Une connaissance « hippie,à bas les frontières » , quelques mois de boulots par ans dans les cueillettes et après dorage de pilule au soleil du tiers monde ne partira pas cette année, dix kurdes, « refugiés » dan sa petite ville de province ramasseront les pommes à sa place.
J’en ris encore.
Des dizaine de milliers de « tony montana » se dirige vers l’Europe, vivement les réjouissances.
C’est etrange de produire une analyse pertinente sur le travail sur une autre fil et de venir ici nous sortir cette vieille rengaine capitaliste.
Moi je prend n’importe quel emploi à condition qu’il soit remunerer à sa juste valeur ce qui n’est pas le cas de ce où le manque de main d’oeuvre est criant.
A 16 j’ai quitté l’ecole et suis devenu serveur, je gagnais bien ma vie, pouvais voyager et mettre de coté en travaillant huit mois par an. Depuis 15ans ce metier se precarise et je l’ai abandonné.
La restauration et le BTP ne manque pas de main d’oeuvre mais de main d’oeuvre DOCILE qui accepte les heures impayés, le smic horaire pour une vie familiale détruite, la mobilité sans prise en charge etc et les personnes qui tiennent votre discours s’apprêtent à leurs fournir de l’esclave en masse.
Déjà que l’immigré, quelques soit sa conscience de classe est de fait un sous proletaire en puissance alors le réfugié.
Ne laissez pas votre émotion détourner votre intelligence.
Et pendant tout ces drame on détruit le droit des travailleurs en France, ce que viennent chercher les migrants est à défendre en priorité.