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popov

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  • popov 26 novembre 2011 18:50

    @jaja


    « de colons venus majoritairement d’Occident. »

    Les Juifs ont été expulsés de la Palestine par les Romains au premier siècle. Aux septième siècle, les meutes arabo-mahométanes ont envahi la région. Ce sont les Arabes les colons. Ce sont eux qui ont envahi, colonisé, arabisé et islamisé cette région, comme ils l’ont fait de la Mésopotamie, de l’Egypte et du Maghreb.

    Je comprends la tragédie des Palestiniens. Ils sont nés là et ils ne connaissent pas d’autre pays où ils pourraient se sentir chez eux. Leur situation est un peu la même que celle des Français d’Algérie. Leur seule faute est d’être les descendants de l’envahisseur. D’un côté, les Israéliens les traitent beaucoup plus humainement que les sauvages du FNL ne l’ont fait des Pieds-Noirs, d’un autre côté, ces derniers avaient quand même la France où se replier, tandis que les Palestiniens eux, les Arabes s’en foutent. Tout ce qui interesse les pays arabes, c’est de ne pas perdre un territoire qu’ils ont volé et qu’ils considèrent comme une terre musulmane parce qu’ils y ont planté une mosquée sur les ruines du temple juif. La mosquée de Jérusalem, ce trophée, ce symbôle de l’impérialisme mahométan, construite comme un peu partout ailleur à l’endroit d’un ancien lieu de culte pour bien humilier les peuples conquis.

    Si j’était Palestinien, je ferais un bras d’honneur à l’islam et aux pays arabes, et me convertirais au judaïsme, ce qui me donnerait le droit d’immigrer en Israël. Et si tous les autres faisaient de même, toutes les régions de la Palestine seraient regroupées pacifiquement et les Palestiniens-devenus-Juifs auraient enfin un avenir à offrir à leurs enfants.

    Et au lieu de se lamenter bêtement sur le mur des lamentations, les Israéliens pourraient raser la mosquée de Jérusalem (ou en faire un musée, comme les Turcs ont fait de la basilique de Constantinople), et reconstruire leur temple.


  • popov 26 juillet 2010 19:46

    @CLOJEA
    « C’est leur responsabilité d’être devant les médias et d’expliquer qu’extrémistes musulmans et adeptes du Coran sont deux choses différentes. »

    Vous avez tout-à-fait raison, mais j’ai peur que cette phrase ne soit mal interprétée. Vous opposez musulmans et islamistes, mais le discours politique oppose généralement islam extrémiste et islam modéré.

    Extrémistes musulmans et adeptes du coran sont bien deux choses différentes, par contre, extrémisme musulman et coran ne font qu’un.

    Dans l’islam, on peut distinguer les extrémistes et les modérés, mais on ne peut pas distinguer un islam extrémiste et un islam modéré. Il n’y a qu’un islam, tel qu’il est défini par le coran, et cet islam n’est modéré que lorsqu’il est en position de faiblesse. Les musulmans modérés ne sont pas modérés parce qu’ils appliquent le coran mieux que les extrémistes, mais parce qu’ils l’appliquent moins.

    La responsabilité de nos politiciens de nos politiciens est double :

    1  S’attaquer résolument à l’islam qui est un cancer de l’humanité.
    Expulsion de tous les imams salafistes dans un premier temps, remplacement progressif par des imams formés par l’état (la Malaisie, pays musulmans, a bien décidé de former les prêtres hindous), interdictions des prières dans l’espace public, refus absolu de tout « aménagement raisonnable » comme les horaires de piscine, la polygamie de fait, exemption des cours de gymnastique ou de sciences, repas halal dans le écoles, prisons, entreprises, bref de toutes revendications faites au nom de l’islam.
    Dans ce but, il faudra peut-être abandonner provisoirement le principe de laïcité et en revenir au système plus pragmatique du concordat de Napoléon où l’état ne reconnait une religion que si elle se plie à certaines conditions — et dans ce cas, la religion n’est pas seulement reconnue, mais subventionnée.

