dupont

Monsieur Sisyphe,
Pas bien compris ce qui motive le smarticon hilare mais il semblerait que ce qui se passe dans un petit abattoir soit étendu à la quasi totalité de ces établissements, comment pourraient-ils risquer de louper des marchés, ils préfèrent cela à une réorganisation coûteuse.

Donc on mange globalement confessionnel sans en être informé, reste le porc qui demeure Haram. Peut-être faudrait-il ouvrir des abattoirs distincts pour ne pas froisser nos amis musulmans dans l’attente de l’éradication complète de cette nourriture impure dans notre pays.
Qu’en pensez-vous ?

Monsieur Sisyphe,

Pour la énième fois sur ce sujet. Pour connaître un responsable d’ abattoir de « petite activité », je peux vous assurer qu’étant agréé par la Mosquée de Paris, toutes les bêtes y sont saignées par des sacrificateurs musulmans et ce depuis des années. Toutefois, cette opération se passe après étourdissement de l’animal, conformément à ce qu’avait dit Boubakeur à notre Brigitte nationale.
Il n’y a pas d’étiquetage particulier, ce qui ne va pas dans le circuit halal étant reversé sans autre forme de procès dans le circuit laïc, car organiser deux circuits distincts coûterait excessivement cher au point de mettre en cause la rentabilité de l’établissement.
Le montant des sommes versées à la Mosquée de Paris n’est pas connu par l’employé.

Cessez de stigmatiser enfin. Puisqu’on vous dit et répète que tout ça n’a rien à voir avec l’islam !

Si vous voulez vendre vos pommes, ne criez pas à la cantonade qu’elles sont pourries.
Le monsieur, (sans M), c’est et sait ce qu’il fait.
Ce qui me gêne un peu, c’est qu’il soit payé avec mes Impôts, ma CSG, ma RDS, ma TVA pour faire son apologie de la malhonnêteté. 

On prend les mêmes, on recommence et tout le monde de s’étonner que rien ne bouge.
C’est Océdar qu’il nous faut, le spécialiste du balai, qui dégagera ces inamovibles, ces phénix au plumage terne qui nous enfument depuis des décennies.
Leur faire quitter les ors de nos palais républicains dont ils ont fait leur propriété, les juger, les ostraciser, les mettre sur des chantiers, dans des usines, derrière des caisses de grande surface pour voir ce que c’est que « gagner sa vie », les installer dans les quartiers de la diversité qu’ils ont tant vantée, bref les immerger dans la France qu’ils ignorent.
Sûr que ça fera du monde à traiter, car tous les petits copains, les amis, les enfants plus ou moins compétents qui ont profité du système : à la charrette !

Je ne sais pas ce que j’ai ce matin, je suis énervé, mon café trop fort probablement.