22 juin 2011 : Décontamination désastreuse par AREVA-KURION : des promesses de psychopathes.TEPCO vient de publier les premiers résultats du processus de décontamination de l’eau radioactive
de Fukushima par AREVA-KURION. Pour Kurion, c’est franchement le
désastre : le système a fonctionné à 4,6 % de sa capacité optimale de
décontamination. Pour AREVA, les résultats officiels ne sont pas
disponibles mais selon TEPCO (attention, les menteurs !), le système
AREVA aurait fonctionné à moins de 40 % de sa capacité optimale de
décontamination (c’est assurément une information archi-sujette à
caution !!!). En bref, selon un quotidien Japonais,
cette première tentative de décontamination, avec tout le système
Areva/Kurion/Hitashi/Toshiba n’a filtré que 1 % du césium 134 et du
césium 137.
21 juin 2011 : Le cauchemar radioactif de Fukushima-City. La
troisième ville et la capitale de la Préfecture, Fukushima-City, se
situe à 60 km de la centrale nucléaire de Fukushima 1 et accueille 300
000 habitants.Elle ne fait pas partie de la zone d’évacuation obligatoire, facultative ou même à prévoir.
Un citoyen de cette ville, Seiichi Nakate, a créé une association, pour
évaluer le niveau de désastre en cette ville, qui s’appelle Fukushima
Network to Protect Children from Radiation. Rappelons que le 19 avril,
le Gouvernement Japonais avait fait passer le seuil de radioactivité
admissible pour les enfants de 1 à 20 millisieverts/an. Seiichi Nakate,
très en colère, a donc demandé à l’organisation Greenpeace de venir
analyser les sols de la ville et ces analyses ont commencé le 7 juin. Ce
sont du césium-134, du césium-137, et du cobalt-60 qui ont détectés. Par
exemple, au Lycée de Watari, le niveau de radioactivité était de 45
microsieverts/heure après que la couche de sol de surface eût été ôtée.
Seiichi Nakate avait mesuré la couche de sol de surface, avant qu’elle
ne fût ôtée, et elle titrait alors 360 microsieverts/heure, ce qui à
louche doit correspondre à 2000 millisieverts/an. Pour comparaison, la
dose admissible en France est de 1 millisievert/an, à savoir 2000 fois
inférieure.
23 juin 2011 : A Fukushima City : 81,37 microsieverts/heure = 710 millisieverts/année !Et Le Gouvernement Japonais dirait sûrement que ce ne sont que de méchantes rumeurs !C’est tout simplement 710 fois supérieur à la norme, l’ancienne norme Japonaise qui est toujours prévalente en France. Faut-il répéter : 710 fois supérieur à la norme.
Ne serait-ce pas un seuil limite d’évacuation ? Rappelons que
Fukushima-City, à 60 km de la centrale nucléaire, ne fait pas partie de
la zone d’évacuation. Rappelons aussi que le seuil d’évacuation pour
Tchernobyl était de 5 millisieverts/année. GENOCIDE.
23 juin 2011 : Obama et la Croix-Rouge déclarent l’état d’alerte pour les deux centrales nucléaires du Nebraska.Cette déclaration est toute fraîche :
les USA ont été obligés de réagir car la presse internationale
commençait à être un peu trop bavarde, surtout la presse alternative
d’ailleurs. La centrale nucléaire de Cooper est toujours opérationnelle
et elle est à 10 cm (de crue) de stopper toute activité. Quant à celle
de Fort Calhoun, l’eau monte inexorablement et va encore monter plus. La
situation n’a pas été facilitée par le passage récent de tornades sur
le Nebraska. La centrale de Fort Calhoun a vu passer des vents de 140
km/heure. Ces tornades avaient d’ailleurs été annoncées, deux jours
avant, par le blogger Dutchinse, un expert à déceler les anneaux de HAARP ! Il n’y a pas qu’à Fukushima que cela bricole ferme.
23 juin 2011 : Obama et la Croix-Rouge déclarent l’état d’alerte pour les deux centrales nucléaires du Nebraska.Cette déclaration est toute fraîche :
les USA ont été obligés de réagir car la presse internationale
commençait à être un peu trop bavarde, surtout la presse alternative
d’ailleurs. La centrale nucléaire de Cooper est toujours opérationnelle
et elle est à 10 cm (de crue) de stopper toute activité. Quant à celle
de Fort Calhoun, l’eau monte inexorablement et va encore monter plus. La
situation n’a pas été facilitée par le passage récent de tornades sur
le Nebraska. La centrale de Fort Calhoun a vu passer des vents de 140
km/heure. Ces tornades avaient d’ailleurs été annoncées, deux jours
avant, par le blogger Dutchinse, un expert à déceler les anneaux de HAARP ! Il n’y a pas qu’à Fukushima que cela bricole ferme.
22 juin 2011 : Une devinette : Mais où est le combustible usagé à Fort Calhoun ? En 2009, la piscine de stockage du combustible usagé était pleine. Donc, l’opérateur a fait transférer une partie de ce combustible ailleurs, afin
de laisser de la place aux évacuations subséquentes d’uranium ayant
rendu de fiers services à la Patrie. Dans les centrales nucléaires des
USA, « ailleurs » n’est jamais franchement bien loin. Donc, le
combustible usagé a été stocké sur le site, à sec, dans des containers
nucléaires. Où sont-ils ? Et bien, selon les informations non
officielles, ils seraient dans le petit bâtiment à côté du réservoir
blanc. Les pieds dans l’eau ? Bien évidemment mais peut-être même plus
encore mais, pas de soucis, tout va bien : dans le Nebraska, il s’agit
d’une inondation catastrophique, il est vrai, mais pas encore d’un
tsunami.
Et les containers, c’est du lourd et du costaud : chacun fait près de 150 tonnes une fois chargé d’uranium en déperdition. Quelle est la société responsable de ce type de manipulation : Transnuclear Inc,
une division du très célèbre AREVA, l’empoisonneur public n°1 en France
dont le capital est à plus de 90 % dans les mains très sales de l’Etat
Français.
Pour les curieux, sur ce dossier image,
de nombreuses illustrations de containers de stockage de déchets
radioactifs en sus de l’histoire de la construction de Fukushima.