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Accueil du site > Tribune Libre > Le milliardaire ne paye ni la TVA, ni taxe carburant

Le milliardaire ne paye ni la TVA, ni taxe carburant

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Ce n’est plus « on prête aux riches », mais, « on donne aux riches ». Pour leurs yachts, une loi de 2017, (tiens, tiens élection de Macron et suppression de l’ISF), fait que ces ultra-riches, ne payent plus la TVA à 20% s’ils le désirent, et en plus, lorsqu’ils font le plein de carburant, il n’y a pas de taxe dessus, ça leur revient à 1 $ ou euro le litre. L’est pas belle la vie pour ces supers friqués ? Sachant que 40% de la flotte mondiale des yachts se retrouve sur la Côte d’azur chaque été, ce sont des centaines de millions qui passent sous le nez de l’administration fiscale et par extension, sous notre nez à nous. Fi, de la participation financière à la vie du pays puisque des lois toutes faites, bien concoctées pour eux, font que ces propriétaires peuvent, une fois de plus échapper à l’impôt du commun, utiliser nos ports et nos services, et s’en aller sans payer de taxes ; bien sûr en cas de pépin, nos forces de secours en mer interviendront. Gratos !

Merci à Elise Lucet :[i] « Exonération de TVA, carburant à prix cassé… Les ultra-riches ont trouvé le moyen de passer leurs vacances sur l'eau en duty free. Grâce à un contrat de transport, les locataires de yacht peuvent bénéficier d'exonérations fiscales très avantageuses, de plusieurs dizaines de milliers d'euros par semaine, en payant le carburant jusqu'à deux fois moins cher, et en s'exonérant de la TVA. C’est une enquête de CASH Investigation ou Le monde merveilleux des ultra-riches. » Voir lien vidéo joint.

Qui est l’homme à l’origine de ce détournement légal ? Mister Thierry Voisin, président de l’ECPY (Européen Committee for Professional Yachting), qui a permis aux mégariches de « passer des vacances en payant le moins de taxes possible ». Avec l’assentiment de l’administration fiscale qui plus est. Le tout grâce à un « contrat de transport » très avantageux.

Grâce à un contrat de transport : mais qu’est-ce ? Ce qu’il faut savoir c’est que les croisiéristes puisque transporteurs de voyageurs ne payent pas de TVA et ne paye pas de taxes sur le carburant, en plus, ils ne payent pas d’impôts, car sous pavillons de complaisance et sont presque tout le temps domiciliés dans des paradis fiscaux… Ce qu’a donc fait un lobby des yachts c’est de réussir à devenir transporteur et non plus une bande d’amis friqués qui partent en balade. Seule obligation, donner un itinéraire précis de la sortie, avec une seule escale dans un pays étranger, à 99% du temps en Italie. Donc, il y a un exemple dans la vidéo, où un client loueur d’un yatch n’a fait qu’être au port de Cannes, puis, une seule journée, il est allé à San Remo, prit un café sur le port, acheté un paquet de bonbons et s’en est retourné dans son port français, pour un résultat de payer pour toute sa location 0% de taxes. En tout, ce multifriqué a économisé 38.719 E, ce qui correspondrait à un salaire de cadre de 3225E mensuel… Quand on sait que ces bateaux se louent entre 50 et 300 milles la semaine, faites le compte du manque à gagner pour l’état… Et aussi, réalisez combien ils sont pétés de thunes : pour le prix d’une belle maison, c’est une location d’une semaine d’un de ces bâtiments de luxe, avé l’équipage, mais sans le carburant. Parlant équipage : Sachez que les propriétaires de ces bateaux ne payent ni cotisation, ni sécu, ni retraite, ni chômage sur les salaires de l’équipage, car bien souvent le navire est enregistré sous pavillon de complaisance, où on se torche avec les droits sociaux.

Environnement : tranquillos, le capitaine du Royal Falcon one, nous annonce une consommation de 2000 litres de carburant par heure… Ça ferait au prix normal du 4000 euros de l’heure à toute vitesse. La location 210 mille par mois dit la journaliste ? Non, non ! La semaine ! Bien souvent, ce sont des écolos fervents, qui de leur fondation (coucou Bill Gates), nous donnent des leçons, et crachent sur les pauvres qui polluent pour aller travailler dans leur Clio diesel qui consomme moins en un an que leur yatch en une heure. Mais bon, comme on dit en Amérique « money talks ! », l’argent parle… Et toi le pauvre boucle là et paye plein pot. Dire que certains sont encore à croire au ruissellement des riches… D’ailleurs toujours les ultra-riches ; lorsqu’ils arrivent en France au Bourget avec leur jet privé, ils ne payent pas les taxes sur le carburant ni la TVA, à partir du moment où ils passent par un autre pays, en fait le yachtsman a copié la loi navion… Moralité, déplacez-vous en jet, vivez sur un yacht et baignez-vous dans des baignoires pleines de caviar « Almas », (Almas signifiant Diamant en russe), caviar blanc iranien issu du Beluga albinos. 

