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Xochipelli

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Derniers commentaires



  • Xochipelli 11 mai 2011 20:21

    Franchement, qui a dit que la radioactivité avait baissé ? L’Association Kokopelli présente sur son blog des Nouvelles Récentes de Fukushima qui mettent en valeur que la situation n’est pas sous contrôle et que la contamination est permanente.

    Ainsi que Dominique Guillet l’a exprimé dans son article : Fukushima/2012 : Contamination radioactive de la chaîne alimentaire planétaire, toute la chaîne alimentaire va être contaminée sous peu, irrémédiablement. Est-ce bien clair ?



  • Xochipelli 11 mai 2011 20:16

    - 9 mai 2011 : Extrême radioactivité de toutes les boues d’épuration de la Préfecture de Fukushima. Suite à notre brève en date du 3 mai 2011 quant à l’extrême radioactivité des égouts de Koriyama City, la Préfecture de Fukushima, qui gère 62 centres de traitement des eaux usées, en a testé 20 pour le césium 134, le césium 137, l’iode 131 et a omis de tester pour le strontium et le plutonium. Le gouverneur de la Préfecture vient de demander par lettre au Gouvernement comment retraiter les eaux usées archi-radioactives du système d’égouts. Qu’en est-il des rejets dans les rivières, des fumées des incinérateurs, sans même évoquer les 928 tonnes de boues qui ont déjà été incluses dans des ciments et expédiées vers tout le Japon. Bien, comme pour Koriyama City, le taux de radioactivité des boues d’épuration est totalement catastrophique et même encore plus. Par exemple, dans un centre de retraitement de Horikawa-machi / Fukushima City : 446,000 becquerels de césium radioactif par kilogramme ! Sur les 20 centres analysées, 19 sont extrêmement radioactifs quant aux boues d’épuration gérées. Koriyama City se situe à 59 kilomètres à l’ouest de la centrale nucléaire de Fukushima et Fukushima City s’en situe à 62 kilomètres, mais au nord-ouest. Vu le niveau extrêmement radioactif des boues d’épuration dans un rayon de 65 km, on peut se demander ce qu’il en est à 100 km, à 150 km, etc… Le Gouverneur de la préfecture a informé le Gouvernement que la ville de Fukushima City a cessé de déhydrater (dans les incinérateurs) ou de vendre des boues aux cimentiers à la suite de l’annonce de ce qui s’était passé à Koriyama City : ce qui veut dire que les égouts radioactifs s’écouleront dans la rivière dès le 20 mai lorsque les cuves déborderont. Dixit le Gouverneur.



  • Xochipelli 11 mai 2011 20:15

    - 10 mai 2011 : Première carte de la contamination dans un rayon de 80 km autour de Fukushima-Daiichi. Le 6 mai, le gouvernement Japonais a publié une carte des divers niveaux de contamination dans la région autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, et ce dans un rayon de 80 km, à savoir une zone de 20 000 km carrés. Ainsi que l’exprime le professeur en ingénierie nucléaire, Tetsuji Imanaka, de l’Université de Kyoto : « Je suis surpris par le niveau de contamination et la vaste surface de la zone contaminée ». Vraiment ? Pas nous. En effet, une ceinture de contamination s’étend vers le nord-ouest avec des niveaux de l’ordre de 3 millions à 14.7 millions de becquerels de Césium-137 par mètre carré. Rappelons que dans le cas de Tchernobyl, la zone d’évacuation obligatoire concernait les territoires contaminés par plus de 555 000 becquerels de Césium-137 par mètre carré. Toutes ces mesures ont été collectées entre le 6 et le 29 avril, il y a donc deux semaines de cela ou même plus. Mais la contamination radioactive est permanente. Quant au Professeur Tetsuji Imanaka qui précise, dans son commentaire, que cette carte sera précieuse pour lancer un processus de décontamination, ce doit être un optimiste invétéré ou un imbécile diplômé d’Etat. A ces taux de contamination, on ne décontamine plus : ON EVACUE !!



  • Xochipelli 9 mars 2011 19:16

    Chères Amies, Chers Amis

    J’ai le plaisir de vous informer de la sortie de l’ouvrage :

    « La Passion de la Terre. Traité d’écologie sacrée. Comment l’espèce humaine va-t-elle choisir entre la Vision Planétaire et le mensonge patriarcal et théocratique ? » de John Lash. 496 pages. Editions Voix des Semences.

    Disponible chez Liberterre : http://www.liberterre.fr/boutic/bou_list.cgi?codefam=ouv

    Au 7ème siècle avant notre ère, une entité extraterrestre de passage, appelée Yahvé - mais que les Gnostiques Païens appelaient Yaldabaoth, le Démiurge, le dieu dément - proclama, du haut de son “chariot de feu”, « Détruis tout ce qui vit sous l’arbre vert » (Deutéronome). En ce début de 21ème siècle, la théologie de l’annihilation peut se targuer d’une mission presque accomplie : l’agriculture toxique et l’industrie ont transformé une grande partie de la planète en une poubelle cancérigène, la biosphère s’étiole, les grandes forêts ont été coupées, la biodiversité est éradiquée, les richesses planétaires ont été pillées, les Peuples Premiers et Indigènes ont été massacrés et l’humanité se meurt empoisonnée physiquement et psychiquement.

