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Accueil du site > Actualités > Technologies > Chaînage des causalités optiques en milieu réfringent ?

Chaînage des causalités optiques en milieu réfringent ?

Chaînage des causalités optiques en milieu réfringent ?

 

Nous avions vu dans l’article précédent que dans l’humeur vitreuse de l’œil, la causalité s’écoule surtout à rebrousse-macro-temps, depuis l’opsine et son cis-rétinal vers le faisceau incident tel qu’il arrive vers la cornée. Cela pour chaque photon, ou onde individuelle.

 

Question : Et qu’arrive-t-il lorsque le milieu réfringent est de grande étendue ? Par exemple sous l’eau, ou dans une fibre optique de grande longueur ? La causalité s’écoule-t-elle toujours dans les deux sens, rétrochrone et orthochrone, selon les principes de la microphysique transactionnelle ? Or un tel milieu nous fait sortir du cône relativiste de lumière enseigné partout, où le macro-univers se partage entre passé, avenir et ailleurs.

Il faut investiguer les faits expérimentaux déjà disponibles.

 

Je vous rassure tout de suite : que je porte un hublot plan ou un hublot correcteur de ma myopie, sous l’eau aussi je vois toujours les mêmes couleurs et la même luminosité dans les deux cas. Seule la netteté change selon les distances. Aucun changement donc avec les prévisions transactionnelles.

 

En revanche, nous pouvons régler le sort d’une des narratives concernant la propagation de la lumière dans les milieux transparents et réfringents : celle qui prédit que l’avant du train d’onde continuerait de se propager à la vitesse de la lumière dans le vide, mais avec une amplitude imperceptible, tandis que le gros de l’onde, seul perceptible, est ralenti conformément à l’indice de réfraction. Cette narrative ne s’appuie sur aucun fait expérimental, mais extrapole à partir du postulat qu’un atome, ce serait presque tout du trou, un immense vide juste parcouru par quelques corpuscules femtométriques qui par miracle seraient des électrons. Postulat insoutenable, violemment contrafactuel.

 

Cette narrative est aussi incompatible avec la conservation des fronts d’ondes (pour chaque photon) sur un grand parcours, que ce soit dans l’eau ou a fortiori dans une fibre optique. Prenons une fibre optique de 3 km, avec un indice de réfraction de 1,5. Sur cette distance, le gros de l’enveloppe de l’onde prendrait un retard d’un kilomètre sur son début, soit un milliard de longueurs d’onde dans le proche infrarouge à 1 µm. Hem ! Impossible de conserver la cohérence d’un seul photon, de chaque photon.

Cette narrative est aussi incompatible avec la longueur de cohérence observée de chaque photon, dont on sait par des expériences d’interférence à grande différence de parcours optique, qu’elle plafonne vers le mètre dans l’air pour les photons du domaine visible, émis par des moyens anté-lasers, par exemple par un tube luminescent à gaz – soit en gros les deux millions de périodes.

 

En conclusion, en milieu réfringent, chaque photon conserve sa longueur de cohérence, comptée en nombre de longueurs d’ondes, ou nombre de périodes ; et cela de l’émetteur jusqu’à l’absorbeur.

 

Ainsi munis sur le plan théorique, pouvons nous revisiter l’expérience de Hippolyte Fizeau, réalisée en 1851, qui mesura la variation de vitesse de la lumière selon que l’eau se déplace dans le sens de propagation, ou en sens inverse ?

 

Publication originale : https://gallica.bnf.fr/ark :/12148/bpt6k347981/f381.item

Désolé, pas de figures dans la publication historique, seulement une description minutieuse.

Le dispositif de Fizeau consiste en deux tubes parallèles, où de l’eau circule de droite à gauche dans l’un, de gauche à droite dans l’autre. Depuis une source puis un miroir semi-réfléchissant, la lumière est partagée en deux trajets, l’un vers le tube où l’eau s’approche de la source, l’autre vers le tube où l’eau s’éloigne de la source. Chaque tube est fermé aux extrémités par une glace perpendiculaire au trajet lumineux. Au bout du parcours, un miroir renvoie chaque faisceau vers l’autre tube. Plus ce qu’il faut de prismes déviateurs et d’optiques de refocalisation. En fin de parcours après le miroir semi-réfléchissant franchi à l’entrée, on mesure le déplacement des franges d’interférence selon la vitesse de l’eau dans les deux tubes.

 

La théorie correcte n’arriva que cinquante-quatre ans plus tard, par Albert Einstein. Le point clé est que l’indice de réfraction n, ici de l’eau, est le quotient de la célérité de la lumière dans le vide, par la célérité dans le milieu réfringent traversé. Certes, dans l’eau immobile, les fronts d’onde (pour chaque photon) sont resserrés d’un rapport 3/4 environ, inverse de l’indice de réfraction. Mais si l’eau est en mouvement contre le sens de propagation de la lumière, cette fréquence spatiale est augmentée, selon l’effet Doppler-Fizeau ; deux énoncés équivalents, l’un est que l’indice optique est augmenté par le mouvement, l’autre est que la vitesse de propagation (par rapport au repère du laboratoire) est ralentie, encore plus ralentie que par le milieu optique immobile.