Pour terminer, je vais citer un homme dont j’ai toujours admiré l’éthique, car né avec une cuillère d’argent dans la bouche et qui durant toute sa vie n’eut de cesse que d’acter pour les plus démunis. Theodore Roosevelt, qui s’est attaqué aux milliardaires de son temps, les JP Morgan, Rockefeller et Carnegie. Aucune chance de nos jours qu’aucun président ne s’attaque aux Gates, Soros, Bilderberg et autres malfaisants du G7 et du forum mondial.

« Je m’amuse de la folie à courte vue des hommes très riches, et je suis profondément inquiet de découvrir qu’une grande partie d’entre eux soutiennent ce qui est fondamentalement corrompu et malhonnête. »[ii] Thank you Mister président d’avoir si bien compris ce qu’étaient ces riches et ce qu’ils ont malheureusement continué d’être.

Georges ZETER/avril 2024

VIDEO : Leurs vacances en yacht détaxées en toute légalité | CASH Investigation


[ii] Impossible de retrouver cette citation sur internet, elle est tirée du documentaire de la série en 2 épisodes Theodore Roosevelt » https://monstream.ing/series-t/documentaire-s/18751-theodore-roosevelt/1-saison/2-episode.html


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43 réactions à cet article    


  • Brutus Brutus 22 avril 16:09

    Bah quoi ? C’est simple, il faut faire comme Patrick Drahi qui est de nationalités marocaine, Française, israélienne, portugaise et christophienne, domicilié à Genève.

    Il est le seul propriétaire de la holding Next Limited Partnership, immatriculée à Guernesey, laquelle est l’actionnaire majoritaire d’Altice et d’un enchaînement de filiales situées pour certaines dans des pays connus pour être des paradis fiscaux comme le Luxembourg, la Suisse (qui lui cherche des poux dans la tête), ou le Panama, mais aussi de deux entreprises, Forever et Angelheart, domiciliées dans le paradis fiscal de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, grâce à un montage permettant de transmettre la propriété de ses œuvres d’art à ses enfants, et d’échapper à la taxation des plus-values estimées entre 50 et 75M€, ainsi qu’aux impôts sur les donations à venir qui sont planifiées à hauteur de 300 M€ par an.


    (lien)


    • titi titi 22 avril 23:27

      @Brutus

      " il faut faire comme Patrick Drahi

      "

      Les dettes de Patrick Drahi et de son groupe sont évaluées à un peu plus de 20 milliards

      Pas vraiment un modèle à suivre.


    • Brutus Brutus 23 avril 08:41

      @titi

      ah ben mince
      merci de me prévenir
      je vais prendre modèle sur Arnaud et Bettencout, alors...

      et Bolloré, vous pensez que c’est un modèle à suivre ou pas ?


    • titi titi 23 avril 10:38

      @Brutus

      "vous pensez que c’est un modèle à suivre ou pas ?

      "
      Le secteur du luxe exporte plus que l’ensemble du secteur agricole francais.
      Donc oui, ce sont des exemples à suivre.


    • Pierrot 23 avril 10:42

      @titi
      Si l’on veut parler sérieusement de richesse et de pouvoir, il faut abandonner nos réflexes de pauvres qui consistent à opposer la dette et l’argent, et considérer la véritable nature de ces derniers et l’usage qu’on en fait en pratique lorsqu’on en a beaucoup.

      À la base, la monnaie est fabriquée ex-nihilo (ou presque) par le système bancaire, et ne doit son existence qu’à la confiance en des dettes qui lui confèrent de la valeur. La richesse et le pouvoir qui en découle reposent donc en fait essentiellement sur des principes moraux, des croyances et des sentiments (espoir et craintes).

      Par ailleurs, l’argent censément « à soi » et celui censément « dû » ne diffèrent que par les conventions qui régissent leur possession. Le seul point important c’est que l’un comme l’autre constitue, pour celui qui l’utilise, un moyen de s’accaparer ou de contrôler les ressources d’autrui.

      Ainsi, tant que la situation n’exige pas qu’elle soit totalement remboursée, cette dette de 20 milliards participe au pouvoir de l’intéressé sur le monde au même titre que de l’argent frais.

      S’il en était autrement, il faudrait admettre que la fortune dont on parle est globalement très négative et que le multimilliardaire qui la possède est encore plus pauvre que les populations les plus misérables de la planète... ce qui ne paraît pas compatible avec le train de vie qu’il mène ni avec son influence économique, politique et médiatique.

      On peut considérer que son modèle n’est pas « à suivre ». Mais cela ne rend pas meilleurs les modèles d’enrichissement des autres milliardaires, tout autant basés sur la prédation, l’imposture et les effets de levier capitalistes et financiers, à l’opposé des principes vertueux (travail, mérite) qu’on exige des populations moutonnières.


    • Pierrot 23 avril 11:09

      @titi
      « Le secteur du luxe exporte plus que l’ensemble du secteur agricole francais.
      Donc oui, ce sont des exemples à suivre. »

      Pour savoir si un exemple est « à suivre », la question n’est pas de savoir combien des activités exportent, ni combien elles rapportent aux milliardaires qui les contrôlent, mais plutôt dans quelle mesure elles sont profitables à la Nation, relativement aux besoins des populations, à la souveraineté du pays, etc..

