• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de JBL



  • JBL 12 mai 2007 11:08

    ... et de Staline (le petit père des peuples), de Pol Pot, de Kim Jong-il, Pinochet, etc. qui en leur temps prônèrent la fraternité des peuples et un avenir radieux pour l’humanité. Souvenez-vous en !



  • JBL 12 mai 2007 10:53

    Assez de blabla ! Il est venu le temps de passer aux actes.

    Créez votre entreprise, embauchez et rémunérez largement vos salariés, distribuez vos bénéfices aux oeuvres caritatives, employez-vous durant vos congés à soulager les malheureux et les malades abandonnés dans les hôpitaux par leurs familles, secouez vous pour sortir de l’assistanat car certains plus malheureux que vous en ont absolument besoin, donnez de votre temps pour aider ceux qui souffrent plus que vous, etc.

    L’humanisme et la fraternité ne sont ni de droite, ni de gauche.Personne n’en a le monopole.Mais franchement assez de discours moralisateurs. Ce qu’il nous faut, ce sont des actes en prenant soin de les mettre en conformité avec les paroles et les écrits.

    Généralement, les véritables humanistes, j’en connais dans mon entourage, ne passent générelament pas leur temps à faire des discours où l’on sent poindre le parti pris (politique) et sourde un dénigrement systématique.



  • JBL 11 mai 2007 16:50

    Et çà continue ... Procès d’intention à longueur de pages... accusations sans preuve... Avec de tels arguments outranciers et un tel aveuglement on ne va pas tarder à rebâtir le « mur ».

    Ici, au fil des lignes, on construit le mur de la haine et de l’intolérance en le fondant sur la diabolisation et le mensonge.

    C’est écoeurant.



  • JBL 11 mai 2007 15:55

    Un long blabla inutile sinon pour attiser la haine. Une haine transpirant, suintant, coulant pernicieusement au fil de l’article.

    Pourquoi tant de haine ? Pourquoi tant de haine envers la France toute entière et plus précisément les 18.983.138 électrices et électrices qui ont élu Nicolas SARKOSY président de la République ?

    Vous écrivez vouloir suivre SARKOSY sur le chemin de l’espérance. Allons donc, même serait-il capable du meilleur, votre sens critique est probablement tellement borné que vous ne sauriez pas le reconnaître. Cette conclusion n’a sans doute comme but que mieux « l’assassiner » demain.

    Nous connaissons vos discours. En d’autres temps, des extrémistes vous ressemblant ont jeté l’anathème sur des hommes tels que De Gaulle, Frederik De KLERK et Menahem BEGIN qui subirent les mêmes sarcasmes et les même cris d’épouvante au fil des défilés sur le thème « le fascisme ne passera pas ».

    De toute façon cela ne changera pas grand chose : les chiens aboient, la caravane passe... Pauvre France !



  • JBL 10 mai 2007 16:36

    Plutôt que de palabrer sur les malheurs et bonheurs du couple ROYAL/HOLLANDE [Vraiment nul et débile ce débat !!!!] vous gagneriez à réfléchir sur la compétitivité de l’économie de la France placée au 28e rang selon un classement de l’institut suisse IMD, car votre niveau de vie en dépend.

    Source : http://fr.biz.yahoo.com/09052007/202/competitivite-la-france-seulement-28e-selon-un-classement-de-l.html

    GENEVE (AFP) - Plombée par sa fiscalité et ses charges sociales, une faible croissance et sa législation du travail, la France n’émarge qu’à la 28e place du classement de 55 pays du monde pour la compétitivité de son économie, publié jeudi par l’institut suisse IMD.

    S’il regagne deux places par rapport au classement 2006, l’Hexagone se retrouve derrière la plupart de ses voisins européens et juste après l’Inde, selon ce classement établi sur la base de 323 critères variés (dont un tiers à partir d’une étude d’opinion auprès de chefs d’entreprises français et étrangers).

    La faible croissance française de l’an dernier n’a pas aidé : le pays se retrouve ainsi à la 53e place du classement, et son taux de chômage lui vaut la 43e place.

    « Pour la première fois depuis que nous faisons ce classement, aucun pays n’a été en récession l’an dernier et la moyenne des 55 pays dépasse 5% », observe Stéphane Garelli, principal auteur du rapport. « Or la France est dans le peloton de queue », derrière des pays européens comme la Suède (4,4%) ou la Finlande (5,5%).

    Si les Français ne s’en sortent pas trop mal pour leurs infrastructures (18e rang) et la performance économique (19e), ils tombent en revanche à la 42e place tant pour l’efficacité des entreprises que pour celle de l’Etat.

    En cause : la politique budgétaire, pour laquelle Paris arrive dernier de la liste (55e), comme pour le niveau des cotisations sociales des entrepreneurs. Les Français sont derniers également pour le nombre d’heures travaillées par an et pour « la flexibilité et l’adaptabilité des gens confrontés à de nouveaux défis ».

    Les relations du travail sont à peine mieux notées (53e), de même que l’attitude générale face à la mondialisation (54e).

    « C’est ainsi que la France est perçue par les chefs d’entreprise », relève M. Garelli. « A entendre le nouveau président, je ne suis pas sûr que ce soit totalement faux », ajoute-t-il, en référence aux attaques de Nicolas Sarkozy contre l’Organisation mondiale du commerce (OMC) durant sa campagne.