 

Le seul calcul à faire est de traduire la vitesse de propagation de la lumière dans le milieu en mouvement (l’eau ici) depuis le repère en mouvement, vers le repère du laboratoire. Ce calcul est nécessairement relativiste, pour coller avec les résultats expérimentaux.

Notations :

n = indice de réfraction (pour la fréquence lumineuse présente dans l’expérience)

b = vitesse de la lumière dans le milieu réfringent, dans le repère lié à ce milieu réfringent = c/n

c est évidemment la célérité de la lumière dans le vide.

v = vitesse du milieu réfringent, dans la direction parallèle à la propagation de la lumière, et comptée dans le repère du laboratoire.

b’ = vitesse apparente de la lumière dans le milieu réfringent en mouvement, mais vue du repère du laboratoire.

Pour dépouiller l’expérience complète, avec déplacement des franges d’interférences, nous aurions aussi besoin de la longueur de tube d’eau en mouvement, et de la longueur d’onde de la lumière utilisée, aussi monochromatique que possible ; il nous faudrait aussi la distance du miroir semi-réfléchissant à l’écran ou au ccd détecteur. Nous ne nous en occuperons pas ici.

Loi de l’addition des vitesses colinéaires en relativité :

b’ = (b + v)/(1 + vb/(c2)) = (b + v)/(1 + v/(nc))

Or b est très petit devant c, nous pouvons donc développer la fraction au premier ordre :

b’ ≈ (b + v) (1 - v/(nc)) = b + v (1 - 1/n2), soit exactement le résultat observé par Fizeau en 1851.

Ce résultat expérimental est une vérification directe du théorème d’addition des vitesses relativistes.

 

L’astronome amateur, confronté aux effets optiques de la turbulence atmosphérique, aimerait bien comparer cet effet Fizeau aux autres effets des fluctuations de densité dans un air turbulent. Avis aux amateurs !

 

Conclusion

Nous avons continué ici la confrontation de tous les faits expérimentaux connus en optique et en électromagnétisme avec les principes de la microphysique (quantique) transactionnelle. Toujours aucune alerte, aucun démenti expérimental ne sont détectés, ici dans le chaînage bidirectionnel des causalités à travers un milieu réfringent de grande longueur optique. Y compris dans l’expérience de Fizeau en 1851.

 

Abstract

Yet another probe of the coherence of the principles of the Transactional (Quantic) Microphysics with any known corpus of experimental facts, here the bidirectional chain of causalities in the propagation of photons (= individual waves) in a long refringent medium, especially in the Fizeau (1851) experiment.


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69 réactions à cet article    


  • Clark Kent Kaa 16 mars 2022 14:06

    La théorie, c’est quand on sait comment ça marche, mais que ça marche pas.

    La pratique, c’est quand ça marche et qu’on sait ni comment ni pourquoi.

    Et quand rien ne marche et que personne ne sait pourquoi, on dit que c’est la démocratie pour se consoler.


    • JC_Lavau JC_Lavau 16 mars 2022 17:26

      @Kaa. Ne te gêne pas pour énumérer tout ce qui ne va pas, tout ce qui ne marche pas, dans ce bref article.


    • charlyposte charlyposte 21 mars 2022 15:07

      @Kaa
      On va finir par croire que le miracle n’est plus un hasard ! smiley


    • ZenZoe ZenZoe 17 mars 2022 09:34

      J’ai cliqué sur l’article parce que j’adore le titre, ésotérique à souhait.

      Et en plus, ça nous change de la guerre en Ukraine (qui commence à me gonfler à vrai dire).


      • JC_Lavau JC_Lavau 17 mars 2022 22:00

        @ZenZoe. Il y avait un article précédent , dont celui-ci est juste un complément logique.

        Une preuve définitive par l’astigmatisme ou la myopie

      • charlyposte charlyposte 21 mars 2022 15:03

        @ZenZoe
        LOL smiley t’aime pas les lobbies de l’armement ! smiley


      • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 17 mars 2022 10:03

        Que la vitesse de la lumière soit influencée exactement par la vitesse du courant d’eau traversée est conforme à la théorie de la propagation de la lumière développée par Roger Robert dans son modèle de l’atome à électrons statiques puisque la lumière se transmettrait d’électrons à électrons, lesquels se déplacent de par le courant de l’eau.

         

        http://rogerrobert.o.r.f.unblog.fr/files/2011/01/modlemaes.pdf

        Livre que vous pouvez lire dans ce document en lien : On voit sur la colonne de droite « contenu du livre » puis les différents composants du livre au-dessous.

        http://rogerrobert.unblog.fr/2010/12/11/le-modele-de-latome-a-electrons-statiques-maes-une-evidence/


        • JC_Lavau JC_Lavau 17 mars 2022 21:51

          @Daniel PIGNARD. Tes raisons sont mauvaises, et surtout ta référence est pitoyable.
          Toutefois oui, la description standard des électrons-corpuscules complètement zinzins qui zinzinneraient en tous sens autour d’un noyau, est un pur délire.
          Oui l’électron autour d’un noyau est son onde électronique décrite par l’équation d’onde de matière Schrödinger-Pauli-Dirac.


