@Séraphin Lampion Excellent ! J’allais évoquer l’importance de la ponctuation. Un défaut de ponctuation peut inverser le sens de la phrase. Malheureusement, je n’ai plus l’exemple en tête. Cet article nous montre un « cas d’école » (! !!) navrant !
Mais pourquoi y voir de l’antisémitisme là-dedans ?On y voit, à tort ou à raison, le rôle joué par nos deux lascars. Rien à voir avec la confession religieuse de l’intéressé. Par définition, une caricature force le trait que soit pour le visage ou l’idée à faire passer. C’est la condition nécessaire pour le succès d’une caricature. Là, c’est tellement bien réussi que certains voudraient la censurer
« La France admet des immigrés légaux, ... . Cela ne pose pas de problèmes. »
Houlà la !Si justement, cela pose des problèmes : le communautarisme de l’immigration légale maghrébine, subsaharienne, turque nous cause beaucoup de soucis. Ce type d’immigration, musulman, est le plus important et le plus fécond. Les français d’origine immigrée musulmane, français par droit du sol, refusent de plus en plus l’assimilation !
@Ouam (Paria statutaire non vacciné) Le traité de Marrakesh : ce n’est pas un traité, il n’a aucune valeur contraignante. Il n’a aucune valeur juridique. Le but de ma réponse était de : — contester les arguments de l’auteur contre le régime présidentiel actuel et de justifier sa mise en place (l’instabilité des gouvernements et l’impasse sur la guerre d’Algérie. — de justifier l’attitude de Gaulle : c’était en 1958 et non pas en 2022. Evidemment, c’est facile pour vous de faire de « l’humour » sur la situation actuelle de l’immigration en 2022. L’attitude de de Gaulle est celle de 1958, avant l’ouverture des vannes et en particulier le laxisme des forces de gauche ( depuis1981) et l’abandon progressif des convictions des droites.
Le point de vue de Gaulle était le bon, il n’a pas été suivi, c’est tout. D’où la situation actuelle que vous évoquez et que je dénonce inlassablement : l’incompatibilité de la civilisation musulmane et la civilisation européenne. Le sujet était donc : le régime présidentiel et cette incompatibilité bien jugée par de Gaulle, point barre. Et non pas la situation en 2022. Quand j’évoquais l’année 2022, je voulais tout simplement dire qu’aujourd’hui, avec du recul, il est plus facile de concevoir l’abandon de l’Algérie, et en aucun cas, je n’évoquais la situation actuelle périlleuse en matière d’immigration (maghrébine, turque et subsaharienne). C’est clair ?