    Le monothéisme Abrahamique, autrefois circonscrit à un petit peuple, qui se croyait élu par le Démiurge, a muté dramatiquement et ses deux mutations les plus virulentes, le Christianisme et l’Islam, ont semé la dévastation durant 20 siècles : conquêtes et conversions, génocides, guerres de religions, bûchers de l’Inquisition, destruction des cultures Indigènes, etc, etc, ad nauseam. Et, de nos jours, même si les maisons closes de la prostitution religieuse (où les dévots vendent leur âme au plus offrant pour un coin de paradis, une rémission de péchés ou, encore même, la vie éternelle) ont été remplacées ou complémentées par les écrans lobotomisants de la réalité virtuelle, le paradigme biocidaire reste néanmoins le même : la haine de la Nature, la haine du Féminin et, en fin de compte, la haine de l’Humain. L’humanité (et une grande partie de la biosphère) est aujourd’hui au coeur d’une urgence spirituelle, pour ne pas dire au coeur d’une extinction. L’humanité peut-elle encore choisir entre la Vision Planétaire et le mensonge patriarcal et théocratique ?

    Cet ouvrage, intense et bouleversant, est de la dynamite théologique tout autant qu’un traité d’Écologie Sacrée. Analysant les Manuscrits de la Mer Morte (occultés pendant un demi-siècle par le Vatican) et surtout les Codex de Nag Hammadi, John Lash décrit comment une secte groupusculaire, messianique et apocalyptique, muta en une puissance mondiale mortifère lorsque le fanatisme religieux Chrétien s’allia à l’Empire Romain. Les instructeurs spirituels Gnostiques, les initiés des Mystères, les Druides, les guérisseurs shamaniques furent massacrés, leurs réseaux d’universités furent anéantis, leurs bibliothèques furent brûlées et les temples Païens furent détruits. Cet ouvrage plonge profondément dans les vestiges des antiques écrits Gnostiques pour reconstruire l’histoire d’Europa (que les Chrétiens reléguèrent dans les oubliettes de leur Histoire) et pour recouvrer la richesse de la spiritualité Européenne Païenne : le monde Celtique, les Mystères Païens, la Grande Déesse, la Terre-Mère, la Gnose et le mythos de Sophia. Il décrit également l’annihilation de cette culture Européenne Païenne sous les assauts des fanatiques Chrétiens. Longtemps avant l’émergence du Christianisme, le monothéisme était une anomalie. L’Europe et le Proche-Orient prospéraient sous la guidance divine de Sophia, l’antique déesse de sagesse. La Terre était l’incarnation de Sophia et elle était donc sacrée pour les peuples Indigènes qui cherchaient leur illumination en sa présence. Cette ancienne philosophie menaçait les croyances rédemptionnistes du Christianisme qui étaient fondées sur la domination patriarcale de la Terre et qui louaient la vertu rédemptrice de la souffrance comme une voie vers l’après-vie.

    Le recouvrement de la sagesse Gnostique et la fusion des enseignements des Mystères avec l’écologie profonde - ce qui constitue la double finalité de cet ouvrage - ne peuvent pas être réalisés sans analyser minutieusement ce qui a détruit la vision Sophianique de la Terre vivante et pourquoi cette destruction fut mise en place. L’histoire de la civilisation Occidentale fut écrite afin de consigner la victoire du patriarcat et de légitimer son programme dément et inhumain. La religion de la rédemption est l’idéologie la plus puissante qui existe en tant que vecteur d’oppression. Ce virus idéologique pandémique n’est, cependant, pas incurable. La vision Sophianique constitue le remède planétaire qui permettra à l’espèce humaine de se libérer de l’emprise des religions monothéistes, de vaincre le patriarcat et de guérir la blessure originelle dont il émergea. L’humanité est maintenant confrontée à un choix décisif : disparaître en s’auto-détruisant ou survivre en oeuvrant en co-évolution avec Gaïa, l’Intelligence Planétaire.

    Au plaisir et très bonne lecture. Les Editions La Voix des Semences déclinent toute responsabilité vis à vis de crises de foi, ou autres crises métaphysiques collatérales, générées par la lecture de cet ouvrage strictement anti-monothéiste.

    Dominique Guillet

    Site personnel : Liberterre
    http://www.liberterre.fr/



  • Xochipelli 26 janvier 2011 20:37

    Chères Amies, Chers Amis

    POUR EN FINIR AVEC LE MONOTHEISME ET LE GANG DU VATICAN

    J’ai le plaisir de vous informer de la sortie de l’ouvrage :

    « La Passion de la Terre. Traité d’écologie sacrée. Comment l’espèce humaine va-t-elle choisir entre la Vision Planétaire et le mensonge patriarcal et théocratique ? » de John Lash. 496 pages. Editions Voix des Semences.