        • SilentArrow 21 mars 2022 06:01

          @Daniel PIGNARD

          Avec la relativité restrainte, ça prend une ligne pour obtenir la vitesse correcte. Il suffit de développer la formule de composition des vitesses en puissances de b/c et de s’arrêter au terme du premier ordre.

          Pourriez-vous nous expliquer comment on fait le même calcul dans la théorie de Roger Robert ? Pas au moyen d’une référence, mais en nous montrant le calcul explicite comme l’a fait JC_Lavau. Je suis curieux de connaître ces détails ainsi que le résultat.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 10:44

          @SilentArrow

          Je ne comprends pas ce que vous me demandez.

          Il me semble pourtant que la vitesse de la lumière se compose avec la vitesse du courant d’eau puisque la lumière se transmet d’électron statique à électron statique voisin eux-mêmes entraînés par le courant d’eau.

           

          Je dois dire que le chapitre sur les rayons lumineux page 32 du livre de Roger Robert fait référence à « Le chapitre sur la lumière va certainement vous surprendre comme je l’ai été »

          mais je n’ai pas trouvé dans son livre le fameux chapitre sur la lumière.


        • SilentArrow 21 mars 2022 11:42

          @Daniel PIGNARD

          Je vous demande d’effectuer le même calcul que l’auteur, mais dans le cadre de la théorie de Roger Robert.
           
          Pour voir comment vous vous y prenez (et vérifier que vous savez de quoi vous parlez) et quel est le résultat de ce calcul (pour vérifier si cette théorie permet de prévoir le résultat expérimental).


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 13:47

          @SilentArrow

          « Or b est très petit devant c, » nous dit JC_Lavau

           

          Eh bien non,

          b = vitesse de la lumière dans le milieu réfringent, dans le repère lié à ce milieu réfringent = c/n

          et c est évidemment la célérité de la lumière dans le vide.

          Deux vitesses de la lumière ne peuvent être très différentes.

           

          Alors, la relativité ayant été démontrée fausse, nous avons b’ = b + v dans le système Roger Robert.


        • SilentArrow 21 mars 2022 14:08

          @Daniel PIGNARD

          Or b est très petit devant c, » nous dit JC_Lavau

          Bien observé PIGNARD. Il s’’agit d’une faute de frappe, je présume.
          C’est en effet v qui est très petit par rapport à c, pas b.
          Mais le reste du calcul est correct :

          1//(1 + v/(nc)) tend bien vers 1 - v/(nc) si v/(nc) est beaucoup plus petit que 1.
           

          Alors, la relativité ayant été démontrée fausse, nous avons b’ = dans le système Roger Robert.

          Ben non. C’est la théorie de Roger Robert qui est démontrée fausse puisque le résultat qu’elle prédit est infirmé par la mesure.

        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 14:18

          @SilentArrow
          Veuillez SVP nous fournir les résultats de la mesure avec ses limites de tolérance ainsi que les résultats de votre calcul relativiste et le mien pour voir qui est le plus proche.


        • JC_Lavau JC_Lavau 21 mars 2022 14:50

          @Daniel PIGNARD. Je t’ai donné la publication originale par Fizeau.
          La vérif est immédiate : applique ta formule dans l’air. Son indice relatif est très très proche de 1, proche de celui du vide. Or ta formule ne tient pas compte de l’indice.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 14:56

          @SilentArrow

          Les expériences de Michelson et Morley de 1887 et de Michelson et Gale de 1924 http://www.ilcatecumeno.net/fr014.annexe1.htm

          La bataille sur Agoravox

          https://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/la-mecanique-quantique-mene-au-218819#forum5593688

           

          EINSTEIN avait prédit en 1916 l’influence de la gravitation d’un corps massif sur la lumière passant à proximité. De ce fait une étoile située près de l’alignement du Soleil doit apparaître plus près du Soleil. Hélas, les photographies prises en 1919 montrèrent que les étoiles s’étaient déplacées dans toutes les directions, y compris en s’éloignant du Soleil. Aussi, LES RELATIVISTES ELIMINERENT DE LEUR RAPPORT LES MAUVAISES ETOILES. Ils en gardèrent 7 sur 36. Ils purent ainsi triompher, mais certains experts, comme le docteur Arthur LYNCH qui assistait comme expert à l’observation, ne furent pas convaincus. Par exemple une déviation constatée était de 1,80 seconde au lieu de 0,84 seconde prédite par EINSTEIN, ce qui était un échec. On s’aperçut ensuite que les déplacements des 7 bonnes étoiles n’étaient pas dans la direction prévue par EINSTEIN, SANS QUE LE RAPPORT LE MENTIONNE. Ces expériences, et d’autres en 1922, condamnèrent la relativité généralisée. (Science et Foi N° 71 page 49)


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 15:03

          @JC_Lavau
          Je n’ai pas vu de chiffre dans ce que vous m’avez donné.



        • SilentArrow 21 mars 2022 15:57

          @Daniel PIGNARD

          Je n’ai pas vu de chiffre dans ce que vous m’avez donné.

          Il ne faut pas rester sur la première page. Les boutons « < » et « > » permettent la navigation.

        • SilentArrow 21 mars 2022 16:13

          @Daniel PIGNARD

          EINSTEIN avait prédit en 1916 l’influence de la gravitation...

