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barbarossa

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Tableau de bord

  • Premier article le 12/08/2017
  • Modérateur depuis le 15/08/2017
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Derniers commentaires



  • barbarossa 27 novembre 2018 03:24

    Le thème développé sort manifestement du scientifique pour se positionner uniquement dans l’émotionnel, partisans et opposants étant irréconciliables.

    Or, au lieu de suivre les thèses de n’importe quel gourou on ferait mieux de

    se forger sa propre conviction en partant de données de base qu’aucun camp

    ne conteste, soit les chiffres des soi-disant gaz à effet de serre dans l’air, leur

    temps de formation et de dissipation et utiliser la bonne vieille règle de trois.

    Et, si on veut aller dans le détails  tout à fait superflus  y incorporer des données telles que l’évolution du nombre des habitants de la planète ces 150 dernières années, des voitures, du trafic aérien et maritime, de la consommations

    des énergies fossiles puis faire des projections à l’exponentielle. Et on verra enfin

    qu’on ne parle que de peanuts, des valeurs à la 5ème place après la virgule.

    Ce qui évidemment va déplaire aux catastrophistes.

    Car, comme à l’accoutumée, il n’y a que la vérité qui blesse.



  • barbarossa 27 novembre 2018 02:54

    @mmbbb
    les écologistes, les mondialistes, les fascistes, les gauchistes sont tous et avant tout militants pour leurs idées, et ne développerons à jamais que des commentaires partisans .... et donc pas dignes de foi.
    l’auteur de l’article a raison, le GIEC a été créé pour soutenir une thèse, ce n’est ni plus ni moins qu’une agence de comm’ au service d’intérêts qui n’ont
    rien à voir avec la climatologie.
    Il y moins de cent ans, lorsque la population humaine se comptait par millions, les voitures par milliers, le trafic aérien par centaines, les téléphones à 1 ou 2 par village, les tracteurs pratiquement inexistants, le réseau routier et les camions idem
    on déplorait aussi des étés caniculaires et l’église organisait régulièrement des processions ou de séances de prière pour implorer la pluie.
    Alors qu’en Afrique on dansait ....
    comme disait l’autre, c’est peut être inefficace mais ça ne peut pas faire de mal...
    les solutions envisagées aujourd’hui (qui restent du domaine des bonnes intentions) sont juste en train de faire un mal fou aux porte-feuilles .. 



  • barbarossa 27 novembre 2018 02:20

    @merthin
    et si y mets un doigt ta pendule s’arrête ... 
    quand la pendule s’appelle soleil, dis-moi comment fais tu pour la contrôler ....
    pour des comparaisons à la con ....



  • barbarossa 26 novembre 2018 20:25

    Au moyen âge les catastrophes naturelles, les épidémies c’était déjà la faute de l’espèce humaine coupable de s’éloigner des dogmes des églises, et il fallait pour se racheter prier, s’autoflageller, verser son obole. 

    Au fait, ça n’a pas beaucoup changé à ce jour, pour se racheter il faut juste payer la taxe.

    Si les arguments ont changés, la méthode reste la même : 1 on culpabilise, 2 on rackette.

    Point barre. 

    La comm’ a aujourd’hui remplacé le prêche. Ainsi on a inventé la dénomination

    « gaz à effets de serre », à fort pouvoir émotif, dont on a affublé les nuages et l’anhydride carbonique (l’air que nous expirons et dont tous les végétaux se nourrissent) le fameux CO2. A regarder un peu plus près on nous apprend que ces fameux « gaz à effet de serre » sont ainsi appelé parce qu’ils empêchent la terre de se refroidir !!! Et que la répartition de ces gaz dans l’air sont de (arrondi) 3700 parts par millions, données stables, dont 3300 de nuages (vapeur d’eau) et 360 de CO2. La part des nuages se crée et se dissout en 15 jours le CO2 en 100 ans.

    Divisez 360 par 36524,25 et 3300 par 15 et faites le rapport en pourcentage de la

    production journalière. Et le CO2 de production humaine (vie+activité) n’est qu’une toute petite fraction de celui produit par la nature. Faut-il vous rappeler que la terre est recouverte depuis des millénaires par une végétation alimentée par des millions de tonnes de CO2, alors que la vie animale y était presque absente.

    On court à la catastrophe !!! ah bon ?et comment ? L’espèce humaine sur terre, les 7 ou 10 milliards que nous sommes aujourd’hui, ne représentons qu’une belle poignée de fourmis. Si on noyait d’un coup toute la population mondiale dans le plus

    grand lac d’Europe,le Léman, son niveau ne monterait que de quelques décimètres, sans déborder. Et la superficie de ce lac représente à peine le 5% de la plus grande ferme australienne. 

    Alors, de grâce, ne nous prenons pas pour les maîtres du monde pouvant le maîtriser à notre guise.



  • barbarossa 26 novembre 2018 19:24

    @Mélusine ou la Robe de Saphir.
     le sein gauche en entrant

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