      Par exemple, une agriculture qui n’exporterait plus rien mais qui assurerait la sécurité et l’autonomie alimentaire du pays serait infiniment plus souhaitable qu’une industrie du luxe dont les bénéfices partiraient intégralement dans les paradis fiscaux.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 avril 11:28

      @Pierrot
       
      ’’ Ainsi, tant que la situation n’exige pas qu’elle soit totalement remboursée, cette dette de 20 milliards participe au pouvoir de l’intéressé sur le monde au même titre que de l’argent frais.’’
      >
      Oui, de la même façon et avec les mêmes différences que vous habitez dans un logement qui vous appartient ou dans un logement que vous louez !
       
      Parce qu’il ne faudrait pas oublier ’’ le service de la dette’’, autrement dit, le loyer. ET c’est en acceptant de recourir à cette dette, véritable crédit revolving que petit à petit on n’est lus chez nous mais les locataires de notre propre pays. Comme les serfs qui vivaient sur la propriété de leurs seigneurs, leurs saigneurs.
       
      Nous vivons dans un processus de contre-révolution seigneuriale.
       
      ps. c’est quoi, de l’argent frais dans ce contexte ?


    • Luniterre Luniterre 23 avril 14:51

      @Pierrot

      Le PIB global de la planète est évalué autour de 100 000 milliards de dollars. (1)

      Cela peut paraitre énorme, mais la dette mondiale, elle, atteint 315 000 milliards de dollars. (2)

      Soit donc 315% du PIB.

      Pour une entreprise, un ratio d’endettement compris entre 50 et 70% est déjà considéré comme élevé, et au delà, carrément à risque, si supérieur à 70%. (3)

      Dans ce contexte « mondial » c’est donc plutôt Drahi qui est « dans la norme », et encore...

      Mais en fait, c’est surtout une question de « gestion » et de « comptabilité » à échelle systémique : si la dette mondiale s’accroit à ce point c’est bien que les « superprofits » ne sont jamais qu’une partie « détournée » de manière plus ou mois habile, selon les cas, de la dette mondiale.

      Un tel « résultat » n’est donc possible, et surtout depuis la crise de 2007-2008, que parce que les Banques Centrales jouent en permanence un air de « planche à billets » électronique, et bientôt sans limite, avec les « Monnaies Numériques de Banque Centrale » qui permettront d’arroser en « liquidités » la fraction de l’élite « bien vue » par les Gouverneurs des Banques Centrales et de couper directement le "robinet du fric« aux autres, sous tout prétexte pseudo- »légal", à leur gré, en fait.

      Drahi n’est donc simplement qu’un « exemple » un peu trop visible, un « mauvais élève », en termes de « discrétion », en quelque sorte.

      Luniterre

       ***************

      Richard Werner, « père spirituel » du Quantitative Easing et "apprenti sorcier" du banco-centralisme

      http://cieldefrance.eklablog.com/richard-werner-pere-spirituel-du-quantitative-easing-et-apprenti-sorci-a215699895

       + d’autres liens sur le banco-centralisme, à la suite.

       ***********************

      ( 1 _ https://www.cnews.fr/monde/2024-02-17/voici-les-10-plus-grandes-puissances-economiques-au-monde-en-2023-1455038

      https://fr.statista.com/infographie/29170/les-plus-grandes-economies-mondiales-selon-le-pib/

      https://www.20minutes.fr/economie/4021526-20230201-croissance-dix-plus-grandes-economies-mondiales 

      https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/politiques-economiques/theories-economiques/pib/pib-mondial/ )

       

      (2 _ https://aktionnaire.com/2024/02/22/le-montant-total-de-la-dette-mondiale-atteint-315-000-milliards-de-dollars/ )

       

      (3 _ https://www.cegos.fr/ressources/mag/fonction-financiere/finance/limportance-du-ratio-dendettement-net-gearing )

       

       **********************************************


    • Seth 23 avril 15:13

      @Luniterre

      Les « banques centrales » étant désolidarisées des états ce qui est une hérésie.

      Quant à attaquer Drahi, citoyen israélien (entre autres) certains trouveraient bon de rappeler l’image des « juifs aux mains crochues » d’une autre époque. Car voir de l’antisémitisme va jusque là pour certains.

      Les biens de cette engeance capitaliste doivent être saisis et il doivent être raccourcis d’une tête, il n’y a pas d’autre moyen de les amener à résipiscence, il va falloir se mettre ça dans le ciboulot.


    • Pierrot 23 avril 18:37

      @Francis, agnotologue
      (L’« argent frais » que j’évoque est l’argent qui doit être gagné avant de pouvoir être dépensé.)