          Pourquoi dévier la conversation vers la relativité générale alors qu’il n’est question ici que de relativité restreinte ?

          Vous n’avez pas encore digéré le fait qu’e la RG permet d’expliquer tout simplement les « anomalies » de l’effet Sagnac comme l’a montré Paul Langevin ?


        • JC_Lavau JC_Lavau 21 mars 2022 18:44

          @Daniel PIGNARD. Tu passes ta vie sur la propagande de ta secte, créationniste.
          Et si tu regardais les expériences de Pound et Rebka en 1959 ? Perfectionnées quelques années plus tard par Pound et Snyder.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 22 mars 2022 09:55

          @SilentArrow

          La présence de l’éther explique aussi l’effet Sagnac et La relativité restreinte interdit les résultats de mesures de Michelson et Gale de 1924.

           

          1. Elle confirme, et c’est l’objectif déclaré dans le compte-rendu de 1924, la réalité d’un éther immobile dont la lumière est une vibration se propageant a la vitesse absolue c. Aussi, en mesurant la vitesse apparente (c - v) d’un faisceau lumineux, l’observateur peut-il en déduire sa vitesse propre par rapport a l’éther (v, qui est aussi sa vitesse absolue dans l’espace physique réel), même si elle ne dépasse pas 0,344 km/sec.

           

          2. En revenant sur l’expérience de 1887 a la lumière de celle de 1924, on peut trancher en faveur de l’interprétation géocentriste. Si en effet un dispositif optique a pu mettre en évidence une rotation de 0,344 km/sec dont la réalité nous est confirmée par ailleurs (pendule de FOUCAULT, aplatissement de la Terre aux pôles, équilibre des satellites géostationnaires entre une force centrifuge réelle et la gravite terrestre), et si un dispositif de même nature et d’une précision appropriée ne parvient pas a déceler un mouvement supposé cent fois plus rapide (30 km/sec), c’est que ce mouvement supposé n’existe pas ! 

          Les expériences de Michelson et Morley de 1887 et de Michelson et Gale de 1924 http://www.ilcatecumeno.net/fr014.annexe1.htm


        • SilentArrow 22 mars 2022 14:55

          @Daniel PIGNARD

          Nous vivons à une époque formidable : vous pouvez admettre que la terre n’est pas plate sans risquer le bûcher.

          Encore un petit effort et vous admettrez qu’elle tourne autour du soleil, ce qui ne fait cependant pas du soleil le centre de l’univers, loin de là.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 09:04

          @SilentArrow

          « vous pouvez admettre que la terre n’est pas plate sans risquer le bûcher ».

           

          De même, vous pouvez admettre sans risquer le bûcher :

          que le déluge n’a jamais existé,

          que le linceul de Turin est un faux,

          que les figurines d’Acambaro sont des faux,

          que le monstre du Loch Ness n’existe pas,

          que les gorges ont été creusées par le cours d’eau qui passe au fond, même s’il n’y en a pas,

          que Alésia se trouve à Alise-Sainte-Reine en Bourgogne,

          que Gergovie se trouve au plateau de Merdogne au sud de Clermont-Ferrand,

          que les strates se sont formées en des millions d’années,

          que les fosses où sont accumulés de nombreux animaux se sont remplies d’animaux au cours des millions d’années,

          que le disque de Phaestos n’a jamais pu être déchiffré,

          que les stalactites et les stalagmites se sont formées en des millions d’années,

          qu’une strate dans les glaces de l’Antarctique correspond à une année,

          etc...


        • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 11:21

          @Daniel PIGNARD. Triste fatras de merdouilles en tous sens.
          J’ai visité Dargilan sur le Causse Noir quand j’avais huit ans. Non, les grandes stalagmites comme le Clocher n’ont pas demandé des millions d’années. Elles sont strictement Quaternaires, voire strictement Holocènes. Les karsts évoluent rapidement, très rapidement au contraire de tant de phénomènes géologiques.


        • SilentArrow 23 mars 2022 11:23

          @Daniel PIGNARD

          Vous avez oublié les ptérodactyles photographiés dans le ciel américain.


        • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 11:31

          @SilentArrow : « C’est en effet v qui est très petit par rapport à c, pas b. »

          Hélas, le genre d’étourderies qui passent inaperçues à l’auteur, mais que le traducteur ne laisse pas passer. Je n’ai pas encore traduit...


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 11:53

          @SilentArrow
          Non, je ne les ai pas oubliés puisqu’ils ont dans le « etc... »


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 12:02

          @JC_Lavau

          Quaternaire = 2,58 millions d’années à aujourd’hui.

          Le déluge = 370 jours.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 12:49

          @SilentArrow

          v = vitesse du milieu réfringent, dans la direction parallèle à la propagation de la lumière, et comptée dans le repère du laboratoire.

           

          Or selon la théorie de Roger Robert, le milieu réfringent est composé de deux sortes d’élément :

          - Les molécules d’eau ayant des électrons attirés par les noyaux d’oxygène et d’hydrogène.

          - Les électrons libres quasi statiques qui composent l’éther dans ce qu’on appelle le vide.

           

          Les molécules d’eau vont à la vitesse du courant d’eau, les électrons libres sont quasi statiques mais sont bousculés par les molécules d’eau qui coulent entre ces électrons libres.