    A la question de savoir si les indemnités incitent les chômeurs à chercher du travail, la France est 53e, de même que pour la compréhension de la nécessité des réformes économiques et sociales.

    Mauvaise note aussi en langues étrangères (45e), en économie (41e). La France se classe 20e pour son système éducatif.

    Elle est sauvée par les flux d’investissement à l’étranger (1ère) et les entrées d’investissements (3e).

    Voyons... un peu de sérieux s’il vous plaît et évidemment si vous en êtes capables !



  • JBL 7 mai 2007 17:52

    Arrêtez vos âneries ! François BAYROU contre lequel je ne nourris aucun rejet, ni aucune animosité particulière, n’a pas été élu Président de la République.

    Une large majorité d’électrices et d’électeurs ont choisi Nicolas SARKOSY et le projet qu’il leur a proposé.

    Ce résultat a été obtenu alors qu’on l’avait diabolisé à outrance, que son adversaire a joué sur la peur des braves gens en annonçant une France en révolution et que François BAYROU lui avait décoché ses flèches les plus acérées, voire les plus empoisonnées.

    Pour certains d’entre-vous François BAYROU serait l’homme providentiel. Seul, il peut sauver la France de la pire des catastrophes.

    Mais, il y a un MAIS, 18.983.383 citoyens ne l’ont pas choisi et ont voté SARKOSY. Seraient-ils tous des demeurés ou des fachos ?

    De grâce arrêtez vos âneries !



  • JBL 3 mai 2007 23:00

    La France se doit de relever plusieurs défis et s’adapter, en ce début de siècle, si elle veut conserver sa place dans un monde qui bouge. Ce n’est pas en s’atermoyant qu’elle s’adaptera aux exigences de la mondialisation.

    Nous devons tous prendre conscience du défi à relever. Chacun dans le domaine qui le concerne se devrait de réagir à son niveau. Que puis-je apporter pour favoriser cette adaptation sur le plan humain, social, économique, écologique, enseignement, etc. Si nous possédons des droits nous avons aussi des devoirs. N’attendons pas tout de la politique.

    Certes, dans le domaine de l’Etat, la politique a son rôle à jouer. Trop de secteurs sont très largement endormis et n’ont pas accompli leur mutation. L’administration et les services publics sont comme paralysés par une bureaucratie omnipotente, « superposée » : Etat, Région, Départements, Cantons, etc. trop souvent inefficace et extrêmement onéreuse. Les impôts sont archaïques. La dette est colossale et ne cesse de s’amplifier. Notre système de retraite est injuste avec les « régimes spéciaux ». Les avantages liés à ces régimes se cumulant avec la sécurité de l’emploi créent une disparité intolérable entre les différentes catégories de salariés. L’Education Nationale, malgré un coût prohibitif en augmentation du coût de 40 % en quinze ans [hors inflation] faillit à sa fonction éducatrice et de formatrice de notre jeunesse. cf. : http://www.creer-son-ecole.com/index.php?page=12.

    Voici, parmi bien d’autres tels la sécurité intérieure, la prise en compte des problèmes écologiques et la politique étrangère et notre rôle à jouer pour aider au développement de l’Afrique et ainsi favoriser l’enracinement sur place de ses populations, les tâches de modernisation et d’adaptation qui attendent l’élu du 6 juin. La tache est immense et le temps presse si nous souhaitons rester parmi les nations qui comptent sur cette planète terre et assurer le devenir de nos enfants et petits enfants.

    Malgré tous les satisfécits entendus au cours de la journée le méga-débat m’a plutôt déçu. Je crains très sincèrement qu’il n’ait pas apporté pas de vraies réponses aux vrais problèmes posés à la France. .

    Certes Nicolas SARKOSY plus calme, plus précis, plus clair respectueux du débat et du temps de parole a décliné son programme que la plupart des français connaissaient déjà. Juste, quelques erreurs au sujet des réacteurs nucléaires [concept de 3ème génération et non 4ème] et la part de l’électricité nucléaire produite en France près de 80 % au lieu de 50 % pourcentage cité. Il est vrai que Madame ROYAL a annoncé 17 %. Il est vrai qu’Eric BESSON dans son livre, se dit atterré par sa méconnaissance sur les grands équilibres énergétiques et l’importance du nucléaire. En somme pour en terminer avec Nicolas SQARKOSY, il m’est apparu égal à lui-même, à l’aise dans ses idées, peut être même trop calme, pas assez percutant, pas assez « les yeux dans les yeux ».

    Quant à Ségolène ROYAL, elle aurait gagné à parler clairement de son projet, des actions et des moyens à mettre en œuvre pour l’appliquer. Je crois qu’elle a surtout embrouillé le débat. Il ne suffit qu’un débat soit animé pour qu’il soit bon. Sans doute dans le but d’énerver son concurrent, d’emblée elle a passé à l’attaque sans trop tenir compte des questions posées par POIVRE D’ARVOR ET Arlette CHABOT. A mes yeux, cette tactique ne s’est pas vraiment avérée payante.