      La propriété individuelle reste une chose toute relative. Déjà, être propriétaire de son logement n’empêche pas qu’on puisse en être dépossédé un jour, pour de nombreuses raisons imaginables (expropriation, divorce, saisie judiciaire, impossibilité de payer les taxes ou les charges, etc.). Mais aussi, en fonction du contexte et de son évolution, il arrive que le coût global d’achat et de possession d’un bien immobilier soit plus élevé que celui de sa location.

      Plus généralement, lorsqu’on se propose d’utiliser un bien (véhicule, logement, moyen de production) ou de l’argent (le sien ou celui des autres), il est nécessaire d’évaluer l’opération en mettant en balance les bénéfices (matériels ou immatériels) qu’on en tire avec les coûts et les risques qu’elle induit. En pratique, on constate qu’il est souvent possible de profiter de ce bien ou de cette somme d’agent sans avoir à en devenir propriétaire, tout en limitant le coût global et les risques (voire en les réduisant).

      Cette possibilité est d’autant plus intéressante qu’elle permet souvent d’accéder à des choses dont on aurait dû normalement se passer. Néanmoins, elle n’autorise pas à faire n’importe, et sa mise en œuvre nécessite de reconnaître les opportunités, d’avoir une mise de départ et de prendre des risques calculés.

      Le cas de notre dette publique est quelque peu différent. Même si elle repose sur le même principe que ce qui précède et si elle procure des avantages théoriquement similaires, sa durée de vie est celle de l’État, c’est-à-dire a priori illimitée. Elle n’a donc pas vocation à finir d’être remboursée un jour.

      Le problème tient plutôt au fait qu’il existe maintenant une nette fracture entre ceux qui décident de cet endettement et ceux qui en payent les intérêts. Les risques qui ont été pris se sont avérés relativement bénéfiques pour les premiers, mais inconsidérés et catastrophiques pour les seconds, et aujourd’hui cette dette est utilisée comme un outil de domination du pays au service de ceux qui la contrôlent.

      Mais cette question est bien plus politique et idéologique qu’économique et financière. Si aujourd’hui la dette publique nous dépossède et nous écrase, c’est parce que les gens qu’on a mis au pouvoir en ont décidé. Mais ces derniers n’ont pas attendu de prendre le prétexte de son explosion bien prévisible pour commencer à vendre notre pays à la découpe.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 avril 19:28

      @Pierrot
       
       il y a à boire et à manger comme on dit, dans votre réponse. Autrement dit, vous mélangez les choses. Oublions ma comparaison avec le logement qui n’a pas atteint son but. et vos digressions hors sujet par le fait.
      Mais je suis d’accord sur votre définition de l’argent frais : autrement dit, l’argent qui ne vient pas d’une dette mais d’un travail ou d’un échange : la vente d’un patrimoine procure de l’argent frais.
       
      Vous dites : ’’Le cas de notre dette publique est quelque peu différent (de la dette privée je suppose ?). Même si elle repose sur le même principe que ce qui précède et si elle procure des avantages théoriquement similaires, sa durée de vie est celle de l’État, c’est-à-dire a priori illimitée. Elle n’a donc pas vocation à finir d’être remboursée un jour.’’
      >
      c’est une répétition de votre précédent commentaire, je ne répèterai pas le mien, mais je dirai ceci :
       1 Ce n’est pas cas de la dette publique puisqu’elle n’est pas de l’argent frais. C’est contradictoire.
       2 Elle n’a pas vocation à ne pas finir d’être remboursée. C’est seulement une question de volonté (de ceux qui en décident). Et qui donc in fine, en décide ? L’État ? Ou ses créanciers ? Les deux mon neveu, vu qu’ils sont copains comme cochons quand ils ne sont pas strictement les mêmes.
       
      Ceci dit, la dette , et donc l’argent dette, est une spécifié du capitalisme ce système économique capable du meilleur comme du pire : ici encore c’est une question de volonté.
       
      Une citation qui va bien : « Un criminel est une personne avec des instincts de prédateur et qui n’a pas assez de capital pour fonder une société. » Maurice Allais 

      À bon entendeur ...
      ps. Les banques privées sont des sociétés.


    • titi titi 23 avril 19:51

      @Pierrot

      ", ni combien elles rapportent aux milliardaires

      "

      Alors vous vous trompez d’article : ici le sujet c’est justement de dénoncer les méchants riches.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 avril 20:17

      @titi
       
       ’’ici le sujet c’est justement de dénoncer les méchants riches.’’
      >
      Et ceux qui défendent les milliardaires, ceux qui ont le syndrome du larbin dans leur ADN.


    • L'apostilleur L’apostilleur 23 avril 21:39

      @Pierrot
      Désolé mais vous utilisez trop le conditionnel, avec autant de si...
      La réalité fait moins rêver.
      La Ciotat a perdu ses activites navales depuis longtemps et sa reconversion repose sur l’entretien des yachts. Détournez leur activité vers l’Italie qui ne demande que ça et on fera les comptes avec le manque à gagner de la tva sur leur fioul 


    • Pierrot 24 avril 11:20

      @Francis, agnotologue
      Je ne faisais que répondre à votre commentaire, qui déviait quelque peu du sujet. La dette qu’évoquait titi n’était pas la dette publique. Mais faire une comparaison avec le logement me semblait opportun, parce que contrairement à ce qu’on croit généralement, être propriétaire (de son logement ou de son argent) n’est pas forcément la solution la plus rentable.

