• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

gem

gem

Homme, 40 ans, heureux père et moins heureux mari, fonctionnaire, parisien par nécessité. Libéral dogmatique et dictateur indolent, mutualiste heureux, scientiste matérialiste, pinailleur conceptuel et logique, joueur informatique (JDR, STR), blogueur raté. Dans ma bibliothèque : la Bible, René Girard, Shakespeare, Sun Tsu, Chuang Tzu, Machiavel, Jean-Pierre Petit et Laurent Nottale, entre autres.

Tableau de bord

  • Premier article le 14/09/2006
  • Modérateur depuis le 06/12/2006
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 8 753 545
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • gem gem 20 mars 2007 13:46

    Voilà une réponse d’une mauvaise foi flagrante :

    Bernard Dugué (ni personne d’autre) n’a jamais pensé ni écrit que, en juin 2007 ni après, il n’y aurait plus un seul élu PS et que tous allaient faire une grande « repentance » pour ne pas dire abjuration... Il parlait du PS en tant que PS (peu importe son nom, PS, SFIO, etc.) mais avec un contenu familier et un poid politique majeur.

    Vous répondez à propos d’un PS en tant que machine électorale de contenu idéologique indéterminé, simplement héritier d’une longue histoire (et vous êtes modeste, puisque vous n’avez pas invoquer les http://fr.wikipedia.org/wiki/Gracques ), et de poids politique tout aussi indéterminé (quasiment négligeable comme en 69 ... ou comme l’UDF de 2002 !). Pas très honnète.

    La conclusion qui s’impose, c’est que vous confirmez l’analyse de Dugué : le PS actuel est foutu , contraint à une réforme compléte de son idéologie ou à une perte d’influence majeure...



  • gem gem 20 mars 2007 13:16

    bon article

    ben oui, mais en France savoir se plaindre est véritablement une question de survie, face à un état (et compagnie) prédateur et maternant.

    - si tu te plains il te chérit et te comble de « compensations » et autres câlins.

    - si tu ferme ta gueule tu en prend plein la tienne, question réglementation, taxe, vérifications, etc.

    En fait, un type qui ne se plaint pas est suspect, quasiment déjà délinquant. En plus, c’est un pourri qui cautionne le système et qui n’est même pas solidaire de ceux qui lutte. Un vrai salaud.

    Je me demande même si ça n’est pas une des raison du machisme institutionnel lui aussi typiquement français : qui n’a pas entendu les femmes considérer que se plaindre et se faire plaindre à mauvais escient (très fort pour un rien, rien pour un truc grave) était une spécialité masculine ?



  • gem gem 20 mars 2007 12:22

    @ tregodan (IP:xxx.x22.214.150) le 19 mars 2007 à 13H51

    Tu aurais raison si il y avait d’un coté les consommateurs et de l’autre les trafiquants ; or l’expérience prouve que bien rares sont les consommateurs qui, à leur tour, ne dissémine pas leur vice. L’analogie, c’est plutôt du coté de la médecine qu’il faut la cherché : un consommateur n’est pas une « victime », c’est un malade contagieux, et il est légitime de le rechercher pour le soigner s’il ne se présente pas lui-même.



  • gem gem 20 mars 2007 12:17

    @ tregodan et (IP:xxx.x63.192.187) le 19 mars 2007 à 20H08

    Il ne me semble pas que l’équipe enseignante, personnel de surveillance inclus, est compétente (aussi bien au sens légal qu’au sens technique et qu’au sens symbolique — respect et confiance, comme vous dites) pour procéder aux recherches et aux fouilles que nécessite la répression de trafic de stupéfiants. Donc l’alternative c’est : impunité ou appel aux flics. Votre choix ? Nier le problème et affirmer que la confiance, le respect, le « tout éducatif » etc. suffisent à résoudre le problème ? La réalité vous contredit gravement, car 6 sur 170, c’est beaucoup de jeunes consommateurs...

    Vous manquer de dialectique : répression et éducation, contrôle et confiance, etc. tout cela va par paire et ne peut exister ni dans l’excès ni dans l’absence d’un des termes.

    Le rejet absolu de la repression ne peut qu’avoir pour effet de susciter son grave excès. Le « tout repressif » (assez phantasmatique, reconnaissez-le) est la conséquence nécessaire de l’angélisme, aussi surement que le pacifisme de 1936 est une des causes de la catastrophe de 1939-1945.

    « Totalitarisme » ? contresens, le http://fr.wikipedia.org/wiki/Totalitarisme c’est autre chose que la répression même excessive ou que l’usage du pouvoir à des fins personnels.

    Et puis

    On accuse fréquemment l’école d’être responsable du « manque de repères » des jeunes. Le procès est excessif et injuste, car il dédouane les parents qui ont pourtant la part principale, mais l’école ne peut pas non plus totalement se déclarer vierge et pure et par conséquent injustement agressée par la police ou trahie par des enseignants qui font appel à la police...

    @ ratatouille l’équivalent du « siège social », ce n’est pas une école ordinaire, c’est le ministère ; des descente de police limitée ont déjà eu lieu dans des ministères, sauf erreur (c’estrare, évidemment). Des siège sociaux ont déjà été perquisitionné, certes pas pour y trouvez de la drogue, mais la nature du délit est-elle vraiment importante ?



  • gem gem 19 mars 2007 16:33

    bon article, en tout cas.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv