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Journaliste scientifique.
Actuellement indépendant.
Travaille et réside à Paris, France.
Suit depuis 30 ans les hautes technologies.
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  • Premier article le 15/02/2007
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Derniers commentaires



  • pvdg pvdg 25 octobre 2007 14:16

    Ce texte est désopilant !

    Il se présente comme un article de vulgarisation, alors qu’il désinforme méthodiquement, de la première à la dernière ligne. Je l’ai relu soigneusement, et je ne trouve pas une seule phrase à sauver. Tout, absolument tout est faux. L’auteur n’a RIEN compris aux tests ADN et se pose en prof de génétique. Ou alors, il le fait exprès ? Est-ce volontaire, s’agit-il d’une bonne blague, d’une imposture à la Sokal ?

    J’en rigole encore...



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 23:06

    Sans jamais tenir compte des arguments que vous opposent des gens plus compétents que vous (comme Chantal Enguehard, du CNRS) ou qui simplement vous rappellent que la vraie question n’est pas technique, mais politique : la confiance !

    Vous vous en foutez, de la confiance des citoyens ?

    Et vous allez former combien de « hackers-contrôleurs compétitifs » pour sécuriser tous les bureaux de vote de France ? Je ne me fais aucune illusion, vous ne répondrez pas plus à cette objection qu’aux précédentes.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 22:50

    C’est quoi la « suite logique » ?



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 20:48

    Monsieur TALL,

    Le « contrôle compétitif », que vous suggérez, suppose que chaque candidat délègue des spécialistes en sécurité informatique dans les bureaux de vote. L’urne transparente permet à n’importe quel citoyen d’exercer le « contrôle citoyen ».

    Par ailleurs, vous présumez que je serais « animé par une certaine phobie de la technique ». Amusant ! Je suis un passionné de technologie, ex « jeune chercheur » en informatique, et depuis 25 ans journaliste scientifique, spécialisé en high-tech. Je vous renvoie à mes derniers articles sur l’ordinateur quantique, les supercalculateurs ou encore les puces RFID dans le magazine « La Recherche ».

    Vous poursuivez : « Quant à moi, j’ai écrit mon 1er programme en langage-machine en 1973. » À ce (petit) jeu-là, vous perdez également, car en 1973 je travaillais depuis 3 ans comme informaticien à l’INSERM de Villejuif.

    Pour finir, puis-je rappeler que le suffrage universel appartient au peuple tout entier. En conséquence, le problème n’est pas que des informaticiens soient convaincus, dans leur coin, qu’ils ont trouvé la solution idéale. Car les gens savent que des ordinateurs se font embrouiller tous les jours et qu’ils n’ont aucun moyen de rien y changer.

    On cherche en vain une bonne raison de voler au citoyen le contrôle du scrutin auquel il a droit depuis 1789. Le motif réel le plus fort semble être une fascination puérile devant la technologie, chez certains politiques. La « technolâtrie » fait plus de ravages encore que la technophobie.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 15:25

    Au secours ! Lisez avant de renvoyer la balle. Vous m’obligez à me citer moi-même : « Tout d’abord, ce que que l’on demande, c’est un système qui interdit la triche, même si personne ne demande à vérifier. »

    Secundo, qu’est-ce qui me prouve que le logiciel qui étudie la réclamation est plus sûr que celui qui a triché au moment du vote ?

    Tertio, vous êtes toujours à côté de ma plaque parce que que vous ne répondez pas au point le plus important du cahier des charges : il faut un système auquel les gens font confiance. Et les gens n’ont aucune raison d’avoir confiance en un ordinateur. Car ils lisent les journaux, ils ont même souvent un ordinateur au boulot et/ou à la maison et ils savent donc que des millions de PC sont visités, trafiqués, spamés, espionnés, infestés de virus, et que l’industrie est incapable de régler tous ces problèmes.

    Vous répondez en vous prenant pour un spécialiste de la sécurité informatique, c’est à dire en faisant comme ces boites qui fabriquent les machines à voter actuelles. Comment allez-vous rassurer le citoyen ? Votre texte est parfaitement incompréhensible par les gens concernés. Alors que le code électoral, version papier (avant 1969), est parfaitement lisible par tous.

    Votre attitude me confirme dans mon point de vue central sur le sujet : il faut n’avoir rien compris à la démocratie pour croire que l’on peut remplacer l’urne transparente par une boîte noire. Si vous êtiez informaticien, vous sauriez que la première chose à faire avant d’informatiser c’est de lire le cahier des charges. Ce cahier des charges, il dit que le peuple vote, sous le contrôle du peuple, que le peuple dépouille, compte les voix et promulgue les résultats. Et le peuple, il n’est pas informaticien.

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