      Mon propos est qu’exploiter l’argent et/ou les biens des autres est un bon moyen de vivre richement, ce qui explique que le multimilliardaire dont il est question et les entreprises qu’il contrôle puissent avoir durablement des dettes très supérieures à la fortune personnelle de l’individu. Ce n’est pas un défaut, c’est une possibilité judicieusement exploitée.

      Sinon, (1) la dette publique n’est pas de l’« argent frais » (i.e. de l’argent préalablement gagné par celui qui le dépense), il n’y a rien de contradictoire là-dedans.

      Ce qui différencie la dette publique de la dette privée, c’est juste que la première est contractée par l’État. Le fait qu’elle soit détenue par des prêteurs privés n’en fait pas une dette privée. 

      (2) D’une manière générale, un endettement (jusqu’à une limite fixée par les taux et les capacités de remboursement) s’avère toujours plus rentable que d’attendre d’avoir gagné tout l’argent nécessaire pour pouvoir payer au comptant.

      Ainsi, il n’est pas souhaitable pour un État souverain d’arrêter de bénéficier de cette aubaine en remboursant totalement sa dette. D’une part, parce qu’a priori cet État a toujours la capacité d’emprunter (« too big to fail ») ; d’autre part, parce qu’il n’a rien à y perdre : comme l’Histoire l’a maintes fois démontré, quand il ne peut (ou ne veut) plus rembourser, il conserve ses biens tandis que ses débiteurs perdent leur argent. Car in fine, ce n’est pas l’argent qui détermine la propriété, mais le pouvoir.

      En fait, la dette publique ne représente une réelle menace que si l’État perd sa souveraineté (en d’autres termes, s’il disparaît). Mais malheureusement, il semble que c’est dans cette voie que nos politiques ont engagé la France depuis quelques décennies. Pour savoir à quel point nous en somme arrivés sur cette question, il faudrait pouvoir déterminer qui gouverne réellement le pays aujourd’hui.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 11:24

      @Pierrot
       
       je ne comprends rien à ce que vous dites, comme vous n’avez rien compris à ce que j’ai dit. Ceci explique sans doute cela.


    • Pierrot 24 avril 11:44

      @L’apostilleur
      Êtes-vous sûr de répondre à la bonne personne ?

      Sur deux commentaires d’un totale de près de 700 mots, je n’utilise que 4 fois le mot « si », et jamais dans une phrase au conditionnel.

      De plus, je ne vois pas en quoi votre objection (qui me semble sur le fond très pertinente) aurait à voir avec les sujets que j’aborde (point de vue des emprunteurs dans les cas particuliers de l’endettement du milliardaire et de la dette publique). Si la situation a de quoi nous faire pleurer, ceux qui en sont responsables semblent tout-à-fait s’en accommoder.


    • Pierrot 24 avril 12:07

      @titi
      Ici, je ne réponds pas au sujet de l’article, mais à votre commentaire (« Les dettes de Patrick Drahi et de son groupe sont évaluées à un peu plus de 20 milliards. Pas vraiment un modèle à suivre. ») et à ceux qui en découlent.

      Je rappelais juste que, hors de toute considération morale, les dettes ne sont absolument pas un problème. Elles constituent même la base du système monétaire et financier qui permet à quelques individus de s’enrichir outre mesure.

      Quant à juger de la moralité de l’enrichissement de nos multimilliardaires et du pouvoir qu’ils en tirent, le cas de Drahi me semble bien valoir celui des autres.

      Sinon, l’article ne dénonce pas les riches mais ceux qui ont mis en œuvre des moyens pour augmenter encore plus leur enrichissement à nos dépens.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 13:13

      @Pierrot
       
       Bon, je reviens parce que nous disons en fait la même chose, à ceci près que vous en êtes encore à croire que nous serions toujours souverains, et que vous soutenez que la charge de la dette ce n’est pas un problème.
      Vous faites partie des créanciers de l’État ? Ou bien vous êtes adepte en privé du crédit revolving ?
      Si, la charge de la dette est un problème, et un gros, et d’autant plus que les créanciers ne dépensent pas en France les intérêts qu’ils y perçoivent.


    • titi titi 24 avril 17:39

      @Pierrot

      "les dettes ne sont absolument pas un problème

      « 

      Les dettes ne sont pas un problème... si on arrive à maintenir les remboursements des intérêts et in fine du capital.
      Or M.Drahi semble être arrivé à un moment où sa dette devient un problème.

