Traiter un interlocuteur de conspirationniste est l’une des techniques largement expliquée dans L’art d’avoir toujours raison de Schopenhauer. Il s’agit simplement de discréditer son adversaire par une attaque ad nominem, ce qui permet de ne pas avoir à se prononcer sur le fond.
Réponse dans la plus parfaite mauvaise foie, utilisant une autre technique de rhétorique, celle du contre-exemple : « Et PRISM, c’était du conspirationnisme... ? »
Est-ce que le qualificatif d’honnête pour le citoyen qui pourrait faire l’objet d’une future censure suggérerait que celui par qui tout est arrivé ne le serait pas, lui ?
Nous serions donc privé de liberté d’expression a cause d’un type malhonnête...
Dieudonné me fait rire, et j’espère qu’il continuera sans que l’on me prête d’intention malveillante vis-à-vis d’une communauté ou une autre, ou que l’on doute de ma capacité à faire la part des choses.
Je n’oublierai pas les noms de ceux qui ont rejoint la meute, politiques ou journalistes mainstream.
Je ne suis pas un fin connaisseur des subtilités de langage du Conseil constitutionnel, mais je ne vois nulle part dans la décisions qu’il soit fait mention d’un génocide en particulier, ou une quelconque référence au peuple arménien.
Il n’est mentionné que « l’existence des génocides reconnus par la loi ».