques c’est tout comme un vaccin qui continue à faire fabriquer des anticorps contre une souche qui n’existe plus. Et les virus, celui-là en particulier a plus d’un tour dans son sac. D’ailleurs, on devrait faire fabriquer des antibiotiques aux cellules.
Voilà l’explication.

Maintenant nous parlons avec un écologiste et justement je me demandais s’il ne fallait pas plutôt aborder la problématique d’un tel virus dans son environnement, si possible pour l’y faire retourner, ou en prenant le problème à l’envers : qu’est-ce qui dans notre environnement a fait que ce virus se plaît autant parmi les hommes ?

une réflexion comme une autre ... à ma connaissance si Olivier Véran a accepté le poste, il n’en serait pas l’instigateur. C’est une « drôle d’idée » pour une « drôle de guerre », disons pour une guerre qui n’est pas la bonne. Le Président, en nommant un médecin à la tête de ce secrétariat d’état, indique clairement qu’il se trompe de guerre.

La guerre ce n’est pas une guerre contre un virus (on n’a pas fini les amis !) c’est celle pour laquelle il a été élu : pour le maintien de la démocratie.

La démocratie sanitaire c’est le fait du soutien aux « usagers de la santé », pour le respect de leur responsabilité, de la reconnaissance de leur capacité à se maintenir en bonne santé (ça c’est une capacité universelle qu’ont les vivants sinon ils seraient ... morts).

Désigner un médecin est en fait assez « drôle » surtout pour vanter ce qu’il y a de plus facile, communément appelé « la vaccination » en temps que mode de prévention. Non ce n’est pas un mode de prévention, tout comme les antibiotiques ne sont pas des modes de traitement.

à ce rythme, au rythme où vont sortir les « vaccins » à ARNm, terme impropre, on l’a compris (va falloir imaginer un terme « industriel » pour l’industrie cellulaire déviée pour fabriquer de vraies saloperies, déjà le concept, le paradigme cloche quelque part, à force la cellule va se désintéresser de sa fonction initiale : produire de bons produits).

Mais ce n’est pas là où je veux en venir. Je force le trait pour stimuler l’imaginaire. ...

De quel droit un médecin pour lequel il y a obligation de moyens mais pas obligation de résultat, considéré comme « irresponsables » en temps que prescripteur par exemple du médiator (je parle sous votre contrôle : y a-t-il eu un médecin condamné en temps que prescripteur du médiator ?) pour lequel « ils » ont expliqué qu’ils n’y connaissaient rien (les médecins).

Comment soudain, nombreux dans l’arène parlementaire « infestée », au point de disgracier dans un mouvement pendulaire (un coup oui un coup non) une médecine dite alternative utilisée par tout le monde (l’homéopathie), très généralement sans effet secondaire, c’est peut-être là son moindre défaut. Comment soudain ces médecins sortes de prêtres du dernier recours avant l’extrême onction, qui n’y connaissent rien aux médicaments, soudain s’y connaîtraient mieux en vaccin.

C’est facile ! c’est parce que c’est très ... simple à comprendre.

Mais où est donc (passée ?) la démocratie des usagers de la santé ? ne sont-ce pas à eux de témoigner et exprimer leurs souhaits. Notez bien que le terme « usager de la santé » est bien entendu inclusif ! (inclusion des médecins et même de Monsieur Véran à qui je souhaite longue vie)

à qui la faute ?

@Philippe Stephan
je pense que vous faites un hors sujet ...
On peut être ni pour ni contre bien au contraire, mais dans cet article il est question de la liberté de se faire ou non vacciner.