           

          Comment réagit la lumière qui serait un rayon passant d’un électron à l’électron voisin dans ce milieu molécules d’eau se déplaçant et électrons libres quasi statiques ? C’est ce qui est difficile à quantifier vu que si on connait bien la quantité d’eau qui coule, on ne connait pas la quantité d’électrons libres traversée par l’eau.

           

          On remarquera cependant que lorsque la lumière se déplace dans un courant d’air (donc au milieu des molécules d’air traversant l’éther), sa vitesse est très peu affectée par la vitesse de ce courant d’air, ce qui voudrait dire que la lumière traverse beaucoup plus d’électrons appartenant à l’éther que d’électrons appartenant aux molécules d’air.


        • SilentArrow 23 mars 2022 14:22

          @Daniel PIGNARD

          On a donc une théorie qui ne permet pas de prédiction quantitative (celle de Roger Robert), et une autre qui prédit un résultat conforme à la mesure (celle exposée dans l’article).
          Vous choisissez la première ; je choisis la seconde.


        • SilentArrow 23 mars 2022 14:26

          @JC_Lavau

          C’est vrai, j’ai souvent remarqué que le traducteur débusque des erreurs que l’auteur ne voit pas.
          Et j’ai aussi recopié votre erreur dans un commentaire sans m’en rendre compte.


        • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 15:20

          @Daniel PIGNARD, gloubiboulga...


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 16:48

          @JC_Lavau
          Je vois que cela ne vous est pas accessible mais persévérez et ça peut venir.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 17:27

          @SilentArrow

          La mesure de Fizeau est de 0,26 franges alors que si le Delta vitesse de la lumière dans le milieu réfringent avait été la vitesse de l’eau, la mesure donnerait 0,46 franges.

          Conclusion : la mesure donne la moitié de la vitesse de l’eau alors que le calcul de Lavau donne :

          b’b + v (1 - 1/n2) = b + v (1 - 1/0,75^2) = b - 0,777 v

          Or 0,777 v n’est pas égal à 0,5 v qui aurait dû être trouvé au calcul.

          Conclusion : Le calcul relativiste ne rend pas compte de la réalité.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 17:37

          @SilentArrow

          Correction du clacul

          b’b + v (1 - 1/n2) = b + v (1 - 1/1,333^2) = b - 0,437 v

          Or 0,437 v n’est pas égal à 0,5 v qui aurait dû être trouvé au calcul.

          Conclusion : Le calcul relativiste ne rend pas compte de la réalité.


        • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 22:35

          @DP. L’indice de réfraction de l’eau dépend de la fréquence et de la température ; sans parler des solutés si l’eau n’est pure.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 24 mars 2022 09:33

          @SilentArrow

          Rectificatif :

          La mesure de Fizeau donne 0,23 frange et non pas 0,26 frange comme je l’ai écrit, ce qui fait bien la moitié de 0,46 frange qu’on aurait dû trouver si la vitesse de la lumière avait augmentée de la vitesse du courant d’eau.


        • JC_Lavau JC_Lavau 25 mars 2022 16:35

          @Daniel PIGNARD. Des erreurs, imprécisions et indéfinitions sont inévitables dans la mesure de la vitesse du fluide, et dans celle de la longueur optique qui lui est associée.
          Tu as fait le calcul d’erreur ?


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 26 mars 2022 17:00

          @JC_Lavau

          RESULTAT EXPERIMENTAL de L’EXPÉRIENCE DE MICHELSON ET GALE ( 1924 )

           

          De fait, on observa un déplacement des franges d’interférence de 0,230 0,005 franges (sur 269 mesures) pour un déplacement théorique de 0,236. L’accord avec la réalité était donc très satisfaisant et confirmait

          - que la vitesse de l’observateur se compose effectivement avec la vitesse de la lumière,

          - que, par rapport a l’éther, la rotation de la Terre autour de l’axe des pôles était bien d’un tour par jour, ce que l’expérience célèbre du pendule de FOUCAULT au Panthéon avait déjà montré en 1851.

          https://www.ilcatecumeno.net/fr014.annexe1.htm

           

          Conclusion : les deux premiers chiffres après la virgule sont bons. Ce n’est pas le cas de votre calcul relativiste.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 26 mars 2022 17:14

          @SilentArrow

          Nombre de molécules = masse de l’eau / masse d’une mole*Nombre d’Avogadro (6*10^23)

          Nombre de molécules dans un litre = 1000/18*(6*10^23) = 3,333 x 10^25

          Une molécule d’eau contient 8 électrons dans le système de Roger Robert soit : 8 x 3,333 x 10^25 =

          2,666 x 10^26 électrons dans un litre d’eau.

          Comme ces électrons ont augmenté la vitesse de la lumière de la moitié de la vitesse du courant d’eau, cela veut dire qu’il y a le même nombre d’électrons libres statiques qui ont été traversés par la lumière. Il y a donc aussi environ 2,666 x 10^26 électrons libres dus à l’éther contenu dans un litre d’eau.


