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Commentaire de Mélusine ou la Robe de Saphir.

sur #MeToo et les non-dits des violences sexuelles


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Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 18 avril 2020 10:39

Très bon article. Les hommes et les femmes partagent au moins une chose, celle de la crainte du retour, regression dans la matrice matrice maternelle et la planche de salut (comme le phare dans la mère) reste le Phallus. Les femmes en s’identifiant aux hommes et les hommes on sur-investissant le machisme. La violence résulte toujours de la crainte de la fusion (recherchée et en même temps redoutée). Le confinement hélas confronte les couples a une fusion permanente. Les couples réussis alternent l’expir (la mort, la distance, l’individualisation) et l’inspir (la fusion, la tendresse, les câlins,...). Une bonne mère alterne les moments où elle fusionne avec son enfant et le moment où elle retourne dans le lit du père et mari. Et même si l’enfant pleure, à la fois parce qu’il se sent abandonné, seul, exclus, il apprend aussi tous les bienfaits de la solitudes (il se fabrique un doudou, objet transitionnel, départ de ses créations et sublimations futures, sa re-narcissisisation ultérieure, lui aussi aura un jour le phallus comme maman). Sa maman peut être heureuse ailleurs tout en l’aimant toujours. On fait la paix. Hélas, trois fois hélas. la plupart des couples sont incapables d’alterner expir et inspir. Comme les gouvernements d’ailleurs : ils faut toujours croître : patriarcat néo-libéral accroché à son phallus bou« r »sier de peur de retomber dans la fusion mortifère. La faute à maman ? la faute à papa. Un peu des deux...


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