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JBL

Né en Côtes d’armor en 1930. J’ai occupé successivement des fonctions dans l’enseignement et la vulgarisation agricole et le commerce.

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  • JBL 2 mai 2007 19:26

    Fillon promet l’ouverture au centre si Sarkozy est élu Le Monde REUTERS 02.05.07 | 18h44

    Si Nicolas Sarkozy est élu dimanche à la présidence de la République, il devra ouvrir à la fois son gouvernement et sa majorité aux centristes, estime François Fillon, conseiller politique du candidat de l’UMP.

    Les projets de Nicolas Sarkozy et du président de l’UDF, François Bayrou, sont proches, déclare-t-il dans une interview publiée jeudi par La Croix. « Sur le plan économique, c’est une évidence. Philosophiquement aussi. »

    « L’ouverture, il faudra la mettre en oeuvre dans la composition du gouvernement mais aussi dans la composition de la majorité présidentielle au moment des élections législatives », ajoute celui qui semble aujourd’hui le mieux placé pour devenir le Premier ministre de Nicolas Sarkozy.

    Au moins les trois quarts des députés et deux tiers des sénateurs de l’UDF ont fait savoir qu’ils soutiendraient le candidat de l’UMP au second tour de l’élection présidentielle.

    Ces élus « auront toute leur place dans la majorité présidentielle », souligne François Fillon. « Ils auront donc le soutien du président de la République dans leur bataille législative », le mois prochain.

    Pour François Fillon, venu de la frange sociale du gaullisme, Nicolas Sarkozy devra également, s’il est élu, inclure dans le programme législatif de la future majorité présidentielle « un certain nombre de propositions défendues par les centristes » pendant la campagne électorale.

    « Par ailleurs, si cette élection a montré la pertinence d’un grand parti de droite et du centre, elle aura montré aussi qu’il y a une place aux franges de l’UMP pour l’expression d’une formation centriste autonome », ajoute l’ancien ministre. « Il faudra en tirer les conséquences. »

    Il estime en revanche que la place de François Bayrou, arrivé troisième au premier tour de la présidentielle, « ne va pas de soi, à moins qu’il réfléchisse ».

    « S’il a pu faire le chemin le conduisant à tenir des propos d’une violence inouïe contre Nicolas Sarkozy, pourquoi ne ferait-il pas le chemin inverse ? » demande François Fillon.

    Il revient par ailleurs sur la volonté de « rupture » politique que le candidat de l’UMP entend incarner.

    « La vraie différence avec le projet (de la candidate socialiste) Ségolène Royal réside dans le travail que nous avons fait sur nous-mêmes, en recherchant les causes de l’échec de la gauche mais aussi de la droite dans la conduite des politiques économiques et sociales menées depuis 20 ans », déclare-t-il.

    « Finalement, la première rupture que nous portons dans ce projet, c’est une rupture avec nos propres erreurs », ajoute François Fillon. « Le PS, qui a vu son candidat éliminé au premier tour de l’élection présidentielle de 2002, aurait dû faire le même travail. »



  • JBL 2 mai 2007 12:12

    Juste une question !

    Si nous voulons rester objectifs ne pensez-vous pas qu’il est aisé de « bourrer » le stade Charlety lorsque s’y produit une pléiade de vedettes de la chanson ?

    Sans la présence de Madame ROYAL, il est probable que la foule serait encore venue plus nombreuse.



  • JBL 2 mai 2007 11:27

    ELEVONS LE DEBAT !

    Halte aux commentaires fielleux et haineux tellement, tellement éloignés d’une France fraternelle, apaisée et et tolérante.

    Après Hervé MORIN, Jean ARTHUIS vote Nicolas SARKOSY, voici un extrait de cet entretien : « Pourquoi je vote Sarkozy ? »

    LE FIGARO : Propos recueillis par Philippe Goulliaud. Publié sur Internet le 2 mai 2007

    Jean Arthuis : Ancien ministre de l’Économie, le sénateur UDF serait « étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal ».