        • JC_Lavau JC_Lavau 26 mars 2022 22:40

          @Daniel PIGNARD. Crois tu qu’on ait attendu ton RoRo pour savoir que le numéro atomique de l’oxygène est huit ?
          Les « électrons qui ont augmenté la vitesse de la lumière », c’est nouveau, ça vient de sortir.
          Sans parler de ta théorie de l’éther à toi que tu as. Bon pour le piano à deux queues.


        • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 27 mars 2022 11:02

          @JC_Lavau

          Il s’agit d’augmentation de la vitesse de la lumière dans un électron de l’eau et vu depuis un observateur fixe dans le laboratoire.

          J’ai lu quelque part :

          « @DP. L’indice de réfraction de l’eau dépend de la fréquence et de la température ; sans parler des solutés si l’eau n’est pure. »

          Celui qui a fait cette réflexion admet donc que la vitesse de la lumière dans l’eau peut augmenter sans le scandaliser.


        • JC_Lavau JC_Lavau 28 mars 2022 01:29

          @Daniel PIGNARD. La totalité du raisonnement commun est scandaleusement simplifiée, puisqu’on fait comme si un écoulement turbulent et localement courbé quatre fois équivalait à un déplacement solide.
          Non, l’eau ne peut validement « augmenter la vitesse de la lumière », car l’eau est le seul repère local où « célérité » ait un sens intrinsèque. Dans le repère du labo, ce que l’on constate est autre chose, une vue en perspective, et cette perspective varie avec la vitesse du repère mobile et aqueux.

          Tu prétends à toute force qu’il existerait un repère privilégié. Or il n’existe pas.


        • JC_Lavau JC_Lavau 17 mars 2022 11:41

          « Cette-grenouille-ci » objectait qu’il n’aimait pas le terme « narrative ».

          Or je ne peux pas élever ce récit folklorique (étalement gigantesque de l’onde à partir de l’onde théorique dans le vide) au rang de « théorie » : non seulement il n’est fondé sur aucun fait expérimental, mais de plus il ne déduit aucune espèce de prédiction expérimentable ; il n’apporte rien. La narrative sert juste de raccord entre des prémices injustifiables, et l’outrecuidance orgueilleuse du narrateur et esbrouffeur.

           Pour emprunter au vocabulaire des romans d’espionnage pour galopins, on peut reprocher à la théorie transactionnelle, qu’elle « se propulse en laissant derrière elle une traînée de cadavres ». A commencer par la narrative folklorique de la secte Göttingen-København de 1927, telle qu’exposée par Etienne Klein dans ses innombrables vidéos. Narrative toujours hégémonique dans tous les amphis et tous les manuels, brocardée en vain en 1935 par Erwin Schrödinger, sous l’apologue narquois du chat mort-vivant.

          J’ai déjà exposé à Les plus beaux loupés de l’enseignement des sciences. Le management par les féodalités est fautif, à quel point cette narrative hégémonique grève le rendement de l’enseignement scientifique dans les pays qui y restent soumis.


          • JC_Lavau JC_Lavau 21 mars 2022 13:24

            Bien qu’il ait traîné longtemps, j’ai encore écrit cet article trop vite.

            La lacune :

            Voici vingt-cinq ans environ, un des arguments heuristiques qui avaient fait élaborer la microphysique transactionnelle, est que selon la transformation de Lorentz, le temps propre d’un photon dans le vide est nul : pour lui l’émission et l’absorption sont simultanées. Or dans le cas des milieux transparents et surtout réfringents, on ne sait pas ce que devient la transformation de Lorentz. Il n’est donc pas trivial de constater que les principes transactionnels restent valides loin de cet argument heuristique historique.

            D’autre part, les concepts relativistes ont une belle validité en astronomie, en milieu vide, et sur une base corpusculariste. Alors qu’en réalité, un photon, ou onde individuelle, a un début, une fin, une durée et une longueur jamais négligeables. Et de même d’un électron, du reste, ou tout autre « particule » dotée de masse : fréquence intrinsèque broglienne oblige.

            Le transfert synchrone d’un photon d’un émetteur à un absorbeur, persiste à découler de causalités croisées, orthochrones et rétrochrones, dans tous les cas de figure, y compris en milieu réfringent.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 13:57

              @JC_Lavau
              Ce que vous appelé lacune chez vous, vous l’appelez pitoyable chez PIGNARD. Vous pratiquez donc un double standard pour parler comme Lavrov.


            • JC_Lavau JC_Lavau 21 mars 2022 14:52

              @Daniel PIGNARD. N’hésite pas à nous expliquer la transformation de Lorentz en milieu réfringent.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 21 mars 2022 15:24

              @JC_Lavau
              Pourquoi aurai-je à expliquer une transformation que je n’ai pas utilisée ?
              Expliquez-moi voir cela.


            • JC_Lavau JC_Lavau 22 mars 2022 23:06

              @Daniel PIGNARD. Que tu ne te serves pas du centre de l’article ne fait pas que ce n’en serait plus le centre. Il s’agit toujours de la transformation de Lorentz en milieu réfringent. Que ça te plaise ou non.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 10:06

              @JC_Lavau

              Le texte de Fizeau fait référence à l’éther. Alors vous y croyez ou non ?

              Un coup je le vois, un coup je le vois pas, je le vois, je le vois pas.


            • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 11:04

              @Daniel PIGNARD. J’ai ou je n’ai pas précisé que la théorie correcte n’arrivera que 54 ans plus tard ?
              1905 - 1851 = 54, non ?


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 11:11

              @JC_Lavau
              Cela s’appelle ne pas répondre à la question posée.


            • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 11:27

              @Daniel PIGNARD. Hippolyte Fizeau fut responsable d’avoir imaginé et réalisé une expérience fort ingénieuse.
              Tu es seul responsable de nous encombrer avec tes sornettes indéfendables.


            • SilentArrow 23 mars 2022 15:05

              @Daniel PIGNARD

              Le texte de Fizeau fait référence à l’éther. Alors vous y croyez ou non ?

              La physique n’est pas une question de foi.

              Ce que je peux vous dire, c’est que le concept d’éther a disparu de la physique contemporaine.On n’en a plus besoin.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 23 mars 2022 17:50

              @SilentArrow

              Je suis tombé sur un texte d’Einstein qui m’a étonné parce que je croyais que sa théorie de la relativité l’avait conduit à abandonner l’existence de l’éther, or il n’en est rien comme on peut le voir ci-dessous :

              Einstein dit la chose suivante dans son étude « Sidelights on Relativity » le 5 mai 1920 :

              "Beaucoup d’arguments étayent l’hypothèse de l’existence d’un éther. La négation de l’éther impliquerait que l’univers vide n’aurait aucune propriété physique. Les bases fondamentales de la mécaniques contredisent cette affirmation.. L’univers a, selon les lois de la relativité, des propriétés physiques ; dans ce sens il existe un éther. L’espace dépourvu d’éther est impensable d’après la théorie de la relativité."

              http://www.gutenberg.org/cache/epub/7333/pg7333.html

              http://quanthomme.free.fr/energielibre/energie/Einstein.htm

              Dans le chapitre : Ether and the theory of relativity, voir dernier paragraphe par exemple.

               

              1916  : Einstein admet l’existence d’une certaine forme d’éther

              https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ther_(physique)


            • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 22:43

              @Daniel PIGNARD. Que valent les mots quand ils n’ont aucune définition ?

              Quant au « name dropping », il ne garantit en rien que le « nom » soit infaillible. J’ai chez moi un article de l’illustre Albert en 1916 où il s’égare : Ein neue Deuntung des Mawellsche feldgleichungen.
              Il s’égarait alors en un Sechstesvektor.
              Heureusement il s’est corrigé en 1921.


            • JC_Lavau JC_Lavau 23 mars 2022 23:06

              @CYRUS. Bravo d’avoir trouvé en ligne cet article dont je n’avais qu’une photocopie, obtenue chère à l’époque. Il est absent de tous les recueils d’articles choisis.


            • SilentArrow 24 mars 2022 03:24

              @Daniel PIGNARD

              Einstein admet l’existence d’une certaine forme d’éther

              Je ne connais aucun calcul contemporain qui fait intervenir une quelconque propriété de l’éther. 

              Pour moi, l’éther, c’est ce qu’il reste quand on a enlevé l’éther.. Cela ne sert à rien.

              Ça ne veut pas dire que le vide n’est pas peuplé de créatures fugaces, mais je n’appellerais pas cela l’éther.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 24 mars 2022 09:56

              @SilentArrow

              Maurice Allais, né le 31 mai 1911 à Paris et mort le 9 octobre 2010 à Saint-Cloud, est un économiste et physicien français, prix dit Nobel d’économie en 1988.

               

              L’hypothèse d’Allais

              D’après Allais, les résultats d’anisotropies périodiques seraient dus à une propriété du vide, un éther, qui procurerait des propriétés anisotropiques à l’espace. Plus simple à réaliser qu’une expérience d’interférométrie, c’est vers cette vérification qu’il porte ses efforts. Il décrit ses hypothèses dans son livre, L’Anisotropie de l’Espace, publié en 1997.

              Son hypothèse conduit à une vitesse de la lumière par rapport à l’observateur terrestre dépendante de la direction8 (puisque la Terre se déplace avec l’éther mais que la rotation de la Lune induit un « vent » de 8 km/s). Autrement dit, Allais récuse l’interprétation d’Einstein de l’expérience de Michelson-Morley.

              https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_Allais


            • JC_Lavau JC_Lavau 24 mars 2022 10:05

              @SilentArrow. Le vide intersidéral est en effet très peuplé, de neutrinos, de photons, et d’ondes brogliennes orthochrones comme rétrochrones.


            • SilentArrow 25 mars 2022 02:55

              @Daniel PIGNARD

              L’hypothèse d’Allais

              Un peu plus bas dans la référence que vous donnez : 

              « L’expérience de Miller avait fait parler d’elle à l’époque, mais rapidement d’autres expériences ont conforté la relativité et les physiciens se sont convaincus que l’expérience de Miller était pathologique (comme le montre la lettre d’

              André Metz à Einstein à ce sujet13). Allais et ses partisans affirment que la contradiction apparente de l’expérience de Miller par les expériences ultérieures vient du fait que seule l’expérience de Miller était menée sur une période de révolution complète de la Terre autour du Soleil14. Depuis lors, ceci a été fait avec un résultat conforme à la relativité restreinte dans la limite de précision des instruments, un million de fois supérieure à ceux de Miller15.
              Si l’effet Allais a été discuté par plusieurs physiciens (qui ont proposé des explications entrant dans le cadre de la physique conventionnelle), ses théories sur l’anisotropie de l’espace sont traitées comme anecdotiques par la communauté scientifique, comme en témoigne l’absence de citations et même de simple référencement sur les bases de données dédiées Astrophysics Data System (ADS)16 et SPIRES17. »

            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 25 mars 2022 09:42

              @SilentArrow
              Wikipédia dirait-il toujours la vérité, par exemple en disant que le résultat est conforme à la relativité restreinte ? Pourquoi ne dit-il pas que le résultat est aussi conforme à ce que la terre ne tourne pas autour du soleil à 30 km/s ?


