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barbarossa

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  • Premier article le 12/08/2017
  • Modérateur depuis le 15/08/2017
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Derniers commentaires



  • barbarossa 23 décembre 2018 01:45

    @Odin @Eric & consorts

    Flat tax, niches fiscales, imposition des dividendes ..... faux combats !!!

    Car toutes ses mesures, si elles étaient appliquées, n’amélioreraient en rien
    notre vie de contribuables, car les recettes ainsi récoltées ne serviraient qu’à
    augmenter les dépenses déjà fastueuses de ceux qui nous gouvernent
    (et de leurs amis envoyés pantoufler dans des structures créées et
    entretenues rien que pour ça). 
    TOUS nos gouvernants, et de tout temps, passent le clair de leur temps
    à excogiter des nouvelles méthodes pour nous faire les poches, au lieu
    de réfléchir à comment mieux gérer les finances publiques et mettre
    fin aux gaspillages.
    Rien que le taux de TVA à 20% c’est du vol.
    Je m’explique : admettons que vous êtes fabricant d’un banal verre à vin.
    Pensez à toutes les étapes de production, et à tous les frais, taxes,
    contributions qui vont peser sur le produit. Que vous allez vendre 
    disons à 0.125€ pièce (c’est à peu près la valeur), montant qui comporte
    votre marge qui, bien entendu, va être encore amputée de l’impôt
    sur le bénéfice.
    En passant par les circuits usuels ce prix va faire 3 fois la culbute
    (c’est souvent le cas), et il va donc être proposé à 1€HT, soit €1.20 TTC.
    Autrement dit l’Etat, sans rien faire et rien qu’en cette étape, va gagner
    plus de la valeur intrinsèque du produit. Sans compter tout ce qu’il a
    empoché durant tout le processus de fabrication et de distribution.
    Et cela sans investir le moindre sou et sans prise de risques.
    Ceci sur un produit banal. Si on prend des produits de marque comme
    un sac Vuitton (fabrication €40, vente €800) ou baskets Nike
    (fabrication €6, vente €230) la proportion est encore plus effarante.

    Et il y a des objets usuels où la TVA est plus de 1500 fois supérieure
    à leur prix de fabrication ! (je pense aux adaptateurs cartes SIM, vendus
    en boutique à €10 alors que leur coût est de 0.1 centime).

    La fabrication, le commerce, la vente de tous ces objets rapportent
    des sommes colossales et en cascade.

    Cela grâce uniquement aux investissements consentis par les privés.

    Et on voudrait encore taxer la capital, soit la source de cette manne ?

    Au risque de le voir migrer vers des horizons plus compréhensifs.

    Pour une plus juste taxation, je vous donne également une matière à réflexion.

    Disons que, grâce à un brevet que j’ai déposé, je touche 1 million de royalties
    par an.  Mon voisin, qui a acheté ma licence et qui donc me verse ce
    million, gagne par la fabrication et le commerce de mon produit aussi
    un million par an.
    Nous avons donc les mêmes revenus et la même taxation.
    Mais il y a une différence :
    moi, je n’ai plus aucun souci, je me la coule douce, je me lève à
    10h00 et je rentre au petit matin ; 
    mon voisin par contre il est obligé de se lever à 6h00 du matin,
    travaille tard le soir, emploie une centaine de personnes, paie des taxes,
    des contributions, des salaires et oeuvre de ce fait au bien être de tous.

    Ne devrait-il avoir une meilleure reconnaissance fiscale que moi ?
    En d’autres termes, ne serait-il pas juste de lui appliquer un abattement
    fiscal pour chaque employé (qui chacun va encore payer des impôts) ? 
    Qu’en pensez-vous ?



  • barbarossa 22 décembre 2018 09:40

    @Cateaufoncel3
    Le collectivisme, comme tu le dis très bien, ne séduit personne. C’est sur cette idée qu’est né le communisme, et par son application qu’il en est mort jeune, à 75 ans d’histoire sur des millénaires.
    Avec ses millions de morts des 2 cotés, les énormes souffrances qu’il a généré pour encore plus de monde, il n’aurait droit dans les futurs livres d’histoire qu’à quelques lignes qui seront distraitement lues.
    Ce qu’en revanche on peut en retenir aujourd’hui c’est que collectivisme signifie « tous fonctionnaires » et, en conséquence sans risque de se tromper, formuler cet axiome : les performances économiques d’une nation sont inversement proportionnelles au nombre de ses fonctionnaires.
    Suivez mon regard.
    bien à toi



  • barbarossa 8 décembre 2018 12:24

    @JL
    Annulation de la dette et ses conséquences mérite une longue explication. Peut être j’écrirai un billet là dessus un de ce jour.
    Pour faire court : aujourd’hui la BCE prête à taux X aux banques, qui elles prêtent à
    X+1 aux Etats. Ces +1 est payé par les impôts. c’est donc les banques qui encaissent l’impôt. Si la BCE rachète les crédits (autrement dit se fait rembourser les prêts qu’elle octroie aux banques) ce sera elle qui détiendra la dette publique. Ces milliers de milliards au fait n’existent pas réellement. C’est de la monnaie scripturale. Les fonds propres de la BCE se montent à une dizaine de milliards et elle en prête des milliers. Ce qu’on appelle faire marcher la planche à billets. Une simple écriture suffit à les annuler. Et les dettes des Etats disparaissent. Vous me direz que c’est simpliste. C’est vrai si on ne va pas plus loin dans les explications des mécanismes. Mais croyez-moi, c’est la réalité. Les règles empêchent aujourd’hui la BCE de prêter directement aux Etats ; mais les règles peuvent être modifiées à souhait.



  • barbarossa 8 décembre 2018 12:07

    @JL
    l’état ne peut pas taxer les bénéfices qui sont domiciliés dans les autres Pays.
    S’il met un impôt à la source, le taux d’emprunt remontera d’autant.
    donc, je répète, impossible.
    bien à toi



  • barbarossa 8 décembre 2018 02:05

    @JL
    La dette publique n’est pas détenue entièrement par les banques françaises et en plus elle est délocalisable, donc solution impossible telle que tu la préconise.
    La suppression de l’ISF, ce totem à la con, a été une très bonne pour l’économie
    française.
    Sans entrer dans le détail, une éventualité de l’annulation de la dette publique de tous les pays dans la zone euro a été avancée (voir atlantico). Cela est possible, souhaitable, sans que personne y perde quoi que ce soit, représenterait une énorme baisse de la pression fiscale et donc un pouvoir d’achat en forte augmentation.

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