« »Il me paraît évident qu’un pervers narcissique ne peut pas, par définition, reconnaitre la psychananlyse. Cette affirmation pourrait faire l’objet d’un débat auquel il me plairait de participer mais je ne saurais l’initier.
Sous un autre fil, j’avais fait un parallèle entre Freud et Pasteur : je crois pouvoir dire sans me tromper, que Freud et Pasteur étaient deux grands pervers narcissiques, et je ne trouverais pas incongru que le père de la psychanalyse fut lui-même un individu résistant à la psychanalyse. D’ailleurs, le seul psychanalyste qu’il ait jamais reconnu a été lui-même : il s’est « auto-engendré » ce qui est, sauf erreur, une caractéristique commune à la croyance de tous les pervers.« »« J.L.
Eh, oui, il croit »pouvoir dire des choses sans se tomper." Merveilleux. J.L. s’est auto-engendré également. Pour s’autoriser à penser et dire des choses ; un prodige de la civilisation occidentale.
« Bonne nuit Sudiste et reconnaître son erreur c’est un grand pas vers la réflexion. »
Eh bien, vous en êtes loin de cette fameuse « réflexion » ! Car au risque de vous déplaîre, c’est bien vous qui êtes dans l’erreur, et vous refusez de l’admettre ! Vous êtes infoutu de calculer, au choix : un produit en croix ; une proportionnalité, et pour les « anciens », une règle de trois.
J’essaie de vous expliquer. Sur 65 millions de français, il y aurait 8 millions de pauvres. Si nous étions cent millions, combien y aurait-il de millions de pauvres ? Car c’est bien un pourcentage qu’on veut calculer ! (« pour cent ») Règle de trois : 8 millions, c’est pour 65 millions. Pour un million de français, il y aurait 65 fois moins de pauvres, soit 8 divisés par 65 =0,123 million de pauvres. Pour 100 millions, il y en aurait 100 X 0,123 = 12,3. 12,3 millions de pauvres pour cent millions d’habitants. Je récapitule, avant de capituler : (8 : 65) X 100 = 12,3 %
Voilà comment, faute de pouvoir effectuer un disgnostic précis, les français sont devenus les plus gros consommateurs de psychotropes au monde (du moins, à ce qu’on dit.)