    Le plus important, le plus décevant n’est-il pas, qu’elle soit restée trop dans le flou et l’imprécision au sujet de son projet. L’incantation ne suffit pas. Je crains qu’elle ait aggravé le sentiment qu’on lui attribue, soit ne pas posséder la carrure d’une future présidente.

    Hélas ! Certains projets annoncés au pied levé n’ont pas crédibilisé son discours. C’est notamment l’histoire concernant les postes de fonctionnaires créés pour protéger ceux qui protègent... avec ce projet, c’est sûr, le chômage devrait rapidement régresser. Est-ce que cette manière d’instrumenter le viol d’une femme policière apparaît sérieuse ?

    La taxe sur les bénéfices boursiers sans en annoncer ni l’assiette, ni le taux.

    La suspension du projet EPR à Flamanville réacteur de nouvelle génération sans qu’il n’y ait eu semble-t-il un réel débat et un consensus à ce sujet.

    Le fait de passer outre la constitution pour aller s’ingérer dans les affaires des collectivités territoriales, [article 72 de la constitution] et nier ou méconnaître notre modèle de sécurité sociale.

    Enfin, cette colère, qui pourrait s’avérer être une feinte, et surtout ce mépris à l’adresse de son interlocuteur, au sujet du plan Handiscol. Après coup, ce coup de colère tremolo n’apparait pas à son avantage lorsque l’on constate que ce plan n’a pas été abrogé mais complété. http://209.85.135.104/search?q=cache:VqjrIkzNXfQJ:www.education.gouv.fr/cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html+handiscol&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=fr)

    Par contre, je crois qu’en reconnaissant le mérite du principe des Pôles de compétitivité et qu’il fallait rapprocher Universités et entreprises avec l’appui des collectivités, j’y ajouterai des chambres consulaires, elle a avancé dans la bonne direction. C’est un point semble-t-il sur lequel Nicolas SARKOSY semble également d’accord.

    Au final, ce débat tant attendu, très regardé, n’aura pas vraiment changé la donne. Seuls, les indécis l’ayant attendu pour prendre leur décision ont eu le choix entre une Ségolène ROYAL assez crispée se noyant dans les généralités, parfois agressive, floue dans ses propositions dont certaines prêtent même à sourire et un Nicolas SARKOSY à l’aise dans ses idées, fixé sur son objectif ne mégotant même pas sur son temps de parole.

    Les joutes vont se terminer, le verdict est proche, le plus difficile est à venir !



  • JBL 3 mai 2007 22:57

    La France se doit de relever plusieurs défis et s’adapter, en ce début de siècle, si elle veut conserver sa place dans un monde qui bouge. Ce n’est pas en s’atermoyant qu’elle s’adaptera aux exigences de la mondialisation.

    Nous devons tous prendre conscience du défi à relever. Chacun dans le domaine qui le concerne se devrait de réagir à son niveau. Que puis-je apporter pour favoriser cette adaptation sur le plan humain, social, économique, écologique, enseignement, etc. Si nous possédons des droits nous avons aussi des devoirs. N’attendons pas tout de la politique.

    Certes, dans le domaine de l’Etat, la politique a son rôle à jouer. Trop de secteurs sont très largement endormis et n’ont pas accompli leur mutation. L’administration et les services publics sont comme paralysés par une bureaucratie omnipotente, « superposée » : Etat, Région, Départements, Cantons, etc. trop souvent inefficace et extrêmement onéreuse. Les impôts sont archaïques. La dette est colossale et ne cesse de s’amplifier. Notre système de retraite est injuste avec les « régimes spéciaux ». Les avantages liés à ces régimes se cumulant avec la sécurité de l’emploi crée une disparité intolérable entre les différentes catégories de salariés. L’Education Nationale, malgré un coût prohibitif en augmentation du coût de 40 % en quinze ans [hors inflation] faillit à sa fonction éducatrice et de formatrice de notre jeunesse. cf : http://www.creer-son-ecole.com/index.php?page=12.

    Voici, parmi bien d’autres tels la sécurité intérieure, la prise en compte des problèmes écologiques et la politique étrangère et notre rôle à jouer pour aider au développement de l’Afrique et ainsi favoriser l’enracinement sur place de ses populations, les tâches de modernisation et d’adaptation qui attendent l’élu du 6 juin. La tache est immense et le temps presse si nous souhaitons rester parmi les nations qui comptent sur cette planète terre et assurer le devenir de nos enfants et petits enfants.

    Malgré tous les satisfécits entendus au cours de la journée le méga-débat m’a plutôt déçu. Je crains très sincèrement qu’il n’ait pas apporté pas de vraies réponses aux vrais problèmes posés à la France. .

    Certes Nicolas SARKOSY plus calme, plus précis, plus clair respectueux du débat et du temps de parole a décliné son programme que la plupart des français connaissaient déjà. Juste, quelques erreurs au sujet des réacteurs nucléaires [concept de 3ème génération et non 4ème] et la part de l’électricité nucléaire produite en France près de 80 % au lieu de 50 % pourcentage cité. Il est vrai que Madame ROYAL a annoncé 17 %. Il est vrai qu’Eric BESSON dans son livre, se dit atterré par sa méconnaissance sur les grands équilibres énergétiques et l’importance du nucléaire. En somme pour en terminer avec Nicolas SQARKOSY, il m’est apparu égal à lui-même, à l’aise dans ses idées, peut être même trop calme, pas assez percutant, pas assez « les yeux dans les yeux ».