    Sans commentaires !

    Qu’avez-vous pensé du débat Royal-Bayrou ?

    Il a montré qu’on peut dialoguer sans faux-semblant, sans chercher à caricaturer l’autre. Il a souligné des points de convergence sur les institutions, l’impartialité de l’État, la proportionnelle, l’Europe. Mais il a surtout révélé de très profonds désaccords en matière économique, sur les retraites, la durée du temps de travail, la dette publique. A contrario, il a fait apparaître la compatibilité du programme de François Bayrou avec celui de Nicolas Sarkozy. C’est pour cela que je vote Sarkozy.

    N’y a-t-il pas un hiatus entre les élus UDF et François Bayrou qui s’oriente vers un vote contre Nicolas Sarkozy ?

    Je ne le suivrai pas sur cette voie. Il ne faut pas donner l’impression de faire de l’anti-sarkozisme. Son vote lui appartient, mais je serais étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal. Je préférerais qu’il observe une discrétion totale ou choisisse un vote blanc. Pendant la campagne, nous sommes restés à équidistance de Royal et de Sarkozy. Ce n’est pas pour pencher aujourd’hui vers Royal. Son programme, c’est le tout-État, la généralisation des 35 heures, la fuite en avant dans l’endettement. C’est le décrochage de la France sous anesthésie.

    Avez-vous eu un contact avec Nicolas Sarkozy ?

    J’ai eu une conversation téléphonique avec lui la semaine passée. Je lui ai dit que je le soutiendrai, en exerçant mon indépendance et ma vigilance sur le niveau des dépenses publiques et la baisse des impôts. Je lui ai également dit que je souhaitais être partenaire pour la mise en œuvre de la TVA sociale, dont je considère qu’elle est le levier d’une croissance robuste créatrice d’emplois. François Bayrou n’avait pas écarté la TVA sociale, Ségolène Royal la repousse parce qu’elle n’ose pas briser le tabou, Nicolas Sarkozy, lui, est prêt à la mettre en œuvre. Jean Arthuis : Ancien ministre de l’Économie, le sénateur UDF serait « étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal ».

    Qu’avez-vous pensé du débat Royal-Bayrou ?

    Il a montré qu’on peut dialoguer sans faux-semblant, sans chercher à caricaturer l’autre. Il a souligné des points de convergence sur les institutions, l’impartialité de l’État, la proportionnelle, l’Europe. Mais il a surtout révélé de très profonds désaccords en matière économique, sur les retraites, la durée du temps de travail, la dette publique. A contrario, il a fait apparaître la compatibilité du programme de François Bayrou avec celui de Nicolas Sarkozy. C’est pour cela que je vote Sarkozy.

    N’y a-t-il pas un hiatus entre les élus UDF et François Bayrou qui s’oriente vers un vote contre Nicolas Sarkozy ?

    Je ne le suivrai pas sur cette voie. Il ne faut pas donner l’impression de faire de l’anti-sarkozisme. Son vote lui appartient, mais je serais étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal. Je préférerais qu’il observe une discrétion totale ou choisisse un vote blanc. Pendant la campagne, nous sommes restés à équidistance de Royal et de Sarkozy. Ce n’est pas pour pencher aujourd’hui vers Royal. Son programme, c’est le tout-État, la généralisation des 35 heures, la fuite en avant dans l’endettement. C’est le décrochage de la France sous anesthésie.

    Avez-vous eu un contact avec Nicolas Sarkozy ?

    J’ai eu une conversation téléphonique avec lui la semaine passée. Je lui ai dit que je le soutiendrai, en exerçant mon indépendance et ma vigilance sur le niveau des dépenses publiques et la baisse des impôts. Je lui ai également dit que je souhaitais être partenaire pour la mise en œuvre de la TVA sociale, dont je considère qu’elle est le levier d’une croissance robuste créatrice d’emplois. François Bayrou n’avait pas écarté la TVA sociale, Ségolène Royal la repousse parce qu’elle n’ose pas briser le tabou, Nicolas Sarkozy, lui, est prêt à la mettre en œuvre.



