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Legestr glaz

Legestr glaz

J'en pince pour vous

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  • Premier article le 30/06/2016
  • Modérateur depuis le 09/03/2017
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Derniers commentaires



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 13:39

    @Francis, agnotologue

    Une toxine ne se « réplique pas ». Une toxine doit être éliminée par le système immunitaire, ce qui est souvent à la charge des macrophages qui « oxydent », généralement à l’aide de H2O2, ces toxines (provoquant ainsi une augmentation du stress oxydatif qui devra être équilibré, ensuite, par l’intervention « d’anti-oxydants ».

    Les virus, les supposés virus, sont décrits comme des entités qui se « répliquent » en utilisant l’activité et les ressources de la cellule. Ainsi les virus prolifèrent dans l’organisme, à tel point, que, jamais, ils n’ont pu être trouvés directement dans les sécrétions humaines ! Les « virus » existent simplement « in silico ». 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 13:01

    @Eric F

    Je sais que je ne suis pas compétent, mais d’autres le sont. Je vous le répète : je ne fais « que » des mises en perspective, ce que vous ne faites pas d’ailleurs.

    Les études randomisées sont donc à mettre à la poubelle parce que, selon vous, la « méthode évolue » ?

    Vous savez Eric F, quelle que soit la « méthode utilisée », il « suffirait » de réaliser la procédure d’isolement et de purification en présence d’un « témoin ». Quelle que soit la méthode, même celle que vous pourriez préconiser. Il suffirait d’utiliser les sécrétions d’une « personne saine » et de lui appliquer le même processus que celui appliqué sur la sécrétion de la « personne malade ».

    Est-ce que ceci vous pose un problème particulier concernant la « méthode » ? De quel « complotisme » s’agit-il ? De réaliser la recherche virale en présence d’un « prélèvement témoin », c’est faire preuve de « complotisme » ? Je ne comprends pas vraiment cette logique. C’est difficile ? Et bien non. Mais c’est visiblement redoutablement dangereux pour la virologie.

    Je vous le répète. Certains biologistes ont fait cette « expérience » de recherche virale « contre témoin ». Il se trouve que ce « témoin » réagit exactement comme le prélèvement étudié. Ce qui prouve que c’est le processus qui provoque la mort cellulaire et l’émergence de certaines protéines, et non des « virus ». Et l’expérience de Milton Rosenau nous rappelle que les sécrétions de personnes malades n’ont jamais pu infecter des personnes saines prouvant ainsi que ces sécrétions ne contenaient pas « d’agent pathogène ».

    La question centrale demeure Eric F : pourquoi la « virologie » refuse t-elle de réaliser l’isolement et la purification virale contre « témoin ». 

    Je pense que vous m’avez compris.



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 12:47

    @Gollum

    Documentez vous mieux Gollum. Les « virus géants » ne concernent pas les êtres humains, ils sont inoffensifs.

    Ils ont été découverts récemment et les chercheurs pensent déjà à modifier leur nom parce leurs caractéristiques ne correspondent pas du tout, du tout, du tout, avec celles que les « attribue » aux supposés « virus ». Vous savez ceux qui n’ont jamais été isolés ou purifiés. Ceux qui procèdent de l’imagination fertile de certains.

    Et donc les « virus géants » ne dérangent en aucun façon la théorie virale classique que je n’adopte pas. 

    Si vos sources c’est Wikipédia, je comprends que vous ayez un peu de difficulté à l’allumage. Mais vous allez vous améliorer.

    Je vais vous aider un peu. Voici.

    « Ces nouveaux types de virus sont partout, dans la mer, les sédiments, le permafrost », souligne Jean-Michel Claverie, directeur du laboratoire IGS d’Aix-Marseille, à l’origine des découvertes.

    Ces virus, tous différents, sont sans danger pour l’homme. Leur hôte est une amibe. Mais s’ils ont été très bien conservés dans le permafrost pendant 30 000 ans, cela veut dire qu’il est possible que d’autres virus infectieux s’y trouvent.

    Tous ces éléments mis bout à bout montrent à quel point les virus géants sont complexes sur le plan génétique, autant que certains organismes cellulaires. C’est pourquoi, aux yeux de certains scientifiques, dont Jean-Michel Claverie et Chantal Abergel, ces nouveaux venus devraient être considérés comme des formes de vie à part entière. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Les virus sont en effet exclus du vivant car, à la différence des organismes cellulaires, ils sont incapables de se reproduire hors de la cellule qu’ils infectent. Avec les virus géants, cette définition arbitraire pourrait un jour être revue, pensent certains, et une nouvelle branche du vivant créée spécialement pour eux, en plus des trois autres déjà existantes que sont les bactéries, les archées et les eucaryotes.

    Une question Gollum : auriez fait un transfert de personnalité pour vous prendre pour une amibe ?



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 10:14

    @Eric F

    En réalité, et pour faire simple, Eric F, ce que vous refusez d’accepter c’est l’idée que le processus « d’isolement et de purification virale » est réalisé sans « témoin ». 

    C’est bien cette absence « obstinée » de « témoin », lors de la procédure d’isolement et de purification, qui pose problème parce que « nul ne peut savoir » si c’est le « processus » lui même qui produit les résultats ou pas.

    C’est sur ce point précis que les biologistes qui contestent l’existence virale s’appuient, indiquant que la « méthode scientifique rigoureuse », c’est à dire « contre témoin », n’est et n’a jamais été appliquée. Mais la virologie refuse de réaliser cette recherche « contre témoin ». Et pourquoi la virologie refuse t-elle une étude « randomisée » contre vents et marées ?
    Et bien, tout simplement, parce que des chercheurs indépendants ont mené ce genre d’étude et ont constaté que c’est bien le processus qui donne le résultat : le « témoin » réagit exactement de la même façon que l’échantillon objet de l’étude.

    Ceci est aujourd’hui un « secret de polichinelle ». 



  • Legestr glaz Legestr glaz 18 mai 08:52

    @Dr Khadija Moussayer

    Il faut bien accepter l’idée que les êtres humains, pour leur alimentation, sont sur des équilibres très fragiles. La famine n’est jamais loin. Pour nourrir aujourd’hui 8 milliards de personnes il faut produire des tonnes et des tonnes de denrées alimentaires. Sans ces productions de masse, les famines seraient vite à nos portes.

    Les céréales constituent aujourd’hui une part majeure de l’alimentation humaine. Il se trouve que ces céréales, pour diverses raisons, sont mauvaises pour la santé et rendent les humains malades. Mais le système de production à grande échelle qui a été mis en place fait la part belle aux « profits » et non à la « santé ». Nous sommes, je parle de l’humanité, dans une sorte d’impasse.
    Seule la permaculture, développée à l’échelle planétaire, pourrait sauver la situation. Mais la promotion de celle-ci n’est pas assurée parce qu’elle ramènerait les agriculteurs vers un mode de production locale, avec des circuits courts, lesquels « interdisent » et sont « contradictoires » avec les profits que génère aujourd’hui l’agro-industrie. La « santé » des êtres humains est peu importante, c’est bien la notion de « profits » qui l’emporte.

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