    Quant à Ségolène ROYAL, elle aurait gagné à parler clairement de son projet, des actions et des moyens à mettre en œuvre pour l’appliquer. Je crois qu’elle a surtout embrouillé le débat. Il ne suffit qu’un débat soit animé pour qu’il soit bon. Sans doute dans le but d’énerver son concurrent, d’emblée elle est passée à l’attaque sans trop tenir compte des questions posées par POIVRE D’ARVOR ET Arlette CHABOT. A mes yeux, cette tactique ne s’est pas vraiment avérée payante.

    Le plus important, le plus décevant n’est-il pas, qu’elle soit restée trop dans le flou et l’imprécision au sujet de son projet. L’incantation ne suffit pas. Je crains qu’elle ait aggravé le sentiment qu’on lui attribue, soit ne pas posséder la carrure d’une future présidente.

    Hélas ! certains projets, certaines idées annoncés au pied levé n’ont pas crédibilisé son discours. C’est notamment l’histoire concernant les postes de fonctionnaires créés pour protéger ceux qui protègent... Est-ce que cette manière d’instrumenter le viol d’une femme policière apparaît sérieuse ?

    La taxe sur les bénéfices boursiers sans en annoncer ni l’assiette, ni le taux.

    La suspension du projet EPR à Flamanville réacteur de nouvelle génération sans qu’il n’y ait eu semble-t-il un réel débat et un consensus à ce sujet.

    Le fait de passer outre la constitution pour aller s’ingérer dans les affaires des collectivités territoriales, [article 72 de la constitution] et nier ou méconnaître notre modèle de sécurité sociale.

    Enfin, cette colère, qui pourrait s’avérer être une feinte, et surtout ce mépris à l’adresse de son interlocuteur, au sujet du plan Handiscol. Après coup, ce coup de colère tremolo n’apparaît pas à son avantage lorsque l’on constate que ce plan n’a pas été abrogé mais complété. http://209.85.135.104/search?q=cache:VqjrIkzNXfQJ:www.education.gouv.fr/cid207/la-scolarisation-des-eleves-handicapes.html+handiscol&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=fr)

    Par contre, je crois qu’en reconnaissant le mérite du principe des Pôles de compétitivité et qu’il fallait rapprocher Universités et entreprises avec l’appui des collectivités, j’y ajouterai des chambres consulaires, elle a avancé dans la bonne direction. C’est un point semble-t-il sur lequel Nicolas SARKOSY semble également d’accord.

    Au final, ce débat tant attendu, très regardé, n’aura pas vraiment changé la donne. Seuls, les indécis l’ayant attendu pour prendre leur décision ont eu le choix entre une Ségolène ROYAL assez crispée se noyant dans les généralités, parfois agressive, floue dans ses propositions dont certaines prêtent même à sourire et un Nicolas SARKOSY à l’aise dans ses idées, fixé sur son objectif ne mégotant même pas sur son temps de parole.

    Les joutes vont se terminer, le verdict est proche, le plus difficile est à venir !



  • JBL 3 mai 2007 12:42

    Juste une petite réflexion. Supprimer le 49/3 en fait pourquoi pas ? Mais encore faudrait-il que l’opposition, quelle qu’elle soit, ne se cantonne pas dans une obstruction systématique et trop souvent frisant l’absurdité en déposant des milliers d’amendements, avec beaucoup de temps et de papier gaspillés. Cela n’ayant pour but d’empêcher le vrai débat et ainsi la démocratie de s’exercer. Attention à ne pas retomber dans les affres de la quatrième république avec le régime et la démagogie des partis politiques. Que demande t’on à un Gouvernement sinon de gouverner.



  • JBL 3 mai 2007 11:24

    Juste une question ? Croyez-vous que ce genre de réplique serve la cause que vous défendez ? Est-ce une réponse digne d’être utilisée dans le cours d’un débat que nous aimerions digne et apaisé ? De grâce conservez votre sang froid. Ne cédez pas à un énervement non contrôlé. Mettez plutôt en pratique l’adage utilisé par votre candidate préférée : « AIMONS-NOUS LES UNS AUTRES »



  • JBL 2 mai 2007 19:26

    Fillon promet l’ouverture au centre si Sarkozy est élu Le Monde REUTERS 02.05.07 | 18h44

    Si Nicolas Sarkozy est élu dimanche à la présidence de la République, il devra ouvrir à la fois son gouvernement et sa majorité aux centristes, estime François Fillon, conseiller politique du candidat de l’UMP.

    Les projets de Nicolas Sarkozy et du président de l’UDF, François Bayrou, sont proches, déclare-t-il dans une interview publiée jeudi par La Croix. « Sur le plan économique, c’est une évidence. Philosophiquement aussi. »

    « L’ouverture, il faudra la mettre en oeuvre dans la composition du gouvernement mais aussi dans la composition de la majorité présidentielle au moment des élections législatives », ajoute celui qui semble aujourd’hui le mieux placé pour devenir le Premier ministre de Nicolas Sarkozy.

    Au moins les trois quarts des députés et deux tiers des sénateurs de l’UDF ont fait savoir qu’ils soutiendraient le candidat de l’UMP au second tour de l’élection présidentielle.