    Disponible chez Liberterre : http://www.liberterre.fr/boutic/bou_list.cgi?codefam=ouv

    Au 7ème siècle avant notre ère, une entité extraterrestre de passage, appelée Yahvé - mais que les Gnostiques Païens appelaient Yaldabaoth, le Démiurge, le dieu dément - proclama, du haut de son “chariot de feu”, « Détruis tout ce qui vit sous l’arbre vert » (Deutéronome). En ce début de 21ème siècle, la théologie de l’annihilation peut se targuer d’une mission presque accomplie : l’agriculture toxique et l’industrie ont transformé une grande partie de la planète en une poubelle cancérigène, la biosphère s’étiole, les grandes forêts ont été coupées, la biodiversité est éradiquée, les richesses planétaires ont été pillées, les Peuples Premiers et Indigènes ont été massacrés et l’humanité se meurt empoisonnée physiquement et psychiquement.

    Le monothéisme Abrahamique, autrefois circonscrit à un petit peuple, qui se croyait élu par le Démiurge, a muté dramatiquement et ses deux mutations les plus virulentes, le Christianisme et l’Islam, ont semé la dévastation durant 20 siècles : conquêtes et conversions, génocides, guerres de religions, bûchers de l’Inquisition, destruction des cultures Indigènes, etc, etc, ad nauseam. Et, de nos jours, même si les maisons closes de la prostitution religieuse (où les dévots vendent leur âme au plus offrant pour un coin de paradis, une rémission de péchés ou, encore même, la vie éternelle) ont été remplacées ou complémentées par les écrans lobotomisants de la réalité virtuelle, le paradigme biocidaire reste néanmoins le même : la haine de la Nature, la haine du Féminin et, en fin de compte, la haine de l’Humain. L’humanité (et une grande partie de la biosphère) est aujourd’hui au coeur d’une urgence spirituelle, pour ne pas dire au coeur d’une extinction. L’humanité peut-elle encore choisir entre la Vision Planétaire et le mensonge patriarcal et théocratique ?

    Cet ouvrage, intense et bouleversant, est de la dynamite théologique tout autant qu’un traité d’Écologie Sacrée. Analysant les Manuscrits de la Mer Morte (occultés pendant un demi-siècle par le Vatican) et surtout les Codex de Nag Hammadi, John Lash décrit comment une secte groupusculaire, messianique et apocalyptique, muta en une puissance mondiale mortifère lorsque le fanatisme religieux Chrétien s’allia à l’Empire Romain. Les instructeurs spirituels Gnostiques, les initiés des Mystères, les Druides, les guérisseurs shamaniques furent massacrés, leurs réseaux d’universités furent anéantis, leurs bibliothèques furent brûlées et les temples Païens furent détruits. Cet ouvrage plonge profondément dans les vestiges des antiques écrits Gnostiques pour reconstruire l’histoire d’Europa (que les Chrétiens reléguèrent dans les oubliettes de leur Histoire) et pour recouvrer la richesse de la spiritualité Européenne Païenne : le monde Celtique, les Mystères Païens, la Grande Déesse, la Terre-Mère, la Gnose et le mythos de Sophia. Il décrit également l’annihilation de cette culture Européenne Païenne sous les assauts des fanatiques Chrétiens. Longtemps avant l’émergence du Christianisme, le monothéisme était une anomalie. L’Europe et le Proche-Orient prospéraient sous la guidance divine de Sophia, l’antique déesse de sagesse. La Terre était l’incarnation de Sophia et elle était donc sacrée pour les peuples Indigènes qui cherchaient leur illumination en sa présence. Cette ancienne philosophie menaçait les croyances rédemptionnistes du Christianisme qui étaient fondées sur la domination patriarcale de la Terre et qui louaient la vertu rédemptrice de la souffrance comme une voie vers l’après-vie.

    Le recouvrement de la sagesse Gnostique et la fusion des enseignements des Mystères avec l’écologie profonde - ce qui constitue la double finalité de cet ouvrage - ne peuvent pas être réalisés sans analyser minutieusement ce qui a détruit la vision Sophianique de la Terre vivante et pourquoi cette destruction fut mise en place. L’histoire de la civilisation Occidentale fut écrite afin de consigner la victoire du patriarcat et de légitimer son programme dément et inhumain. La religion de la rédemption est l’idéologie la plus puissante qui existe en tant que vecteur d’oppression. Ce virus idéologique pandémique n’est, cependant, pas incurable. La vision Sophianique constitue le remède planétaire qui permettra à l’espèce humaine de se libérer de l’emprise des religions monothéistes, de vaincre le patriarcat et de guérir la blessure originelle dont il émergea. L’humanité est maintenant confrontée à un choix décisif : disparaître en s’auto-détruisant ou survivre en oeuvrant en co-évolution avec Gaïa, l’Intelligence Planétaire.

    Au plaisir et très bonne lecture. Les Editions La Voix des Semences déclinent toute responsabilité vis à vis de crises de foi, ou autres crises métaphysiques collatérales, générées par la lecture de cet ouvrage strictement anti-monothéiste.

    Dominique Guillet

    Site personnel : Liberterre
    http://www.liberterre.fr/

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