  • JBL 1er mai 2007 21:30

    Par Libération.fr avec AFP LIBERATION.FR : mardi 1 mai 2007 AGENCE REUTERS

    Séguéla votera... Sarkozy Le publicitaire a annoncé mardi sur RTL qu’il votera pour le candidat de l’UMP au second tour de la présidentielle, le 6 mai, après avoir voté pour Ségolène Royal au premier tour, le 22 avril.

    « Je vais voter Sarkozy », a déclaré mardi sur RTL Jacques Séguéla qui avait notamment réalisé la campagne publicitaire présidentielle de François Mitterrand puis celle de Lionel Jospin. Il a précisé qu’il avait voté pour la candidate socialiste Ségolène Royal au premier tour le 22 avril. Jacques Séguéla justifie sa volte-face par le fait que Nicolas Sarkozy « est le mieux à même de faire le job ».

    « Je pense que le moment est venu de voter non pas pour un parti, mais pour un homme », souligne-t-il. Selon lui, « la France ne peut pas se permettre cinq années de plus d’assistanat ». Assurant qu’il a « le cœur à gauche », il estime que le PS est devenu un « parti de branquignoles ». Par ailleurs, le publicitaire indique qu’il a reçu, en février, un coup de téléphone de Sarkozy. Ce dernier lui indiquait qu’il souhaitait qu’il vienne le rejoindre, ayant besoin que la « société civile » soit avec lui.

    « Je me suis dit que c’était quand même le plus capable de rassembler les Français », conclut Jacques Séguéla, déclarant qu’il ne vote pas Sarkozy, mais qu’il vote « France ».

    Mardi matin à la pointe Corsen près de Brest, le candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy s’est dit « très fier » duralliement du publicitaire. « Il y a beaucoup d’hommes et de femmes de gauche qui se sont ralliés : André Glucksmann, Roger Hanin, Max Gallo, Eric Besson, aujourd’hui Jacques Séguéla », a ajouté le candidat UMP.



  • JBL 1er mai 2007 16:10

    BLABLA TOUJOURS BLABLA ET ANTI SARKO PRIMAIRE

    La réalité est très différente : LE MONDE | 30.04.07 | 15h21 Edition spéciale Internet

    Amertume à l’UDF face à la fuite des députés vers Sarkozy On peut comprendre la déception de ceux qui ont voté pour François BAYROU au premier tour. On peut concevoir leur amertume face au constat de ralliement de l’immense majorité d’élus UDF qui vont voter Nicolas SARKOSY au second tour. Par contre, les insultes et de sentiments haineux proférés sur ce blog et ailleurs n’est pas digne de citoyens se réclamant de l’UDF. En usant de ce moyen ils nuisent à la cause qu’ils prétendent servir.

    Le choix d’une très forte majorité de députés et d’élus UDF n’est pas si surprenant. Ce choix apparaît naturel puisque les idées et le programme proposé par Monsieur BEYROU était sur de nombreux points beaucoup plus proche de celui de Nicolas SARKOSY que de celui de Madame ROYAL.

    D’autre part, comme l’estime Hervé MORIN chef de file des députés UDF, justifiant son choix de voter SARKOSY au second tour : « SEGOLENE ROYAL N’EST PAS A LA HAUTEUR DE LA FONCTION PRESIDENTIELLE ». Au moins cela est net et clair.

    Voilà, parmi d’autres, deux raisons qui expliquent la décision des députés et autres élus UDF.

    François BAYROU n’aurait-il pas fait une erreur de stratégie en « gauchisant » son discours plus que son programme et en décochant ses flèches les plus acérées et les plus empoisonnées à l’encontre de SARKOSY ? Suite au premier tour, il a perturbé le débat en l’engageant en complicité avec Ségolène ROYAL et en suscitant une polémique sciemment calculée autour d’un éventuel débat télévisé. Cela a créé la confusion. Cela permet de confisquer la confrontation des projets et des idées.