    Ces élus « auront toute leur place dans la majorité présidentielle », souligne François Fillon. « Ils auront donc le soutien du président de la République dans leur bataille législative », le mois prochain.

    Pour François Fillon, venu de la frange sociale du gaullisme, Nicolas Sarkozy devra également, s’il est élu, inclure dans le programme législatif de la future majorité présidentielle « un certain nombre de propositions défendues par les centristes » pendant la campagne électorale.

    « Par ailleurs, si cette élection a montré la pertinence d’un grand parti de droite et du centre, elle aura montré aussi qu’il y a une place aux franges de l’UMP pour l’expression d’une formation centriste autonome », ajoute l’ancien ministre. « Il faudra en tirer les conséquences. »

    Il estime en revanche que la place de François Bayrou, arrivé troisième au premier tour de la présidentielle, « ne va pas de soi, à moins qu’il réfléchisse ».

    « S’il a pu faire le chemin le conduisant à tenir des propos d’une violence inouïe contre Nicolas Sarkozy, pourquoi ne ferait-il pas le chemin inverse ? » demande François Fillon.

    Il revient par ailleurs sur la volonté de « rupture » politique que le candidat de l’UMP entend incarner.

    « La vraie différence avec le projet (de la candidate socialiste) Ségolène Royal réside dans le travail que nous avons fait sur nous-mêmes, en recherchant les causes de l’échec de la gauche mais aussi de la droite dans la conduite des politiques économiques et sociales menées depuis 20 ans », déclare-t-il.

    « Finalement, la première rupture que nous portons dans ce projet, c’est une rupture avec nos propres erreurs », ajoute François Fillon. « Le PS, qui a vu son candidat éliminé au premier tour de l’élection présidentielle de 2002, aurait dû faire le même travail. »



  • JBL 2 mai 2007 12:12

    Juste une question !

    Si nous voulons rester objectifs ne pensez-vous pas qu’il est aisé de « bourrer » le stade Charlety lorsque s’y produit une pléiade de vedettes de la chanson ?

    Sans la présence de Madame ROYAL, il est probable que la foule serait encore venue plus nombreuse.



  • JBL 2 mai 2007 11:27

    ELEVONS LE DEBAT !

    Halte aux commentaires fielleux et haineux tellement, tellement éloignés d’une France fraternelle, apaisée et et tolérante.

    Après Hervé MORIN, Jean ARTHUIS vote Nicolas SARKOSY, voici un extrait de cet entretien : « Pourquoi je vote Sarkozy ? »

    LE FIGARO : Propos recueillis par Philippe Goulliaud. Publié sur Internet le 2 mai 2007

    Jean Arthuis : Ancien ministre de l’Économie, le sénateur UDF serait « étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal ».

    Sans commentaires !

    Qu’avez-vous pensé du débat Royal-Bayrou ?

    Il a montré qu’on peut dialoguer sans faux-semblant, sans chercher à caricaturer l’autre. Il a souligné des points de convergence sur les institutions, l’impartialité de l’État, la proportionnelle, l’Europe. Mais il a surtout révélé de très profonds désaccords en matière économique, sur les retraites, la durée du temps de travail, la dette publique. A contrario, il a fait apparaître la compatibilité du programme de François Bayrou avec celui de Nicolas Sarkozy. C’est pour cela que je vote Sarkozy.

    N’y a-t-il pas un hiatus entre les élus UDF et François Bayrou qui s’oriente vers un vote contre Nicolas Sarkozy ?

    Je ne le suivrai pas sur cette voie. Il ne faut pas donner l’impression de faire de l’anti-sarkozisme. Son vote lui appartient, mais je serais étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal. Je préférerais qu’il observe une discrétion totale ou choisisse un vote blanc. Pendant la campagne, nous sommes restés à équidistance de Royal et de Sarkozy. Ce n’est pas pour pencher aujourd’hui vers Royal. Son programme, c’est le tout-État, la généralisation des 35 heures, la fuite en avant dans l’endettement. C’est le décrochage de la France sous anesthésie.

    Avez-vous eu un contact avec Nicolas Sarkozy ?

    J’ai eu une conversation téléphonique avec lui la semaine passée. Je lui ai dit que je le soutiendrai, en exerçant mon indépendance et ma vigilance sur le niveau des dépenses publiques et la baisse des impôts. Je lui ai également dit que je souhaitais être partenaire pour la mise en œuvre de la TVA sociale, dont je considère qu’elle est le levier d’une croissance robuste créatrice d’emplois. François Bayrou n’avait pas écarté la TVA sociale, Ségolène Royal la repousse parce qu’elle n’ose pas briser le tabou, Nicolas Sarkozy, lui, est prêt à la mettre en œuvre. Jean Arthuis : Ancien ministre de l’Économie, le sénateur UDF serait « étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal ».

    Qu’avez-vous pensé du débat Royal-Bayrou ?

    Il a montré qu’on peut dialoguer sans faux-semblant, sans chercher à caricaturer l’autre. Il a souligné des points de convergence sur les institutions, l’impartialité de l’État, la proportionnelle, l’Europe. Mais il a surtout révélé de très profonds désaccords en matière économique, sur les retraites, la durée du temps de travail, la dette publique. A contrario, il a fait apparaître la compatibilité du programme de François Bayrou avec celui de Nicolas Sarkozy. C’est pour cela que je vote Sarkozy.