    2 Protéger la majorité silencieuse des musulmans modérés qui sont les premières victimes de l’islam.
    Je connais beaucoup de musulmans qui sont pour la séparation de la religion et de l’état mais qui n’osent pas s’exprimer parce qu’ils sont soumis à des pressions énormes de la part de leur communauté. On leur reproche de se taire devant la montée de l’islamisme, mais ils faut se mettre à leur place. Ils ne demandent qu’à vivre normalement, travailler pour préparer un meilleur future à leurs enfants. Ils sont déjà fragilisés en tant qu’immigrants et ne peuvent risquer de s’antagoniser les éléments les plus virulents de leur communauté. Ils se souviennent peut-être aussi comment la république a lâchement laissé tomber les harkis.
    Pour protéger ces gens, la république doit non seulement les encadrer (arrêt temporaire de l’immigration en provenance des pays musulmans —jusqu’à ce qu’on ait repris la situation en main, éducation, maintien de la loi) mais aussi les valoriser. Ces gens ont des qualités que les européens ont un peu perdues, comme par exemple le sens de la famille, qu’il faut avoir l’humilité de leur reconnaître.

    On nous agite, avec raison, le spectre de la remontée du fascisme. Mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir en l’islam une forme de fascisme.
    Ce fascisme en est au stade des chemises brunes. Des gangs font régner la terreur dans les banlieues. Les dirigeants religieux ne font rien. L’état n’ose rien faire. Les dirigeants religieux n’attendent qu’une chose : que l’état démissionnaire leur demande de rétablir l’ordre. Ils en sont capables à cause de l’influence qu’ils exercent sur leur communauté. Les chemises brunes seront embrigadées dans des milices religieuses et deviendront des chemises noires : des SS. Au lieu de foutre le souk, elles feront régner la charia. Nous auront un état dans l’état.
    Tout cela se passe sous nos yeux, et comme d’habitude, nos politiciens nous chantent « Tout va très bien madame la marquise ».



  • popov 18 juillet 2010 16:19

    @Paradisial
    Je réponds ici à plus d’une de vos interventions.
    Si vous craignez la crise d’apoplexie, ne lisez pas mon commentaire, ou alors, laissez refroidir entre deux paragraphes.

    « Mahomet connait pas »
    Moi si, il s’agit de celui que Mustafa Kemal appelait « ce bédouin dépravé du 7ème siècle ».
    En français, on l’appelle Mahomet, et ses suiveurs, les Mahométans.
    Je sais que « Mohammed » et « musulmans » est plus politiquement correct de nos jours, mais tant que les mahométans me traiteront d’infidèle (infidèle à quel engagement que j’aurais pris avec qui ?) ou de koufar, je m’en tiendrai aux termes Mahomet et mahométans parfaitement corrects en français.

    « c’étaient systématiquement des guerres où le polythéisme tentait de décimer le monothéisme »
    Vous voulez nous faire croire que les mahométans ont conquis un immense empire colonial en quelques décennies uniquement par des guerres d’auto-défense contre les méchants polythéistes ? Les mahométans veulent imposer leur idole à des gens qui en ont déjà. Ils résistent, et hop, Mahomet se pose en victime pour justifier ses crimes. Une attitude typique qui s’est perpétuée.

    « L’Islam conquit les cœurs et les esprits plutôt que des terres »
    Essayez donc de raconter ces mensonges aux Espagnols. Six cents ans de colonisation ne les ont pas convaincus.
    Et ne me dites pas que les « gens du livre » (comme les mahométans appellent les juifs et le chrétiens sans leur demander si ce terme leur plaît) étaient bien traités. Ils n’ont pas été exterminés parce qu’il fallait bien que quelqu’un s’occupe de l’agriculture et de l’artisanat, activités indignes aux yeux de ces envahisseurs fainéants.

    « Mon Islam, celui que je défends, est l’Islam des Lumières »
    Il y a longtemps que les lumières se sont éteintes. Presque deux milliards de victimes d’un abrutissement voulu accouchent de deux prix Nobel en sciences. Comparez avec le minuscule peuple juif.
    Pouvez-vous me citer une seule innovation technologique que les mahométans ait donné à l’humanité au cours des 5 derniers siècles ? Aujourdh’hui tout ce qu’il y a à savoir se trouve dans le coran et les hadiths, et les seuls savants sont ceux qui qui ont avalé ces bêtisiers et sont capables de les régurgiter en pointant l’index vers le ciel comme pour usurper je ne sais quelle autorité.
    On nous répète que la renaissance n’aurait pas été possible sans les livres préservés par les mahométans. Non seulement l’idée est contestable (si c’était vrai, pourquoi les mêmes livres n’ont-ils pas produit une renaissance chez les mahométans), mais on peut se demander ce que feraient les mahométans de nos jours si c’était à refaire. Quand ils ont le pouvoir, ils semblent plus enclins à dynamiter des trésors archéologiques comme les Bouddha de Bamyan qu’à préserver des livres précieux. Et à multiplier les écoles coraniques où les petites filles apprennent à ne pas lire et à ne pas écrire.