            • SilentArrow 26 mars 2022 06:56

              @Daniel PIGNARD

              Wikipédia dirait-il toujours la vérité...

              C’est vous-même qui m’avez donné ce lien vers wikipedia.

              Pourquoi cela vous dérange-t-il tellement que la terre tourne autour du soleil ?

              Écrivez à la NASA. demandez-leur s’ils tiennent compte ou pas de cette vitesse de rotation de la terre autour du soleil quand ils envoient une sonde sur Mars.


            • JC_Lavau JC_Lavau 26 mars 2022 11:25

              @SilentArrow. Il y a des suffisants qui nous couvrent d’invectives, comme quoi « ils ne savent même pas que tous les repères sont équivalents », oubliant que la cinématique n’a qu’un intérêt restreint sans la dynamique. En dynamique, les moments angulaires, les énergies cinétiques ne sont nullement équivalentes selon l’héliocentrisme ou le géocentrisme. Les centres d’inertie aussi sont sans appel : le centre d’inertie du système Terre-Lune, ouf il est à l’intérieur de la Terre. Alors que le centre d’inertie du système Soleil-Jupiter-Saturne-autres_planètes tombe souvent à l’extérieur du Soleil, et le centre d’inertie du système Pluton-Vesta tombe toujours à l’extérieur de ces deux planètes.


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 26 mars 2022 11:31

              @JC_Lavau
               
               ’’le centre d’inertie du système Terre-Lune, ouf il est à l’intérieur de la Terre.’’
               
              Ce qui n’est pas le cas du centre de gravité, ça va sans dire.


            • SilentArrow 26 mars 2022 11:53

              @JC_Lavau

              Un ami qui avait étudié la philosophie à Cambridge a été bouleversé quand je lui ai expliqué que seuls les mouvements rectilignes uniformes sont relatifs. Il avait du mal à admettre que la terre qui tourne, ce n’est pas la même chose que l’ensemble de l’univers qui tourne autour.

              La position du centre de masse de deux corps célestes en rotation autour de ce centre commun, c’est important pour voir dans quel sens la force centrifuge agit sur les marées.


            • Daniel PIGNARD Daniel PIGNARD 12 avril 2022 11:21

              @SilentArrow

              « Écrivez à la NASA. demandez-leur s’ils tiennent compte ou pas de cette vitesse de rotation de la terre autour du soleil quand ils envoient une sonde sur Mars. »

               

              Quelqu’un l’a fait :

               

               

              https://crombette.altervista.org/fr_la_nasa_et_le_geocentrisme.htm

              Par exemple dans une lettre écrite au NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) faisant l’enquête suivante : « Le mouvement des satellites géostationnaires est-il prévu et exécuté sur la base d’une terre immobile ou d’une terre en rotation ? » La réponse envoyée par le chef de la navigation GEOS/POLAR ° la NOAA est très simple : « Terre immobile ». La lettre est citée et reproduite dans l’ouvrage de Marshall Hall : « The Earth is not moving ». Cornelia, Georgia, Fair Education Foundation, 1994, p. 261.

               

               

              Connaissez-vous le calcul des marées du Dr Eric Ballaux ?
              Voir Le système terre-lune et les forces de marée dans le lien suivant :
              http://le-cep.org/archive/CEP_08.pdf

              « Résumé : Jusqu’à présent on considérait comme impossible de prédire la force des marées par le seul calcul astronomique. C’est une méthode empirique qui est utilisée depuis des siècles en navigation pour prévoir les marées et l’accès aux ports. L’auteur propose ici une théorie gravimétrique et mécanique simple et, pour la valider, calcule la force de marée qui devrait être observée lors de l’éclipse solaire du 11 août 1999. »

              « Une partie des astronomes nie tout effet de marée d’origine centrifuge. Une autre partie des astronomes tient compte d’un effet centrifuge, causé par la rotation supposée de la terre autour du centre de masse du système terre lune (CMC), situé autour de 4.671 km du centre de la terre en direction de la lune. Mais cet effet n’est jamais calculé. Et pour cause : l’effet de marée généré par la rotation de la terre autour du CMC devrait être asymétrique et au moins dix fois plus important que la force de marée mesurée.
              Selon notre hypothèse, le centre de rotation commun du système terre-lune autour du soleil (CRC), distinct du centre de masse commun (CMC). est situé entre 141 et 163 km du centre de la terre, en direction de la lune. »


            • charlyposte charlyposte 21 mars 2022 15:08

              Le climat a bon dos... nous aussi smiley

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