    N’y a-t-il pas un hiatus entre les élus UDF et François Bayrou qui s’oriente vers un vote contre Nicolas Sarkozy ?

    Je ne le suivrai pas sur cette voie. Il ne faut pas donner l’impression de faire de l’anti-sarkozisme. Son vote lui appartient, mais je serais étonné et choqué que François Bayrou fasse le choix de Ségolène Royal. Je préférerais qu’il observe une discrétion totale ou choisisse un vote blanc. Pendant la campagne, nous sommes restés à équidistance de Royal et de Sarkozy. Ce n’est pas pour pencher aujourd’hui vers Royal. Son programme, c’est le tout-État, la généralisation des 35 heures, la fuite en avant dans l’endettement. C’est le décrochage de la France sous anesthésie.

    Avez-vous eu un contact avec Nicolas Sarkozy ?

    J’ai eu une conversation téléphonique avec lui la semaine passée. Je lui ai dit que je le soutiendrai, en exerçant mon indépendance et ma vigilance sur le niveau des dépenses publiques et la baisse des impôts. Je lui ai également dit que je souhaitais être partenaire pour la mise en œuvre de la TVA sociale, dont je considère qu’elle est le levier d’une croissance robuste créatrice d’emplois. François Bayrou n’avait pas écarté la TVA sociale, Ségolène Royal la repousse parce qu’elle n’ose pas briser le tabou, Nicolas Sarkozy, lui, est prêt à la mettre en œuvre.



  • JBL 1er mai 2007 21:30

    Par Libération.fr avec AFP LIBERATION.FR : mardi 1 mai 2007 AGENCE REUTERS

    Séguéla votera... Sarkozy Le publicitaire a annoncé mardi sur RTL qu’il votera pour le candidat de l’UMP au second tour de la présidentielle, le 6 mai, après avoir voté pour Ségolène Royal au premier tour, le 22 avril.

    « Je vais voter Sarkozy », a déclaré mardi sur RTL Jacques Séguéla qui avait notamment réalisé la campagne publicitaire présidentielle de François Mitterrand puis celle de Lionel Jospin. Il a précisé qu’il avait voté pour la candidate socialiste Ségolène Royal au premier tour le 22 avril. Jacques Séguéla justifie sa volte-face par le fait que Nicolas Sarkozy « est le mieux à même de faire le job ».

    « Je pense que le moment est venu de voter non pas pour un parti, mais pour un homme », souligne-t-il. Selon lui, « la France ne peut pas se permettre cinq années de plus d’assistanat ». Assurant qu’il a « le cœur à gauche », il estime que le PS est devenu un « parti de branquignoles ». Par ailleurs, le publicitaire indique qu’il a reçu, en février, un coup de téléphone de Sarkozy. Ce dernier lui indiquait qu’il souhaitait qu’il vienne le rejoindre, ayant besoin que la « société civile » soit avec lui.

    « Je me suis dit que c’était quand même le plus capable de rassembler les Français », conclut Jacques Séguéla, déclarant qu’il ne vote pas Sarkozy, mais qu’il vote « France ».

    Mardi matin à la pointe Corsen près de Brest, le candidat à la présidentielle Nicolas Sarkozy s’est dit « très fier » duralliement du publicitaire. « Il y a beaucoup d’hommes et de femmes de gauche qui se sont ralliés : André Glucksmann, Roger Hanin, Max Gallo, Eric Besson, aujourd’hui Jacques Séguéla », a ajouté le candidat UMP.



  • JBL 1er mai 2007 16:10

    BLABLA TOUJOURS BLABLA ET ANTI SARKO PRIMAIRE

    La réalité est très différente : LE MONDE | 30.04.07 | 15h21 Edition spéciale Internet

    Amertume à l’UDF face à la fuite des députés vers Sarkozy On peut comprendre la déception de ceux qui ont voté pour François BAYROU au premier tour. On peut concevoir leur amertume face au constat de ralliement de l’immense majorité d’élus UDF qui vont voter Nicolas SARKOSY au second tour. Par contre, les insultes et de sentiments haineux proférés sur ce blog et ailleurs n’est pas digne de citoyens se réclamant de l’UDF. En usant de ce moyen ils nuisent à la cause qu’ils prétendent servir.

    Le choix d’une très forte majorité de députés et d’élus UDF n’est pas si surprenant. Ce choix apparaît naturel puisque les idées et le programme proposé par Monsieur BEYROU était sur de nombreux points beaucoup plus proche de celui de Nicolas SARKOSY que de celui de Madame ROYAL.

    D’autre part, comme l’estime Hervé MORIN chef de file des députés UDF, justifiant son choix de voter SARKOSY au second tour : « SEGOLENE ROYAL N’EST PAS A LA HAUTEUR DE LA FONCTION PRESIDENTIELLE ». Au moins cela est net et clair.

    Voilà, parmi d’autres, deux raisons qui expliquent la décision des députés et autres élus UDF.

