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A-J Holbecq

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  • A-J Holbecq 5 septembre 2011 16:25

    Manque de cohérence..
    Vous dites " Les Etats occidentaux ont une peur de la dette qui se comprend aisément puisqu’un Etat est comme un ménage. S’il est endetté, les prêteurs sont plus exigeants et les dépenses publiques doivent être serrées.« et son contraire puisque vous proposez de monétiser ( »faire tourner la planche à billet" selon votre expression désastreuse)... ce qu’un ménage ne peut évidemment pas faire.



  • A-J Holbecq 2 septembre 2011 17:26

    Non, pas du tout, le vote utile est de ne voter que pour un candidat qui a des chances d’être au second tour ET de rentrer dans mes critères ... et si le candidat ne me plait pas, ou qu’il n’y en a pas, je voterai blanc (ce qui, je le reconnais, n’est pas un vote très utile en l’état)



  • A-J Holbecq 2 septembre 2011 13:24

    J’ai dit pour qui je ne voterai pas, mais je n’ai pas encore décidé pour qui je voterai. JLM fait parti des « possibles » mais pour la première fois de ma vie je vais sans doute privilégier le « vote utile » ; RV début avril... peu probable que je prenne une décision avant ce moment.
    Mais de toute façon, je le redis, ce ne sera pour aucun candidat ou parti qui s’est « assis » (pour rester poli) sur les choix du peuple lors du référendum de 2005.



  • A-J Holbecq 2 septembre 2011 08:44

    N’avais tu pas « signé » (moralement) cet engagement sur http://www.engagement2012.net/oui.html

    Auto-engagement de vote exclusif !

    Moi, citoyen français, profondément déçu de l’orientation qu’a prise l’Union Européenne depuis le traité de Maastricht signé le 7 février 1992 et les Traités qui lui ont succédé, je dis : le 123, ça suffit !

    Lors des prochaines élections, JE NE VOTERAI QUE pour un candidat qui s’engage formellement à :

    1 - dénoncer immédiatement l’article 123 du traité de Lisbonne ( lequel interdit les prêts directs de la BCE et des banques centrales nationales au profit des États),

    2 – rendre à la Nation son pouvoir régalien de création monétaire au bénéfice de l’État (pour sortir de l’impasse de la dette publique et de l’impossibilité de financement des investissements collectifs nécessaires et des services publics tels l’éducation, la recherche, la santé, la justice, l’emploi, les transports, les énergies et le logement, etc.)

    3 – donner ainsi la possibilité à la Banque de France de financer directement sans intérêt TOUS nos besoins collectifs.

    4 – œuvrer pour modifier le mandat de la BCE (laquelle doit soutenir l’emploi, prioritairement à la lutte contre l’inflation),

    5 – restaurer le contrôle démocratique sur la politique monétaire (afin de ne plus être asservis aux marchés financiers, c’est-à-dire aux investisseurs privés et à leurs agences de notation),

    Et enfin, engager un référendum auprès du Peuple français sur la question de quitter la zone euro, si dans un délai de 6 mois après son élection il ne peut appliquer ces 5 engagements qui précèdent (pour quelque raison que ce soit),

    Non je ne voterai pas pour un candidat ou un parti qui continueront de soutenir l’indépendance et l’actuel mandat de la BCE !

    Je vous en donne ma parole, je m’y engage … et vous ?



  • A-J Holbecq 1er septembre 2011 18:22

    Un texte de J-P Lefebvre, reçu justement aujourd’hui


    Hollande, le messianique du fluide

      Primaire socialiste : le spectacle fait rage. A peine avait-on fabriqué dans les officines spécialisées du CAC 40 et des médias sérieux (Le Monde, le Nouvel Obs, etc.) la Barbie des sondages qui se prenait pour Marie, qu’elle fut écrasée par le pétulant machiavel de Neuilly. Une (fausse) bonne idée survint alors au PS : on allait donner une leçon de démocratie active, les Français choisiraient eux-mêmes le candidat socialiste. Les Français de droite étaient ainsi conviés à peser dans le choix du candidat de la gauche, une première ! Les électeurs devraient, me direz-vous, signer un engagement à gauche. La belle affaire ! Dans les sondages par les mêmes officines, leur poids réactionnaire pèsera très fort. N’est-ce pas ce qui se passe ? Le CAC 40 a placé loin en tête un  DSK tout dévoué au CAC40, symbole d’imparable éthique et de droitisation sans vergogne des socialistes. Pur produit mitterrandien, DSK dès 1992, exhortait dans une interview les Juifs français à entrer en politique… pour aider Israël ! Inquiété dans les affaires de corruption de la MNEF, il est vite blanchi. Cet économiste extraordinaire qui n’a en tout et pour tout commis que deux médiocres bouquins, est propulsé par Sarkozy lui-même, avec la bénédiction de Wall Street, à la tête du FMI, où il s’empresse non pas de mettre de l’ordre dans la spéculation et de juguler les exactions de la finance casino mais tout au contraire de mettre en place les purges drastiques contre les peuples grecs, portugais, irlandais, espagnols, bientôt français pour combler les abîmes de la spéculation ! Le PS qui n’a pas eu un mot pour stigmatiser le transfuge, se fait complaisamment voler son choix par la même recette médiatique. Mme Bettencourt et M. Bouygues sont ravis : ils auront à la présidentielle deux candidats pour le prix d’un ! La Bourse remonte ! Las ! DSK CSKi, ce modèle d’éthique, souffrant d’une pathologie non soignée, tente d’abuser une femme de ménage guinéenne et connaît la prison. Adieu FMI et présidentielles mais il y a une « justice » (américaine) pour les riches, grâce aux millions de madame DSK Sinclair,  deux avocats hors de prix, spécialisés dans le blanchiment des maffieux, déstabilisent la victime qui avait un peu triché sa feuille d’immigration et téléphoné à un copain en tôle. Quel rapport avec les faits, avec le constat de l’hôpital prouvant l’agression ? Aucun ! Qu’importe, la victime est déboutée !

