Et puis ce n’est pas le livre qui vient à nous mais c’est sans aucun doute le contraire car si j’attends dans un supermarché mon rendez-vous chez le coiffeur un vendredi après midi j’irai volontiers vers cet espace de vie que l’on appel échange de livres et si je suis passionné par les voitures je prendrai ce livre alors qui si je suis envoûté par thoht je prendrai plutôt l’hermétisme. Dans ce cas là ce n’est pas le livre qui vient à moi mais bien moi qui vais à lui...
Vous croyez réellement que de véritables europhobe ont pris le pouvoir en Italie et qu’ils vont se tirer d’affaire en claquant des doigts ? C’est une blague de bas étage pour les jeunes militants comme un espoir de plus vers un avenir demain qui doit être pour une fois véritablement démocratique. Malheureusement c’est en slip que finira cet état puisque West Link est une formidable pompe aspirante de l’épargne européenne mais cela ne durera que le temps d’un clignotement de paupière.
Le tombeau des morts est bien dans le cœur des vivants et le souvenir d’une personne s’efface le jour même ou le dernier à s’en souvenir a cédé sa place. Néanmoins le texte était solide avec une continuité logique accompagné d’une musique admirable et quand un géant tombe c’est toute la base qui s’effondre.
Ce n’est pas parce que deux ou trois personnages ont fait un peu de dépression après avoir lu Schopenhauer que cela en fait un dangereux criminel mais surtout c’est la preuve que s’extirper de ce mensonge qu’est dieu entraîne inévitablement des conséquences à l’esprit.
Le prochain article de l’auteur sera sans aucun doute un hommage aux milliards de personnes mortes au nom de dieu ainsi qu’aux millions de chevaux...
Je remercie avant extinction totale des feux de route de me laisser poser à plat mes écrits même si cela ne représente pas totalement mon état d’esprit puisqu’il faut pour se faire comprendre condenser à fond la caisse son ressenti.