    François BAYROU n’aurait-il pas fait une erreur de stratégie en « gauchisant » son discours plus que son programme et en décochant ses flèches les plus acérées et les plus empoisonnées à l’encontre de SARKOSY ? Suite au premier tour, il a perturbé le débat en l’engageant en complicité avec Ségolène ROYAL et en suscitant une polémique sciemment calculée autour d’un éventuel débat télévisé. Cela a créé la confusion. Cela permet de confisquer la confrontation des projets et des idées.

    Finalement ce débat n’a rien apporté de nouveau. Tout juste aura-t-il permis à François BAYROU de perdurer dans l’espace médiatique et donner à Madame ROYAL une opportunité d’accuser SARKOSY de faire pression sur la presse et de créer ainsi une nouvelle polémique. Cela ne la grandit pas. Pourquoi recourir à des arguments qui ne reposent que sur « ses propres certitudes » non étayées de preuves ? N’est-ce pas ridicule, comme l’a fait Madame ROYAL, de maintenir ses accusations malgré les explications et le démenti apporté par la Presse Quotidienne Régionale et son Président Michel COMBOUL ?

    Au cours de cette campagne et notamment avec l’entrée d’Internet et des blogs dans le débat le candidat de la droite n’a pas été épargné. Jamais autant de calomnies, de procès d’intention et d’accusations souvent mensongères n’ont été proférés à l’encontre d’un candidat. Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose..

    François >BAYROU dénie aux autres candidats le pouvoir de gouverner la France délivrant envers Nicolas SARKOSY un procès d’intention « il serait le président qui risque d’aggraver la crise démocratique et les déchirures du tissu social » et jugeant que les propositions de Ségolène ROYAL « risquent d’aggraver la situation économique ».

    A l’entendre et à lire les commentaires de ses supporters, lui SEUL, avec la création de son futur parti démocrate, serait capable de sauver la France de la catastrophe.

    Jacques ATTALI conseiller écouté de François MITTERAND porte un jugement différent sur le premier tour des présidentielles. Je le cite : « Enfin, les deux candidats du second tour sont l’un et l’autre jeunes, candidats pour la première fois et favorables à une modernisation profonde de la vie démocratique... » Il continue : « Ce premier tour marque la fin de l’hiver politique de la nation, le début d’un printemps français... » Puis enfin : « Deux partis protestataires, (le parti communiste et le Front national), qui ont obscurci si longtemps la vie publique française, en obligeant les uns et les autres à des alliances contre-nature, ont disparu ou sont en voie de disparaître... » Nicolas présente un programme clair qui n’a guère varié depuis sa présentation initiale. Des personnalités de différents horizon politiques et de premier plan dont on ne peut contester la valeur humaniste l’ont rejoint et lui ont apporté son soutien dont l’immense majorité des élus UDF. Cela augure à n’en pas douter une ouverture et dénie les procès d’intention d’un « tout état UMP ».

    Nicolas SARKOSY apparaît capable de faire bouger les lignes et les conservatismes y compris dans son propre camp. Il en a la volonté, le courage et le pragmatisme.

    En d’autres temps, des hommes célèbres tels De Gaulle, Frederik De KLERK et Menahem BEGIN ont subi les mêmes sarcasmes et les même cris d’épouvante au fil des hordes défilant sur le thème « le fascisme ne passera pas ». Chacun sait ce qu’il advint : De Gaulle restaura la République et une réelle démocratie. Quant à DE KLERK et BEGIN leur lucidité, leur pragmatisme et leur courage leur valu un Prix Nobel de la Paix.

    Chacun doit raison garder. Le sérieux, la sérénité, la lucidité, l’honnêteté doivent présider au débat. On doit cesser de diaboliser sans preuve Nicolas SARKOSY et ceux qui le soutiennent.

    Après avoir engagé les réformes dont la France à besoin ainsi qu’il le promet, pourquoi Nicolas SARKOSY ne réussirait-il pas comme il l’a souhaité dans son allocution le soir du premier tour, à « rassembler le peuple français autour d’un nouveau rêve français, celui d’une République fraternelle où chacun trouvera sa place, où personne n’aura plus peur de l’autre, où la diversité sera vécue non comme une menace mais comme une richesse ».

    Alors là pourrait venir le printemps français qui verrait naître d’innombrables fleurs ainsi que le présage Jacques ATTALI. http://blogs.lexpress.fr/attali/ JBL



  • JBL 30 avril 2007 18:17

    Bravo AgoraVox. Tout ce qui apporte de l’eau au moulin de Madame ROYAL est publié. Par contre si vous reproduisez les propos d’Hervé MORIN publiés dans un grand quotidien régional votre article est amputé car cela sert l’adversaire Nicolas SARKOSY. C’est cela la démocratie à la mode Agoravox.



  • JBL 30 avril 2007 17:41

    Eh bien allons y ! Toujours les mêmes accusations stupides et sans preuves... les sempiternels procès d’intention : eugénisme, fascisme, contrôle des médias, etc... Les socialistes et leurs alliés excellent dans ce genre d’extrémisme.

    Salissez, salissez, il en restera toujours quelque chose semble être devenu leur leitmotiv.