     Les officines et le CAC40 trouvent immédiatement la parade. Trois jours après l’incarcération du président du FMI, les sondages relancent le petit Hollande comme une fusée : il raflerait à les en croire plus de 50 % des intentions de vote ! Depuis, la gonflette sondeuse lui fait tenir la cote : la droite maligne tient une fois de plus son candidat symétrique, son cheval de Troie. En plus il a maigri. Lissé ses cheveux. Bien appris sa leçon. Pris des cours d’art dramatique. Jusqu’à prendre des airs de matamore pour parler président. On va voir ce qu’on va voir ! On a déjà vu ! Qu’a-t-il fait du PS pendant vingt ans ? Rien. Une serpillière. Un magma. Une pitié ! Sa méthode : celle de sœur sourire, sur son onctuosité huilée, tout glisse. L’image spectacle est formatée chaque matin par ses conseillers. Il en aura d’ailleurs plein de conseillers car il n’a strictement jamais d’idée personnelle, ça se saurait ! Reims, la cacophonie des ego, la défaite de 2002, la liquidation de tout programme de transformation deux avant la crise historique du capitalisme avec sa profession de fois hyperlibérale ! De quoi désespérer  La Courneuve et Normale Sup !

      Il préside avec bonheur le conseil général chiraquien de Corrèze, qu’il y reste donc à compter les pièces jaunes avec sa copine Bernadette, c’est là toute son envergure. L’avion, dans la tourmente économique, a besoin d’un vrai pilote. Pas d’un mannequin automatique, manipulable à loisir par les oligarques, d’une marionnette dont les ficelles seraient tirées par les spéculateurs, d’une girouette à tous les vents soufflant de la Bourse. Avant même la campagne, il leur donne des gages en reprenant les positions de Sarkozy, en ne retenant que le slogan de l’équilibre des comptes, ce très hypocrite discours des nantis. Pas un mot sur les dix points de PIB que ceux-ci ont raflé en vingt ans au salariat.

      Il serait donc bon de participer aux primaires du PS : sur le mot d’ordre TSH, tout sauf ce Fanfan la tulipe artificielle sans l’audace de l’autre, petit moulin batave à moudre du vent. Vous me direz : faut-il vraiment préférer Martine, n’est-elle pas produite par le même ventre mou social-démocrate, n’a-t-elle pas les mêmes origines tontonnes, la même allergie aux transformations profondes que le monde aux abois aurait un besoin urgent d’initier ? L’ami Mélenchon ne s’accroche-t-il pas lui aussi aux vieilles sirènes de l’étatisation mitterrandienne voire soviétophile, au prestige mortifère des bureaucraties impavides ?? Il nous faut bien soutenir le moins mauvais parti, créer les situations où un léger décalage historique, dans cette situation mouvante comme jamais, peut survenir, initiant un sursaut vers l’autonomie affirmée des citoyens. Martine a au moins le soutien de la gauche du PS. Montebourg est contre la mondialisation. Les échéances sont là. La catastrophe des années vingt toute proche, la brouette de billets pour acheter son pain, avec les nouveaux Hitler derrière la porte, prêts à prendre la main. En prime l’oligarchie qui nous détruit la planète, à échéance de trente ans ! Aucune solution n’est proposée qui redonnerait le maximum de poids à la base, aux citoyens les plus actifs de contrôler leur propre avenir. Ils sont pourtant de plus en plus nombreux à n’être plus totalement rivés aux petits écrans de l’oligarchie. Après les splendides efforts des Tunisiens, Egyptiens, Lybiens, Syriens, Yéménites, etc., les jeunes indignés européens montrent l’exemple. Les pistes d’avenir sont là. L’amoncellement de contrôles bureaucratiques des appareils d’Etat est impuissant à empêcher la spéculation folle, l’inégalité monstrueuse, la destruction de la planète, il ajoute au contraire des maux supplémentaires et nourrit un Big Brother menaçant.

     L’humanité est à un tournant, c’est tout le mécanisme autonome de décision démocratique qu’il lui faut reprendre, en le combinant avec la plus extrême rigueur de gestion. Inventer très vite les premières mesures - extension des pouvoirs des CE, comités de quartiers opérationnels - qui mettent à mal les techniques de manipulations oligarques ou bureaucrates, qui instaurent le contrôle vivant actif des citoyens sur la marche des affaires à tous les niveaux, qui réduisent l’écart de la délégation de pouvoir à sa plus petite dimension historique possible. L’autogestion et le dépérissement de l’Etat. Dans l’immédiat, éliminer les candidats historiquement inconsistants ou ontologiquement réactionnaires. Utiliser les présidentielles comme tribune pour promouvoir les solutions autogestionnaires.

     

    JP Lefebvre, Urbaniste, août 2011

     

    A lire, du même, Projet de manifeste pour l’autogestion.

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