    Finalement ce débat n’a rien apporté de nouveau. Tout juste aura-t-il permis à François BAYROU de perdurer dans l’espace médiatique et donner à Madame ROYAL une opportunité d’accuser SARKOSY de faire pression sur la presse et de créer ainsi une nouvelle polémique. Cela ne la grandit pas. Pourquoi recourir à des arguments qui ne reposent que sur « ses propres certitudes » non étayées de preuves ? N’est-ce pas ridicule, comme l’a fait Madame ROYAL, de maintenir ses accusations malgré les explications et le démenti apporté par la Presse Quotidienne Régionale et son Président Michel COMBOUL ?

    Au cours de cette campagne et notamment avec l’entrée d’Internet et des blogs dans le débat le candidat de la droite n’a pas été épargné. Jamais autant de calomnies, de procès d’intention et d’accusations souvent mensongères n’ont été proférés à l’encontre d’un candidat. Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose..

    François >BAYROU dénie aux autres candidats le pouvoir de gouverner la France délivrant envers Nicolas SARKOSY un procès d’intention « il serait le président qui risque d’aggraver la crise démocratique et les déchirures du tissu social » et jugeant que les propositions de Ségolène ROYAL « risquent d’aggraver la situation économique ».

    A l’entendre et à lire les commentaires de ses supporters, lui SEUL, avec la création de son futur parti démocrate, serait capable de sauver la France de la catastrophe.

    Jacques ATTALI conseiller écouté de François MITTERAND porte un jugement différent sur le premier tour des présidentielles. Je le cite : « Enfin, les deux candidats du second tour sont l’un et l’autre jeunes, candidats pour la première fois et favorables à une modernisation profonde de la vie démocratique... » Il continue : « Ce premier tour marque la fin de l’hiver politique de la nation, le début d’un printemps français... » Puis enfin : « Deux partis protestataires, (le parti communiste et le Front national), qui ont obscurci si longtemps la vie publique française, en obligeant les uns et les autres à des alliances contre-nature, ont disparu ou sont en voie de disparaître... » Nicolas présente un programme clair qui n’a guère varié depuis sa présentation initiale. Des personnalités de différents horizon politiques et de premier plan dont on ne peut contester la valeur humaniste l’ont rejoint et lui ont apporté son soutien dont l’immense majorité des élus UDF. Cela augure à n’en pas douter une ouverture et dénie les procès d’intention d’un « tout état UMP ».

    Nicolas SARKOSY apparaît capable de faire bouger les lignes et les conservatismes y compris dans son propre camp. Il en a la volonté, le courage et le pragmatisme.

    En d’autres temps, des hommes célèbres tels De Gaulle, Frederik De KLERK et Menahem BEGIN ont subi les mêmes sarcasmes et les même cris d’épouvante au fil des hordes défilant sur le thème « le fascisme ne passera pas ». Chacun sait ce qu’il advint : De Gaulle restaura la République et une réelle démocratie. Quant à DE KLERK et BEGIN leur lucidité, leur pragmatisme et leur courage leur valu un Prix Nobel de la Paix.

    Chacun doit raison garder. Le sérieux, la sérénité, la lucidité, l’honnêteté doivent présider au débat. On doit cesser de diaboliser sans preuve Nicolas SARKOSY et ceux qui le soutiennent.

    Après avoir engagé les réformes dont la France à besoin ainsi qu’il le promet, pourquoi Nicolas SARKOSY ne réussirait-il pas comme il l’a souhaité dans son allocution le soir du premier tour, à « rassembler le peuple français autour d’un nouveau rêve français, celui d’une République fraternelle où chacun trouvera sa place, où personne n’aura plus peur de l’autre, où la diversité sera vécue non comme une menace mais comme une richesse ».

    Alors là pourrait venir le printemps français qui verrait naître d’innombrables fleurs ainsi que le présage Jacques ATTALI. http://blogs.lexpress.fr/attali/ JBL

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