Nicolas_M

Vie spirituelle, morale, vertu, forces qui influencent l’esprit.

Tout ces mots représentent des valeurs, des éléments de votre vie qui ont du sens et de l’importance pour vous. Votre cas n’est absolument pas généralisable, il est absurde de donner comme conseil a des parents qui n’ont pas forcément le même système de valeur, la même éthique que vous, d’inculquer ces choses à leur progéniture.

A l’hôpital, une sage femme avait eu cette sage réflexion : avec les gosses, chacun fait comme il veut, et surtout comme il peut.

Votre article est une excellente réflexion, mais qui ne peut s’appliquer qu’à quelques dizaines de pseudo philosophes new âge portés sur un culte à l’enfance très contemporain.

Depuis 6-7 millions d’années d’hominidés, la seule façon d’éduquer les enfants c’est leur apprendre ce que l’on sait pour survivre quand ils en ont besoin, les corriger (verbalement, via les privations, avec un gourdin ...) si leur comportement nuit à la famille, et c’est tout. Se prendre davantage la tête, c’est non seulement se pourrir la vie à soi (et historiquement, les enfants ont TOUJOURS eu moins de valeur que les adultes, eh oui, donc évitez avant tout de vous prendre la tête pour eux), mais aussi pourrir la vie à ses enfants. Ben oui, en leur donnant une boussole pour s’orienter dans la vie, ça ne leur apprend pas à trouver leur propre boussole. Ca les enferme dans une dépendance avec leurs parents au lieu de les émanciper.

Eveiller les enfants à la vie spirituelle, c’est un crime contre leur propre vie spirituelle, qui ne peut s’éveiller que par leur curiosité propre. Et si ils n’ont pas cette curiosité qui arrive, c’est qu’ils n’ont aucunement besoin de vie spirituelle. Oui, cela risque de vous surprendre, beaucoup d’humains n’ont simplement pas besoin de se prendre la tête avec la morale, la vertu ou leur propre esprit, et ils vivent très heureux comme ça.

@eddofr
La répression a montré son inefficacité ... on pourrait essayer de suivre l’exemple du Portugal, dépénaliser l’usage tout en condamnant durement les trafics. Et obliger les « malades » à suivre des stages de désintox plutôt que de leur mettre des amendes, ça serait plus efficace.

Et surtout éduquer. Chaque drogue est différente, selon son mode de consommation, l’âge du consommateur, la fréquence ... Dire « les drogues c’est mal » est absurde. Parce que les jeunes curieux et rebelles, ils voient l’interdiction comme un défi à l’autorité. Et ils vont sauter sur la première qu’on leur proposera.

Les jeunes rebelles qui vont vouloir essayer un truc interdit, il y en aura toujours. Et des petits trafics aussi. Bien sûr qu’il faut leur éviter autant que possible les drogues quelles qu’elles soient. Mais il faut aussi limiter le mal causé par leurs expérimentations qui auront de toute façon lieu. 

Les opioïdes sont des saletés hyper addictives, le LSD n’entraine aucune addiction, le shit couplé au tabac est très addictif, contrairement au cannabis pur vaporisé, la cocaïne a moins d’effet sur la santé et est moins addictive que l’alcool, il y a plein de vérités à leur expliquer.

Comme ça le jeune rebelle il prendra peut être un peu de MDMA ou une ligne de coke, mais il ne se détruira pas l’avenir avec de l’héroïne, c’est un moindre mal.

C’est pas enseigné au collège, la différence entre corrélation et causalité ? Cet article est à pleurer de stupidité ... 

C’est l’histoire de 3 hommes de Croc Magnons qui tombent en arrêt devant un arbre en feu frappé par la foudre.

Le premier s’approche, crame des chamallow et se rend compte que c’est bon, il appelle le feu miam-miam.

Le second s’approche, voit que ça le réchauffe, il appelle le feu chaud-douillet.

Le troisième s’approche, se crame, il appelle le feu ouille-ouille-ouille.

Plus tard, les 3 hommes des cavernes discutent de leur découverte. Et comme ils n’ont pas regardé le feu du même œil, ils se disputent sur la vraie nature du feu et à son utilité. Vu qu’ils sont un peu limités, ils en viennent aux mains, puis aux gourdins, et finissent par s’assommer mutuellement.

La morale de cette histoire ? On s’en tape de si on appelle l’autisme une chance, une tare, une maladie à soigner ou un handicap. L’autisme reste un simple mot qui couvre tout un tas de comportements très différents, que chacun gère comme il peut. Chacun fait selon son éthique, son ressenti, pour vivre avec, soigner, ignorer, glorifier, un proche ou une connaissance autiste.

La Tunisie, j’y ai fait un tour sous Ben Ali, fin des années 90, à l’époque où le gouvernement se vantait de lutter activement contre toute forme d’islamisme radical. C’était dégueulasse. Aujourd’hui, le régime a changé, c’est toujours dégueulasse.

Conclusion, les gouvernements n’ont absolument rien à avoir avec la propreté des peuples qu’ils gouvernent.