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Yann 35

Tableau de bord

  • Premier article le 19/04/2007
  • Modérateur depuis le 02/05/2008
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Derniers commentaires



  • Yann 35 Yann 35 9 avril 2009 20:39

    Désolé, vu la formulation je ne comprends pas le sens de votre contribution, j’ai juste compris que vous comparez à la fin le localisme au « capitalisme du début », pourriez-vous nous en dire plus sur ce « capitalisme du début » ?



  • Yann 35 Yann 35 9 avril 2009 18:38

    Que craignez-vous précisément avec la taxe localiste ?

    Et quels principes attendez-vous précisément des pays du G20 ?



  • Yann 35 Yann 35 9 avril 2009 17:57

    Relisez bien l’article chantecler, ça n’est pas qu’une question de mots, nous ne sommes pas contraints au choix binaire entre frontières fermées ou ouvertes, ni même au choix variable entre frontières un peu plus fermées ou un peu plus ouvertes encore. Le localisme est une véritable alternative, une véritable 3ème voie si on veut.



  • Yann 35 Yann 35 9 avril 2009 17:48

    Ça ressemble à du protectionnisme mais c’est en réalité bien différent, d’où l’article d’ailleurs. Reprenons l’idée de taxe localiste en remplacement de la TVA avec l’exemple de la fraise évoqué plus haut : à Perpignan, la fraise catalane serait moins taxée que la fraise nantaise donc la France ne privilégie pas sa production nationale. Pour le café c’est encore plus évident : il n’y a pas (enfin je ne crois pas) de producteur français donc en France c’est le café ivoirien ou éthiopien qui serait moins taxé que le café brésilien, il n’y a donc plus aucune « préférence nationale » dans le mécanisme.

    Ensuite vous abordez le problème du pouvoir d’achat, et bien sachez contrairement aux idées reçues que beaucoup de consommateurs font déjà des économies en achetant directement aux producteurs locaux et pour le reste, là où il y a de grands écarts de prix entre le local et le lointain, la taxe localiste allègerait le coût du produit local et pèserait plus sur le produit lointain, beaucoup plus même si le produit vient du bout du monde (en l’occurence d’Asie pour le breton par exemple).

    Enfin vous supposez que nous devrions accorder de lourdes contreparties pour faire accepter au monde entier un modèle localiste. Et bien j’y opposerais une contrepartie très simple : nous ne passerons pas au localisme si vous nous proposez un modèle limitant la gabegie écologique, notamment en matière d’épuisement d’hydrocarbures ou d’épuisement des ressources naturelles lié à l’usure des moyens de transport et autres structures routières par exemple, et nous ne passerons pas au localisme si vous nous proposez un modèle qui ne promet pas à nos concitoyens de violentes restrictions en termes d’emploi, de couverture de soins ou de moyens de subsistance pour les retraités par exemple. Et si le monde entier découvre le localisme et ses bienfaits pour l’avenir de l’humanité, les citoyens de tous les pays en feront la demande à leurs gouvernants et ne les soutiendront surtout pas s’ils s’y opposent sur la place médiatique internationale.



  • Yann 35 Yann 35 9 avril 2009 17:22

    Le localisme est un principe de proximité, donc par exemple pour un lillois la fraise la plus proche n’est pas la fraise d’Espagne. Mais comment faire pour que les consommateurs préfèrent une fraise plus chère ou remplace hors saison la fraise par un autre fruit ? En faisant déjà beaucoup de pédagogie pour expliquer l’intérêt de préférer une fraise plus locale que la fraise espagnole mais je sais aussi bien que vous qu’on préfèrera encore souvent la fraise moins chère pour conserver du pouvoir d’achat, ou la fraise hors saison pour se faire plaisir à n’importe quel moment. L’idéal serait donc de réduire la différence de prix entre la fraise locale et la fraise espagnole, par exemple en remplaçant la TVA par une taxe localiste (pourquoi pas une TDD : Taxe de Développement Durable) proportionnelle à la distance, du coup plus le producteur est proche de Lille, moins sa fraise sera taxée à la caisse tandis que la fraise de Catalogne serait plus taxée qu’aujourd’hui et la fraise andalouse d’autant plus encore. Vous allez me dire : mais c’est du protectionnisme ! Non, puisque par exemple la fraise catalane serait alors moins chère car moins taxée à Perpignan que la fraise nantaise, la nationalité de la fraise n’ayant aucune importance.

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