    Malgré les explications données et le démenti formel apporté par le Syndicat de la Presse Quotidienne Régionale qui lui ont été données Madame ROYAL persiste dans son égarement. Non vraiment, comme l’a dit Hervé MORIN chef des députés UDF en justifiant son choix de voter pour Nicolas SARKOSY, :<< ELLE N’EST PAS A LA HAUTEUR DE LA FONCTION PRESIDENTIELLE.

    Finalement tous ces propos excessifs et ces accusations mensongères ridiculisent ceux qui les profèrent. On peut douter qu’ils servent leur candidate.

    En d’autres temps, vous savez au moment où il n’avaient d’autre modèle que l’URSS, ses dictateurs et son socialisme « globalement positif », ils défilaient et criaient déjà : le fascisme ne passera pas à l’adresse de DE GAULLE, de Frederik De KLERCK et Menahem BEGIN. Ces deux derniers furent couronnés d’un Prix Nobel de la PAIX.

    Heureusement que le ridicule ne tue pas !



  • JBL 30 avril 2007 10:57

    Que du négatif dans cet article et dans trop de commentaires ! Imaginons un instant, supposition il est vrai impossible, que De Villiers ait appelé à voter Ségolène ROYAL. A lire ici les commentaires insensés de certains on saurait sûrement lui trouver des qualités qu’il n’a pas. De grâce restez objectifs et cessez d’intenter autant de procès d’intention sans arguments sérieux et sans preuve, voire de proférer autant de calomnies !

    Si, je n’ai pourtant jamais voté De Villiers, je reconnais qu’en Vendée les résultats sont globalement positifs notamment sur le plan du chômage.On ne peut pas en dire autant pour tous les départements administrés par les socialistes.

    Quant à l’aide au développement en Afrique et plus précisément la copération avec le BENIN la Vendée avec De Villiers peut en remontrer à la gauche toujours plus efficace dans ses discours que dans ses actes. cf.http://www.ambafrance-bj.org/article.php3?id_article=435

    Le choix de De Villiers appelant à voter pour Nicolas Sarkosy c’est tout simplement du pragmatisme, comme un très grand nombre de citoyens responsables et lucides, rejoints ce matin par Hervé MORIN chef de file des députés UDF qui dit que « DANS L’INTERET DU PAYS » IL « VOTERA SANS HESITATION NICOLAS SARKOSY » le 6 mai. Il estime que Ségolène ROYAL, je le cite : « N’EST PAS A LA HAUTEUR DE LA FONCTION PRESIDENTIELLE ».



  • JBL 24 avril 2007 17:19

    Est-ce clair ? Ai-je bien compris ?

    « Seuls les gens de gauche peuvent être des humanistes »

    Si cela est une affirmation reprise à votre compte et bien voilà une idée fausse, une affirmation gratuite ou peut être une provocation.

    Non les socialistes n’ont pas le monopole de l’humanisme pas plus que celui du coeur.

    Triste débat très sincèrement çà ne vole pas haut !



  • JBL 24 avril 2007 17:06

    Propos tenus par Nicolas SARKOSY

    J’approuve très volontiers ...

    « POURQUOI TANT DE HAINE ?

    Eh bien je vais vous le dire. :

    * D’abord parce qu’il y a les voyous, les trafiquants, les fraudeurs, les caïds, les bandes qui veulent faire leurs petites affaires tranquillement, qui veulent pouvoir frauder, racketter, trafiquer sans être dérangés. Il y a les casseurs qui veulent pouvoir casser en toute impunité. On n’est pas populaire parmi les voyous quand on veut faire respecter partout les lois de la République.

    * Ensuite, il y a ceux qui refusent obstinément de s’inscrire dans la République laïque, qui ne veulent pas séparer le spirituel du temporel. Chez ceux-là on n’est pas populaire quand on défend la laïcité.

    * Il y a aussi les appareils qui ont des intérêts à défendre, qui se sentent menacés par une défaite électorale et qui sont prêts à tout.

    * Il y a l’extrême-gauche avec son idéologie d’un autre âge, son esprit fermé, son intolérance, ses réflexes conditionnés, qui ne rassemble pas beaucoup de voix, qui est organisée, qui a ses réseaux, qui a son influence.

    * Et puis il y a la gauche qui ne croit plus à la politique, ne croit plus à la nation, ne croit plus à la République, ne croit plus à l’Etat. La gauche qui ne croit plus que la politique puisse changer le monde ni même qu’elle puisse permettre d’atteindre le plein emploi. La gauche qui n’a plus d’autre programme que la défense des droits acquis, des rentes de situation et du statu quo. La gauche qui est dans la politique, dans les médias, dans l’administration, dans l’économie, cette gauche qui a pris goût au pouvoir, aux privilèges, cette gauche qui prétend défendre les services publics mais qui ne prend jamais les transports en commun, cette gauche qui aime tellement l’école publique qu’elle n’y met pas ses enfants, cette gauche qui adore la banlieue mais qui se garde bien d’aller y habiter, cette gauche qui trouve toujours des excuses aux voyous à condition qu’ils restent dans des quartiers où elle ne va jamais, Les Français ne sont pas dupes de tels comportements, de telles pratiques.

    Je ne veux me consacrer qu’à une seule chose : rassembler le peuple français autour d’un nouveau rêve français, celui d’une République fraternelle où chacun trouve sa place, où personne n’a plus peur de l’autre, où la diversité est vécue non comme une menace. »

    JBL