       »"l’article ne dénonce pas les riches

      "
      Mouais. L’article aurait pu dénoncer les achats de clopes à Andorre, ou dans les duty free par le prolo moyen qui alimente toute sa famille et ses copains.
      Mais il ne le fait pas.
      Or c’est tout aussi dommageable que la TVA sur le mazout de quelques bateaux.
      Tout en étant totalement anecdotique, tant l’Etat se trouve face à une montagne de dettes et de déficits.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 18:07

      @titi
       
       les dettes quelles qu’elles soient, sont comme la spéculation qu’on voudrait assimiler à l’investissement. De fait, elles ne sont investissement que pour le prêteur. :
       
      « L’investissement produit l’avenir dont la spéculation ferme au contraire les possibilités. »
       
      Il en est de même pour les dettes si elles ne sont pas compensées par un investissement.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 18:12

      @Francis, agnotologue
       
       « Car à la fin, il faut avoir un peu de suite dans les idées et, si ça n’est pas trop demander, procéder logiquement. En l’occurrence, la prémisse réside dans le constat que nous vivons une de ces époques historiques de surendettement généralisé – et passons sur le fait que ce surendettement de tous les agents (ménages, institutions financières, États) est le produit même du néolibéralisme… – 
      « Les ménages se surendettent sous l’effet de la compression salariale ; les banques se surendettent pour tirer, par « effet de levier », le meilleur parti des opportunités de profit de la déréglementation financière ; les États se surendettent par abandon de recettes fiscales sous le dogme de la réduction des impôts (pour les plus riches). De cet énorme stock de dette, il va bien falloir se débarrasser. Or la chose ne peut se faire que selon deux options : soit en préservant les droits des créanciers – l’austérité jusqu’à l’acquittement du dernier sou –, soit en allégeant le fardeau des débiteurs – par l’inflation ou le défaut.
       
      « Nous vivons à l’évidence en une époque qui a choisi de tout accorder aux créanciers. Que pour leur donner satisfaction il faille mettre des populations entières à genoux, la chose leur est indifférente. C’est à cette époque qu’il faut mettre un terme. Changer d’époque suppose en premier lieu d’affirmer le droit des « débiteurs » à vivre dignement contre celui des créanciers à l’exaction sans limite. Seuls les fétichistes du droit des créanciers pourront s’insurger qu’on y attente, en tout cas qu’on lui en oppose un autre, pas moins légitime, et même beaucoup plus si l’on se souvient des origines de la dette.
       
      « Où le parti pris acharné des créanciers nous conduit, nous ne le savons maintenant que trop. L’alternative est donc simplissime : ou bien nous poursuivons dans cette voie, par ailleurs exposée à la perspective d’un échec macroéconomique très probable, ou bien nous choisissons le parti inverse, celui des corps sociaux. … Il faut avoir soit l’idéologie monétariste, soit l’insuffisance conceptuelle, chevillées au corps pour soutenir qu’une banque centrale puisse faire faillite, et même doive être recapitalisée, thèse parfaitement inepte qui témoigne d’une incompréhension profonde de ce qu’est vraiment cette institution, absolument dérogatoire du droit économique commun. Créatrice souveraine et ex nihilo de la base monétaire – la forme supérieure de la monnaie – adossée à son pouvoir entièrement symbolique de faire accepter son signe, la banque centrale peut faire des pertes comptables mais sans aucune incidence au regard de sa propre économie institutionnelle puisqu’elle peut tout simplement monétiser ses pertes et s’auto-recapitaliser par création monétaire.
       
      « Bien sûr il en résulte une augmentation de la masse monétaire puisque les dettes correspondantes, annulées, ne passeront pas par le moment de destruction monétaire de leur remboursement. Et alors ? Contrairement à ce que croient les illuminés du monétarisme, la création monétaire, même très importante, n’est nullement vouée à dégénérer par essence en inflation … C’est le propre de la domination que le désastre est le plus souvent la meilleure chance des dominés. La fenêtre de ce désastre bancaire-là, à l’inverse de celle de 2008, il ne faudra pas la manquer. Une fois de plus il faut rappeler les effrayés à la conséquence.
       
      « En situation de surendettement historique, il n’y a de choix qu’entre l’ajustement structurel au service des créanciers et une forme ou une autre de leur ruine. A chacun de choisir son camp et de dire clairement pour laquelle des deux options il penche. A tous ceux qui n’auront pas pris le parti des rentiers mais que la perspective de la convulsion continue d’inquiéter, il faut redire qu’on n’a jamais vu un ordre de domination, a fortiori quand il est aussi puissant que le néolibéralisme, « rendre les clés » de son mouvement spontané. C’est dans le monde des rêves social-démocrates qu’on se plait à imaginer des gentils puissants, qui d’eux-mêmes trouveraient les voies de la décence et de l’autolimitation.
       
      « Sauf hypothèse de sainteté, on ne voit pas bien par quel improbable mouvement de l’âme les dominants pourraient consentir de leur propre gré à la transformation d’un monde qui leur fait la vie si belle et auquel tous leurs intérêts, patrimoniaux aussi bien qu’existentiels, ont intimement partie liée. Au prix sans doute d’attrister le Parti de la Concorde Universelle, il faut donc rappeler qu’un ordre de domination ne cède que renversé de vive force. »


    • titi titi 24 avril 19:58

      @Francis, agnotologue

      "si elles ne sont pas compensées par un investissement.

