Moi j’ai tout lu (fatigué, quand même).
En résumé : les militaires américains nous ont sauvés des folies d’Obama, ce prix Nobel de la paix moncul, qui voulait encore une petite guerre.
Ça c’est amusant.
Ensuite, la ligne rouge a bien été franchie, et il eut été logique que le responsable en soit sévèrement puni.
Ça aurait du être Assad, manque de pot, c’était Erdogan (nous l’avions compris le jour même, ici et à Mediapart, du moins pour ce qui concerne les commentateurs). On ne peut quand même pas aller taper sur la gueule d’un allié de l’Otan (on peut par contre se poser des questions sur la nécessité d’inviter à rejoindre l’Europe un fauteur de guerre, tout comme on peut difficilement pardonner à Hollande d’avoir voulu nous entraîner dans cette voie hyper-dangereuse, celle qui nous menait naturellement à un conflit nucléaire avec l’Iran).
Bref, Poutine a été bien gentil d’offrir une porte de sortie à ce pitre d’Obama et à cette andouille de Hollande : moi, je les aurais laissés dans leur merde.