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Emmanuelle Compagnon

militante politique et chrétienne contrariée
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Tableau de bord

  • Premier article le 28/03/2007
  • Modérateur depuis le 14/05/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Emmanuelle Compagnon 22 mai 2007 11:31

    Erratum de l’erratum :

    lire au septième paragraphe, et non au quatrième.



  • Emmanuelle Compagnon 22 mai 2007 11:29

    Erratum :

    Au quatrième paragraphe deuxième phrase lire :

    « Pour s’en convaincre, il n’est qu’à écouter les diatribes incessantes du mondialo-mondial Ernest-Antoine Sellière qui veut « arrêter d’être franco-français », et donc sans doute aussi d’être français tout court. Les ennemis les plus féroces de la forme nationale ne se trouvent pas forcément où l’on croit. » EC



  • Emmanuelle Compagnon 16 mai 2007 11:36

    Merci de nous permettre de rire de cette nouvelle forme de barbarie douce. Il faut en effet de l’humour, beaucoup d’humour, pour garder son calme quand on se trouve contraint, par la vertu d’un processus que personne ne semble ni contrôler ni vraiment vouloir, à hurler dans le vide virtuel des mots dénués de sens, puis à patienter à ses frais jusqu’au moment où une voix lâchement enjoleuse et sans doute ironique ajoute encore à son exaspération (dont on pensait pourtant qu’elle avait atteint son comble et qu’elle allait enfin pouvoir s’apaiser aux dépens d’une téléconseillère, fût-elle innocente) lorsqu’elle répète, imperméable à nos cris de rage parce qu’astucieusement préenregistrée, qu’aucun conseiller n’est disponible avant la Saint-Glinglin.

    Si ce n’est déjà fait, peut-être pourriez-vous proposer à Benoît Duteurtre l’excellent auteur de Service Clientèle et de Chemins de Fer de venir s’exprimer dans le cadre de votre groupe de discussion.



  • Emmanuelle Compagnon 30 avril 2007 17:06

    Cet article est impressionnant ! Si le pourcentage de vote pour chaque candidat décalque le taux de citation de ces mêmes candidats, on en arrive à former deux hypothèses :

    1) Les jugements de valeur portés par les médias importent peu puisque la répartition des votes reflète parfaitement les citations, et donc d’une certaine façon la notoriété immédiate des candidats. Le vote marque une adhésion contrairement à la rédaction d’un article, mais au final qu’un article parle en bien ou en mal d’un candidat ne change rien, si l’on doit supposer une forme de « corrélation » (qui reste à préciser) entre taux de citations et pourcentage de vote. Si tel est le cas, la stratégie du « tout sauf Sarkozy » s’en trouve mise à mal. Mieux vaudrait l’ignorer pour le battre !

    2) Même si « les médias ne font pas le vote », la question se pose : La liberté d’esprit revendiquée par les électeurs lors de cette campagne ne serait-elle qu’une vue de l’esprit ? On ne peut qu’être frappée par la correspondance du monde virtuel des médias et du monde réel du vote. Voilà une profonde blessure narcissique pour l’individu contemporain si fier de son indépendance à l’égard du matraquage médiatique.

    Trois remarques cependant :

    1) votre analyse ne prend pas en compte les citations dont bénéficient les candidats dans l’audiovisuel. Doit-on supposer que par hypothèse vous supposez qu’il n’y pas de différence sensible de traitement des candidats dans les différents médias, écrits ou parlés ? Il me semble que l’égalité du temps de parole au moment de la campagne officielle d’une part et l’omniprésence des principaux candidats avant cette mème campagne d’autre part devraient donner des résultats sensiblement différents dans l’audiovisuel.

    2) J’ai du mal à comprendre ce que « prévoir sans le savoir » veut dire. Est-ce à dire qu’il faut considérer « les médias » dans leur ensemble comme une sorte de sujet sans conscience, une Pythie qui parle comme malgré elle et n’accède au sens de ses propres paroles que par le truchement d’un collège de statisticiens, dépositaire d’un savoir sacré qui, idéalement, permettrait de connaitre la vérité d’une élection avant même qu’elle n’aie lieu ?

    3)Les médias prétendent décrire et/ou analyser. Or à lire votre excellente analyse vous faites comme si ces dimensions analytiques et descriptives n’importaient pas et que seul comptait l’occurence des noms propres. C’est assez vertigineux !



  • Emmanuelle Compagnon 18 avril 2007 18:16

    Selon Wikipedia :

    "Reductio ad Hitlerum est une expression ironique désignant, sous forme de fausse locution latine, un type de dialectique politique visant à disqualifier un adversaire en le comparant à un personnage honni du passé (typiquement, Adolf Hitler). Cette tactique polémique peut avoir pour effet d’exclure la personne visée du champ politique tout en évitant un débat de fond avec elle. L’expression a été créée dans les années 1950 par l’universitaire Leo Strauss.

    Elle trouve son prolongement sur Usenet et Internet avec la « Loi de Godwin », qui énonce que « plus une discussion sur Usenet dure longtemps, plus la probabilité d’y trouver une comparaison avec les nazis ou avec Hitler s’approche de 1 »."

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