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Legestr glaz

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J'en pince pour vous

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  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 12:43

    @Eric F

    Cela commence à se voir très sérieusement, sauf chez les aveugles !

    SARS-COV-2 Introuvable.

    Peut-être que la principale preuve que la théorie virale pathogène est problématique est qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que les particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées de tout produit ou fluide corporel d’un être humain malade ou chez un animal.

    En utilisant la définition communément acceptée de « l’isolement », qui est la séparation d’une chose de toutes les autres choses, il existe un consensus général sur le fait que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie.

    Au 11 septembre 2022 et à la suite d’enquêtes approfondies via des demandes d’accès à l’information (FOI) coordonnées par Christine Massey, aucune des 209 institutions principales de santé ou scientifiques dans plus de 35 pays ont été en mesure de fournir des preuves directes de l’existence présumée du virus SARS-CoV-2.

    Il a été demandé aux institutions de produire tout document démontrant que « la purification du « SRAS-CoV-2 » aurait provoqué une maladie chez l’homme ( via macération, filtration et utilisation d’une ultracentrifugeuse ; ), directement à partir d’un humain malade... »

    À de nombreuses reprises, après avoir admis qu’aucune preuve de ce type n’était détenue, des institutions telles le ministère néo-zélandais de la Santé a admis : « il existe plusieurs exemples de virus isolés et cultivés en laboratoire. » Cependant, les exemples mentionnés sont universellement des expériences de substitution de culture de tissus, dans lesquelles le mot « isolement » s’est détaché de son sens compris et il n’a pas été démontré qu’une particule, imagée ou imaginée, possède les propriétés d’un virus pathogène.

    Quoi qu’il en soit, cela nous détourne du problème plus large exposé par les demandes de FOI, à savoir que les particules prétendument virales ne peuvent jamais être trouvées chez les sujets humains.

    La virologie a trouvé des excuses pour cette absence de preuves, mais même en tenant compte de cette lacune embarrassante, elle manque d’endroits où se cacher alors que ses différentes méthodologies sont de plus en plus scrutées par des personnes extérieures au domaine.

    Cet essai décrit les nombreux aspects de l’anti-science de la virologie qui ont été utilisés pour entretenir l’illusion de l’existence de virus pathogènes.

    La situation est devenue de plus en plus dangereuse et depuis début 2020, la « pandémie » de COVID-19 est utilisée comme cheval de Troie pour mettre l’humanité à genoux.



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 11:37

    @Eric F

    Ces décès ne sont pas en lien avec une « infections virale ». C’est bien l’immense problème de la « virologie » qui attribue ces décès à des « virus » inexistants.

    C’est bien l’immense problème que cause la virologie qui masque totalement les véritables causes de ces décès. 

    C’est simplement épouvantable de tromper les gens de cette façon. Et pendant ce temps, la « vaccination » fait engranger d’énormes profits à l’industrie du vaccin mais engendre aussi des réactions immunitaires inappropriées.

    Vous avez l’offuscation sélective Eric F. Moi, ce qui me navre, c’est que l’on passe totalement à côté des soins que l’on pourrait apporter aux malades, même à titre préventif, en mettant en scène des virus. Parce que, pour « combattre » ces pseudo-agents pathogènes il n’existe qu’une seule solution : la vaccination ! En revanche si l’on pense « système immunitaire » et « voies métaboliques », il est possible de trouver des solutions pour sauver certaines vies.

    Les milliards de morts d’infections virales seront ravis d’apprendre qu’ils ont été bernés dans les grandes largeurs.



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 11:03

    @Legestr glaz

    Suite...

    ... Les institutions de « santé » et les grands médias entretiennent l’illusion du virus à travers le contrôle de l’information et des récits que prétend la virologie des perroquets.

    La fraude virologique se retrouve désormais au cœur de la fraude liée au COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures au domaine de la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut finalement être démantelé et enterré.

    Le but de cet essai est de réfuter les diverses affirmations selon lesquelles des virus pathogènes existent et provoquent des maladies.

    Le SRAS-CoV-2 a été utilisé comme exemple principal, mais les principes s’appliquent à tous les soi-disant virus.

    Ce qui suit examine la littérature souvent obscure sur la virologie dans ses propres termes, ce qui, il faut le dire, peut rendre certaines parties de cet essai un peu lourdes à lire. Nous espérons cependant que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur cherchant une compréhension plus technique de l’hypothèse virale, car elle cherche à exposer les fondements mêmes des soi-disant pandémies et des pratiques médicales frauduleuses.

    La menace que représente la virologie pour l’Humanité s’accroît, il est donc temps de dire adieu à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de se libérer de nos peurs inutiles.



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 10:58

    @Gollum

    copié-collé : « Absolument, la pollution provoque des inflammations rendant plus sensible à une infection virale. »

    Absolument pas, cette assertion est totalement fausse. La pollution atmosphérique à des effets à « court terme » et à « long terme », a également des effets cumulatifs.

    Ce qui rend « sensible » aux maladies respiratoires, c’est effectivement un affaiblissement du système immunitaire. Mais les « virus » n’ont strictement aucune place dans cette équation. Ils sont une invention « in silico ». il suffit de considérer simplement la réalité observable pour s’en rendre compte. Les organismes à l’immunité affaiblie sont les principales « cibles » lors de l’augmentation, momentanée, des taux de pollution atmosphérique. Qui pourrait s’étonner de cela ? Plus de pollution c’est plus de malades, rien d’autre.

    ... « La virologie a inventé le modèle viral, mais n’a toujours pas réussi à répondre à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après transmission entre hôtes tels que les humains, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus d’organismes dits atteints de maladies « virales ». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification des significations des mots du dictionnaire afin de soutenir leurs pratiques. anti-scientifique. Par exemple, un isolat « isolé » ne nécessite pas l’existence physique de particules pour se voir attribuer le statut « isolaté ».

    Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les « virus » tels que le SRAS-CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, n’existant que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées considérées comme « virales ». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des « pandémies » entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement étayées par des réactions moléculaires in vitro (« éprouvettes »). »...



  • Legestr glaz Legestr glaz 17 mai 10:28

    @Eric F

    En conclusion, l’exposition à la pollution atmosphérique, en particulier au NO 2et aux PM 2,5,peut augmenter la susceptibilité à l’infection et à la mortalité due au COVID-19.

    Les données disponibles indiquent également que l’exposition à la pollution atmosphérique peut influencer la transmission du COVID-19. De plus, la pollution de l’air peut avoir des effets néfastes sur le pronostic des patients touchés par l’infection par le SRAS-CoV-2.

    Les résultats de recherche disponibles sur ce sujet peuvent aider les épidémiologistes à sélectionner une mesure appropriée pour prévenir une telle épidémie à l’avenir. Il convient également d’accorder une attention particulière aux communautés pauvres, qui sont susceptibles d’être exposées à la pollution de l’air intérieur, contribuant ainsi à un risque accru de tomber gravement malade à cause des infections au COVID-19.

    La qualité de l’air doit être considérée comme un élément important d’une approche intégrée de protection de la santé publique et de prévention de la propagation des épidémies.

    Des recherches plus approfondies devraient être menées en se concentrant sur d’autres facteurs de confusion tels que l’âge et les conditions médicales préexistantes ainsi que l’exposition prolongée au NO 2, aux PM 2,5et à d’autres polluants atmosphériques pour confirmer leurs effets néfastes sur la mortalité due au COVID-19.


    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33324598/

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