    « Le nom même de l’Islam est dérivé de la paix »
    Georges Bush nous l’a déjà faite celle-là « Islam is a religion of peace ».
    D’après les rois de la takiya, le mot islam signifie paix. D’après nos linguistes, il signifie soumission.
    Soumission abjecte à un tyran narcissique qui demande à son troupeau de lui répéter 5 fois par jour qu’il est le plus grand, le plus beau et le plus fort, en se tapant le crane sur un paillasson.



  • popov 9 juillet 2010 14:05

    Très bon article Catherine.
    Je ne suis pas un spécialiste du droit, mais il me semble qu’un barbecue non hallal serait discriminatoire envers les musulmans si la loi de la République interdisait aux musulmans de manger du non hallal. Ils se discriminent eux-même en s’imposant une telle règle. C’est leur droit, mais qu’ils n’essayent pas de l’imposer aux autres.

    En France, les musulmans ont le droit d’ouvrir un restaurant hallal et de l’indiquer sur la vitrine. Un insoumis a le droit d’ouvrir un restaurant non hallal. En principe, il a encore le droit d’indiquer sur sa vitrine « Restaurant non hallal ». Mais s’il le fait il peut s’attendre à se faire caillasser car ce serait interprété comme une provocation, une insulte à l’islam, du racisme, du sionisme.

    Quand les musulmans disent que tout est mis en œuvre pour éviter les souffrances de l’animal, je veux bien leur accorder le bénéfice du doute, quoique, quand on voit avec quel acharnement les arabo-musulmans ont détruit les élevages de porcs des Egyptiens (Coptes) sous prétexte de grippe porcine, ont peut avoir des doutes.
    Voyez cette video, surtout la fin (âmes sensibles s’abstenir).

    http://www.youtube.com/watch?v=uscoIMTiOc8

    En ce qui me concerne, je n’aime pas subventionner indirectement cette secte mortifère, ni voir l’argent public le faire. Cela me donne l’impression de payer une taxe islamique.

    Bon, je vous quitte car j’ai encore quelques péchés à commettre avant d’aller dormir. Je vais m’offrir un petit verre de rouge et une tranche de jambon, en sachant que je ne risque pas les feux de l’enfer puisqu’allah n’est qu’un mythe. Et en versant une larme de crocodile sur cette partie de l’humanité qui se prive bêtement d’un plaisir simple de la vie.



  • popov 5 juillet 2010 17:06

    Nous avons de la chance qu’il y ait un idiot comme Abu Imran. Avec lui au moins, nous savons à quoi nous en tenir. Il nous montre le vrai visage de l’islam. Il déjoue toutes les ruses des faux-culs comme Tarik Ramadan.
    Puisqu’il aime tant la charia, je propose qu’on lui applique cette loi stupide à lui et tous ses partisans. Sous la charia, les « gens du livre » vivent en dhimmitude. Et bien qu’il soit placé en dhimmitude. Voila en gros ce que cela signifierait :

    - Le dhimmi peut pratiquer sa religion, mais avec la plus grande discrétion, car sa religion constitue en elle-même une insulte au vrai citoyen. Toute accusation d’insulte à la religion d’un citoyen sera retenue et fera l’objet d’une enquête, de façon à ce que le dhimmi vive en état d’insécurité constante.
    - Le dhimmi n’a pas de droits politiques. Il ne peut exercer aucune profession qui le mettrait en position d’autorité par rapport à un vrai citoyen.
    -  La peine pour un citoyen qui tue un dhimmi est plus légère que celle pour un dhimmi qui tue un citoyen.
    - Un dhimmi peut se marier avec une citoyenne, mais ses enfants doivent être éduqués dans la religion de leur mère.
     Une dhimmi peut se marier avec un citoyen, mais elle doit au préalable renoncer à sa religion.
    - Le prosélytisme est strictement interdit au dhimmi et sera puni avec une sévérité extrême.
    -  Le dhimmi ne reçoit aucune prestation sociale. Au contraire, il doit payer une taxe supplémentaire destinée à l’appauvrir et à l’humilier.

    Évidemment, si un politicien Européen proposait une telle loi, on lui demanderait à juste titre s’il l’a tirée de Mein Kampf. Et bien non, cette loi est tirée tout droit de Mein Korampf.
    Les Serbes ont vécu sous ce régime pendant des siècles. Les Coptes vivent aujourd’hui encore sous une forme mitigée de cette loi. Et je vous assure qu’il vaut mieux être musulman en Inde qu’Hindou au Pakistan.

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