      « 

      Si elles ne sont pas compensées par un investissement, qui rapporte de quoi compenser le coût de l’argent », est beaucoup plus juste.


    • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 avril 10:11

      @titi
       

      ’’Si elles ne sont pas compensées par un investissement, qui rapporte de quoi compenser le coût de l’argent », est beaucoup plus juste.’’

      >

      Non ! Un investissement peut rapporter autre chose que de l’argent.

      Votre précision ne vaut que que pour celui qui raisonne en termes comptables.

       

      Quand on n’a d’outils qu’un marteau, tout est affaire de clous.


    • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 27 avril 12:25

      @titi
      Tu gagnes combien toi pour te faire volontairement le larbin des riches ? Est-ce qu’en, leur léchant les bottes tu pourras obtenir une petite promotion ou au moins t’assurer que tes chefs ne verront pas que tu arrives en retard au boulot ?
      Tu es atteint d’une maladie grave et incurable : le larbinisme.


    • zygzornifle zygzornifle 22 avril 17:13

      Comme le président et la plupart des politiques et en plus c’est nous qui les payons grassement pour êtres contre productifs .... 


      • Matlemat Matlemat 22 avril 18:14

        Et c’est la même chose pour les Jet privés.


        • mac 22 avril 18:23

          J’ai une théorie : L’impôt n’est pas vraiment là pour répartir la richesse, mais pour empêcher que trop de gens s’enrichissent en les ponctionnant dès qu’ils gagent un peu trop, les plus riches pouvant ainsi garder leur position dominante, puisqu’eux peuvent assez facilement échapper à l’impôt.

          On voit d’ailleurs que dans nos pays, la richesse est de plus en plus ma redistribuée et que, malgré des prélèvements de plus en plus élevées, on en a de moins en moins pour notre argent...


          • Jean Dugenêt Jean Dugenêt 27 avril 12:27

            @mac
            « J’ai une théorie : L’impôt n’est pas vraiment là pour répartir la richesse »

            J’ai une autre théorie : l’impôt a été inventé par les riches pour faire payer les pauvres. Rien n’a changé depuis le moyen-âge.


          • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 23 avril 09:40

            La france est le pays qui compte le plus de milliardaires mais c’est de l’UE le pays qui s’en sort le moins bien . Comment expliquer ça ?

            Ceci dit, ce n’est pas avec la baisse constante du niveau scolaire que ça va s’améliorer.


            • Seth 23 avril 15:17

              @Francis, agnotologue

              Et surtout avec l’absence totale d’éducation politique. On préfère faire un caca nerveux sur les histoires d’éduc sex que de s’opposer à l’ignorance politique crasse et pourtant...


            • titi titi 24 avril 19:21

              @Francis, agnotologue

              "La france est le pays qui compte le plus de milliardaires

              "

              Vos sources ?

              Ce n’est pas du tout ce que dit Forbes
              https://www.forbes.fr/classements/classement-milliardaires-forbes-2023-quels-sont-les-pays-avec-le-plus-de-milliardaires/

              D’après Forbes l’Allemagne en compte presque 3 fois plus pour une population seulement 30% supérieure.

              Taïwan en compte 10 de plus pour une population 3 fois moindre.

              Nous sommes à peu près au même niveau que la Suisse pour une population 7 fois moindre.

              Je prends bien évidemment ces très exemples car on connait bien la grande indigence de ces pays comparativement à la France.


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 24 avril 19:36

              @titi
               
              LVMH est la deuxième plus grande fortune du monde
              Françoise Bettencourt Meyers et famille

              est à la 11è place.

              La palme revient donc au Rocher (Monaco) qui compte un super-riche pour 12.600 habitants, soit l’équivalent d’un gros bourg français. La principauté de 37.800 habitants compte en effet trois milliardaires mais aussi une tripotée de millionnaires si on en juge la concentration record de Ferrari et d’hôtels cinq étoiles

               
              En nombre de millionnaires, la France se trouve sur le podium en troisième position. Avec 2,82 millions de millionnaires, en 2022, soit 4,8% de millionnaires de la planète, la France devance le Japon. Le pays du Soleil-Levant se retrouve donc au pied du podium avec 2,76 millions de millionnaires.



            • titi titi 24 avril 20:12

              @Francis, agnotologue

              Turlututu : vous avez écrit que la France était le pays qui comptait le plus de milliardaires.
              Et sous entendu lourdement que c’était la cause de nos diffcultés.

              Or c’est totalement faux : et en absolu et en relatif de la population.

              Maitenant vous nous parlez des millionnaires.
              Bah c’est quand même pas tout à fait la même chose.

              Vous parliez des lacunes de l’éducation nationale, mais je pense que chez vous les puissances de 10 ne sont pas totalement maîtrisées.


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 avril 10:04

              @titi
               
              ’’je pense que chez vous les puissances de 10 ne sont pas totalement maîtrisées.’’
              >
              Vous pensez faux. Mais si ce petit os que vous avez trouvé constitue pour vous un met de choix, surtout ne vous gênez pas.


