Dans mon article Effet de « serres » et Révolution Verte Eugénique , j’ai dénoncé les collusions entre Mr Kofi Anan, Monsanto, les fondations Gates, Rockefeller, les multinationales de la pharmacie, de la semence, etc, etc, ad nauseam.
Parler « d’erreur » est un doux euphémisme. Nous sommes confrontés à une véritable mafia qui ne cherche qu’à piller l’Afrique et à détruire les Africains.
Grand temps d’ouvrir la chasse aux prédateurs militaro-industriels qui ruinent la biosphère.
En effet, selon les enquêtes publiées par l’IFEN
en 2005, 96% “seulement” de nos cours d’eaux et 61% “seulement” de nos
nappes phréatiques sont pollués par “seulement” 230 pesticides : la
molécule la plus présente étant l’atrazine qui génère cancers (du sein
et des ovaires), maladies cardio-vasculaires, dégénérescences
musculaires, lésions des poumons et des reins, etc.
Aux USA et au Canada, des études sérieuses ont mis en
évidence la présence, dans les eaux, de très nombreuses substances :
estrone, ethinylestradiol (venant des pilules contraceptives), des
anti-inflammatoires, des remèdes contre le cancer, des tranquillisants,
etc. Aux USA, chaque année un million de patients cancéreux sont traités
par chimiothérapie. Ces patients génèrent approximativement, chaque
année, 650 000 tonnes d’excréments qui sont évacuées dans les égouts.
Des chercheurs se sont aperçus que toutes les substances utilisées en
chimiothérapie sortaient intactes des systèmes de retraitement d’eau.
Toutes ces substances sont mutagènes, carcinogènes, tératogènes et
embryotoxiques.
Au Canada, en 1998, deux chercheurs, White et Rasmussen,
ont calculé que la génotoxicité présente dans l’unité de retraitement
des eaux usées de Montréal d’une part et dans le St Laurent d’autre part
étaient seulement imputables à l’industrie à hauteur respectivement de
15 % et de 10 %. Tout le reste avait une origine “mystérieuse”, selon
leurs commentaires.
En 2005, en Suisse, une thèse de doctorat a porté sur la
contamination de l’environnement par les substances pharmaceutiques.
(recherche de Tauxe Würsch, Annick ; Tarradellas, Joseph).
“Dans la première partie de cette recherche, la présence
et le devenir de cinq médicaments très utilisés (Acide Clofibrique,
Ibuprofène, Kétoprofène, Acide Méfénamique et Diclofénac) ont été
analysés dans trois STEPs durant quatre à sept jours consécutifs.
L’Ibuprofène, le Kétoprofène, l’Acide Méfénamique et le Diclofénac sont
des anti-inflammatoires (NSAIDs). L’Ibuprofène et l’Acide Méfénamique
sont les médicaments les plus vendus de cette étude : 17 tonnes par an et
par substance en Suisse. L’Acide Clofibrique est un métabolite du
clofibrate, de l’étofibrate et du clofibrate d’étofylline. Ces
substances hypolipémiantes sont utilisées pour abaisser les
concentrations plasmatiques élevées de cholestérol et de triglycérides.
La méthode analytique développée pour analyser ces cinq médicaments
permet de récupérer généralement plus de 70% de ces composés. Les
limites de détection (5-15 ng/l) permettent la détection de ces
substances dans les échantillons d’eaux usées.
Les résultats de l’analyse des échantillons montrent que
ces cinq substances étaient persistantes et se retrouvaient dans les
effluents des STEPs ...”
En conclusion, au bout du compte qui va trinquer ? Nous
sommes en pleine pénurie d’eau et ce qui reste d’eau peut difficilement
mériter le qualificatif de H2O !
L’eau de boisson, l’eau d’irrigation, est devenue un
dangereux cocktail de pesticides, de produits pharmaceutiques et de
résidus industriels.
Et pour couronner le tout, l’eau, bien précieux et bien
collectif de l’humanité, est devenue une affaire privée dans les griffes
de quelques multinationales mafieuses.
Voleurs d’eau, Voleurs de terre, Pollueurs d’eau,
Pollueurs de terre, ce sont les mêmes !
Reprenons la Terre !Lors d’un moment critique du film, l’avatar de Jake va vers l’arbre
sacré d’Eywa afin de requérir de l’aide dans l’usage des arcs et des
flèches pour vaincre une gigantesque armada de flotte aérienne militaire
et high-tech. Mais Neytiri lui dit avec tendresse que “La grande mère
n’intervient pas dans nos affaires, Jake, elle ne fait que protéger
l’équilibre de la vie”.
Les Païens observent et vénèrent l’harmonie de la vie.
L’équilibre entre l’ordinaire et le sublime fait partie intégrante de
cette harmonie. Le mysticisme expérimental, qui est en accord avec les
traditions shamaniques de la plus lointaine antiquité, révèle que la
puissance surnaturelle est présente dans le monde naturel, dans
l’ici et le maintenant. La sublimité de la beauté de Gaïa est en soi une
force surnaturelle. Entrer dans cette beauté et la laisser nous
consumer extatiquement, tremblant dans nos cellules et chancelant sous
son impact, comme un marin saoul sur le pont de son bateau durant un
ouragan - cette pénétration, corporelle et immédiate, est telle que
celui ou celle qui s’adonne à la contemplation appartient à cette
beauté et aspire à rester pour toujours dans cette beauté ou, sinon,
de ne vivre qu’une vie diminuée, auto-réprimée, étroite et creuse. A la
suite d’une rencontre biomystique authentique avec la Terre Mère, vous
ne vous appartenez plus exclusivement. Et au sein de cette rencontre, la
beauté commence à vous faire sienne.
Mais le Christianisme et les autres credos
salvationnistes dénient et rejettent la beauté divine de ce monde. Ils
affirment que la nature et les impulsions naturelles relèvent du péché
et ne méritent que le châtiment. Ils mettent en exergue l’autorité d’une
source supranaturelle au-delà de la Terre et de l’humanité. Ils
distribuent les châtiments et les récompenses dans le mépris le plus
total des mérites. Afin d’imposer leur croyances pseudo-magiques,
paranoïaques et perverses, ils déploient des efforts gigantesques pour
détruire la magie authentique partout où elle émerge sur cette
planète : sur la terre et dans les arbres, dans l’eau et dans les cieux,
dans les plantes et chez les animaux, chez les enfants et chez les êtres
humains à l’innocence authentique et à l’imagination éveillée.
L’Histoire est la somme des archives de l’éradication de
la magie, de l’annihilation des talents surnaturels conférés par Gaïa à
sa progéniture privilégié à problèmes, la race humaine, pour ne pas
dire de l’extermination de la race elle-même. En cette période ultime
dans le cycle des âges, on est en droit de se poser la question
suivante : où se trouve la contremagie
dans cette histoire horrible d’auto-annihilation ?.....http://www.liberterre.fr/metahistoire/mythe-vivant/avatar.html