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  • Premier article le 14/04/2012
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Derniers commentaires



  • lsga lsga 10 juin 2011 14:59

    Je ne vois pas ce qu’il y a de compliqué à expliquer aux élèves de 6ème que si ils frottent leurs sexes dans la paume de leur main ou avec le bout de leur doigts ils vont trouver ça très agréable. 


    Certes, la plupart l’apprennent ’par eux-même’ : c’est à dire dans leur famille ou avec leur amis ; mais pour tout(es) les pauvres gamin(e)s qui vivent dans un cadre familiale pathogène de type religieux ou moraliste cela ne va pas de soit. Ces enfants ont le droit à un équilibre mental et sexuel : nous avons le devoir de leur expliquer que la masturbation est agréable et qu’en aucun cas elle n’est ’condamnable’. 

    C’est une question d’éthique et de responsabilité. 




  • lsga lsga 10 juin 2011 11:49

    une seule chose à dire :


    looooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooool


  • lsga lsga 10 juin 2011 11:29

    «  Au contraire. La fellation est devenu un acte aussi banal qu’un baiser. Et par conséquent ils se mettent en danger.  »


    A partir de quel age ?

    « Ma mère nous apprends que c’est mal. De plus, on ne doit pas parler de contraception. »

    Quelle horreur ! Comment des propos pareils peuvent-ils être encore tenu au 21ème siècle ? L’abomination religieuse, les monstres ’moralistes’ devraient être dénoncés dans le cadre des cours d’éducation sexuelle. De la même manière qu’il est important d’enseigner aux enfants de se méfier des pédophiles (fussent-ils de leur famille), on devrait leur enseigner de se méfier des intégristes religieux (fussent-ils leurs parents). 

    Il n’est pas question ici pour moi de juger d’une religion ou de son application, néanmoins se voiler la face ne permettra pas aux élèves de vivre une sexualité épanouie et respectueuse de leurs partenaires. (quel qu’il soit) 

    Tout à fait, et l’exemple de Philippe Devilliers sur le sujet est plus que révélateur. Pendant qu’il tentait de convaincre la France entière que « le sexe, c’est mal », son fils aîné sodomisait sonpetit frère. Si ces deux là avaient reçu une éducation sexuelle de qualité ; un drame aurait put-être évité. Peut-être apprendra-t-on un jour que le prêtre des enfants de Christine Boutin ait abusé d’eux ; et elle regrettera alors de ne pas avoir abordé la question avec eux.

    Néanmoins, je trouve dommage que les ados utilisent uniquement les vidéos pornos pour leur apprentissage, avec l’irrespect complet dans la femme devenue objet sexuel

    Tout à fait. Entre initier les enfants à la sexualité en les incitant à jouer au docteur ou à ’touche pipi’ entre petites filles et petits garçons ; ou les laisser être confronter seul et brusquement à toute la violence de la sexualité masculine adulte la plus perverse qui circule sur Internet.... le choix est simple. 



  • lsga lsga 10 juin 2011 11:05
    Enseigner la masturbation aux enfants entrant dans la puberté est certainement une très bonne idée pour le bon équilibre psychologique des adolescents. Beaucoup de mères et de pères de familles, non catholiques, pratiquent cet enseignement à leurs garçons ; beaucoup plus rarement à leurs filles. En effet, l’enseignement sexuel dans le cadre familiale se fait souvent par peur de voir son enfant devenir ’homosexuel’. Dans la France profonde et prolétaire (souvent anti-clérical), il n’est donc pas rare de voir des parents offrir du ’matériel’ érotique voir pornographique à leurs gamins. En revanche, il y a un réel déficit d’enseignement sexuel aux petites filles ; et souvent elles n’apprennent les joies de la masturbation que tard dans leur puberté (14-15ans). 

    A titre personnel, ce sont mes parents (psychologue et psychiatre) qui m’ont expliqué comment me masturber quand j’avais 10ans et demis. J’ai ensuite fait mon éducation sexuel avec les PlayBoy de mon père. Je n’étais pas une exception, et pas mal de mes camarades de classes de 6ème-5ème avait le droit à du ’matériel’ fournit directement et explicitement par leurs parents : calendrier érotiques, télévision et magnétoscope avec canal + dans la chambre, voir directement des vidéos porno (plus vers la 4ème ). Aujourd’hui, avec Internet, j’imagine que tout cela a dut être bouleversé. 

    Incontestablement, beaucoup de jeunes adolescents n’ont pas la chance d’avoir une éducation sexuelle de qualité. Les jeunes filles sont trop souvent bercées dans la mystique de la virginité et du danger (si ce n’est de la ’souffrance’) de l’acte sexuel. Bien des jeunes qui naissent dans des familles ascientifiques, moralistes et dogmatiques (musulmanes, catholiques, etc.) reçoivent même un enseignement anti-sexuel qui peut s’avérer désastreux pour le bon développement moral et psychologique de l’enfant. Il est donc normal que l’Education Nationale comble se déficit en apportant à tous les enfants de la République un enseignement sexuel de qualité. 

    Toutefois, une éducation sexuelle juvénile idéale devrait être similaire à une éducation au goût idéale : elles devraient être essentiellement une éducation au plaisir. Or, l’enseignement au goût dans le cadre de l’Education Nationale s’est traduit par les cantines : de véritables mangeoire où les enfants sont gavés collectivement. Un enseignement sexuel qui se traduirait par un équivalent de la cantine scolaire serait bien entendu catastrophique... 


  • lsga lsga 7 juin 2011 09:12

    La chasse aux pédophiles signe la mort de la pensée critique. 

    Cet ultime tabou permet aux moralistes de tout poils et à l’extrême droite de ramener au premier plan un vocabulaire qui leur est cher : vice, monstruosité, Mal, peine de mort, etc.

    Il est urgent de dépassionner le débat. La pédophilie est une question de santé publique. Ce ne sont pas aux journalistes, aux politiques, ou aux philosophes de s’exprimer sur le sujet ; mais bien aux médecins, pédiatres, psychiatres et juristes. 
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