            • titi titi 25 avril 10:49

              @Francis, agnotologue

              "si ce petit os que vous avez trouvé

              "

              Ce n’est pas un petit os.

              Quand on prétend donner des leçons d’économie, encore faut il maitriser l’arithmétique élémentaire.


            • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 25 avril 11:21

              @titi
               
              ce n’est pas une question d’arithmétique mais d’infos qui ne sont pas accessibles facilement. Vous mélangez tout.
              Sauriez vous dire combien de milliardaires il y a dans chacun des pays d’Europe ?
               Si j’ai dit que la France est le pays d’Europe qui compte le plus de milliardaires et s’en sort le moins bien, c’est parce que j’ai entendu ça sur les médias MSM par un doxologue. Comme qui on ne dit pas que des conneries sur les médias de grands chemins.


            • Mozart Mozart 23 avril 09:48

              Cher ami,

              Une fois de plus, vous partez des faits sans réfléchir. D’abord, un bateau est un bout d’extraterritorialité. Par exemple, sur une bateau anglais, vous êtes en Angleterre (comme un avion) et non en France si ce bateau se trouve en France. Or, par les lourdes taxes grevant la plaisance française, l’ensemble de ces bateaux n’ont pas le pavillon national et donc ne sont pas français. En effet, un bateau français paiera son fuel avec taxes. Et pour en rajouter une couche, la majorité de ces bateaux ne paie pas le droit de passeport français car séjournant moins de 6 mois dans nos eaux territoriales (ils passent l’hiver ailleurs). De plus, ces bateaux n’appartiennent pas à des personnes mais à des sociétés (le plus souvent étrangère) et sont donc soumis au droit des sociétés de leur pays. Le droit de pavillon est quelque chose de très complexe.

              Pour finir, si vous réfléchissez un peu, ces yachts navigant de pays en pays, iraient se ravitailler dans les pays les plus intéressant pour le prix du fuel. Cela ne rapporterait pas le moindre euro à la France.

              Alors, au lieu de passer son temps à jalouser les autres, donnez-vous les moyens de réussir, ça nous changerait des minables qui passent leur temps à dénoncer les autres en leur attribuant leur malheur. Et demandez-vous combien de gens font vivre ces bateaux !


              • Spartacus Lequidam Spartacus Lequidam 23 avril 10:41

                Les propos d’un jaloux qui ne possède pas de yatch...

                Un gauchiste en résumé.

                Un jaloux de la réussite des autres, qui rêve de donner des taxes dont le seul but serait de « punir » ceux qu’il jalouse, faire du mal a ceux qui ont une réussite et gagné de l’argent.

                Mais le même oublie de dire que lui ne paye absolument rien du tout comme impots direct. comme 60% des exonérés.

                Qu’il adore regarder les imots des autres mais pas son cas personnel..

                C’est ça les gauchistes ca veut donner des leçons aux autres mais jamais se regarder. Se trouver des excuse a leur envie de faire du mal aux autres.

                Ceux qui sont responsables de tes malheurs ne sont pas ceux qui ne payent pas assez d’impots a ton gout, ce qui sont les responsables de tes malheurs, ce sont tes choix personnelsn et la pensée gauchiste intello qui dévalorisent le travail, la réussite et le risque au nom de leurs frustrations de jaloux.

                Les impots en France ne servent que ceux qui sont dansles bonnes cases, la bonne corporationproche de l’état...Plaider pour des impots sur les autres ne sauve personne. C’est géré par des fonctionnaires.

                Ceux qui ont des yautch ne sont pas responsable de ta jalousie, seul toi tu es responsable de n’être qu’un jaloux par tes choix personnels.

                T’a voulu être un salarié toute ta vie.Tes revenus ont toujours étés ceux d’in salarié. Ne vient pas baver sur les réussites des autres. 

                Si t’avais pris des risques t’aurai peut être un yatch, et ceux qui en ont pris et n’ont pas réussit, eux au moins ne jalousent pas les autres et ne sont pas forcémement aujourd’hui plus pauvre que toi.


                • Seth 23 avril 15:19

                  @Spartacus Lequidam

                  Toi t’adores adorer ceux qui te piétinent. Et ta pratique sexuelle c’est quoi ? Le BDSM pour te faire flageller sans doute. smiley


                • cétacose2 23 avril 11:17

                  Une chose est sure , le jour , et il ne va pas tarder , où les échanges nucléaires vont se dérouler , nous serons tous ,multimilliardaires et pauvres clampins ,soumis aux mêmes « festivités » ....Et ce ne sera , enfin ! ...que justice .


                  • Seth 23 avril 15:23

                    @cétacose2

                    La chose positive de tout cela sera que les bunkerisés auront pendant quelques jours tout loisir de faire dans leur froc à l’idée du moment incontournable où ils seront contraint de sortir à moins de crever de faim dans leurs gourbis de luxe. smiley


                  • titi titi 24 avril 19:26

                    @cétacose2

                    Vous êtes tellement névrosés par votre impuissance et vos échecs dans ce monde que vous en êtes à attendre une guerre nucléaire.

                    Pathétique.

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