Legestr glaz

@pemile

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@Eric F

La virologie est une escroquerie parce qu’elle ne respecte pas les standards de la méthode scientifique.

Dans un « sophisme » seule la première proposition peut être fausse alors que toutes les autres sont correctes. La virologie est un sophisme. La première proposition est fausse parce qu’elle est obtenue à l’aide de moyens non scientifiques.

Commentez donc les 7 points qui suivent au lieu de vous égarer. Les virologues, eux, savent que les méthodes qu’ils utilisent ne respectent pas les standards de la méthode scientifique. Et dire que l’on reprochait à certains de ne pas réaliser d’études « randomisées » en double aveugle. En virologie, elles n’existent pas ces études ! 

1. Les virologues interprètent la mort des cellules en laboratoire comme virale

2. Les virologues assemblent mentalement les informations génétiques les plus courtes des cellules mourantes pour former un très long brin génétique, qu’ils produisent comme le brin génétique d’un virus.

3. Pour l’alignement d’un virus, les virologues ont toujours besoin d’un brin génétique donné d’un virus. Pour cela, cependant, ils utilisent toujours un brin génétique généré génétiquement/informatiquement et jamais un vrai, un trouvé dans la réalité.

4. Les virologues n’ont jamais vu ni isolé de « virus » chez les humains, les animaux, les plantes ou leurs fluides. Ils ne l’ont fait qu’en apparence, indirectement et uniquement au moyen de systèmes cellulaires très spéciaux et artificiels en laboratoire.

5. Les virologues n’ont jamais isolé, caractérisé biochimiquement ou obtenu leur supposé matériel génétique à partir des supposés virus qu’ils photographient à l’aide d’images au microscope électronique. Ils n’ont jamais mené ni publié d’expériences de contrôle pour savoir si, après avoir isolé ces structures, il était effectivement possible de détecter des protéines « virales » (l’enveloppe du virus) et, surtout, le génome viral, censé être le noyau central

6. Les virologues signalent des artefacts typiques de tissus/cellules mourants et des structures typiques qui apparaissent lorsque les propres composants de la cellule tels que les protéines, les graisses et les solvants utilisés sont tourbillonnés, sous forme de virus ou de composants viraux. Ici aussi, il n’y a pas d’expériences de contrôle avec des cellules/tissus qui n’ont pas été infectés mais qui ont également été traités.

7. Les soi-disant tentatives de transmission que font les virologues pour prouver la transmission et la pathogénicité des virus suspectés réfutent toute la virologie. Évidemment, ce sont les expériences elles-mêmes qui déclenchent les symptômes, ce que les expérimentations animales fournissent comme preuve de l’existence et de l’efficacité des virus suspectés. Ici aussi, il n’y a pas de tentatives de contrôle dans lesquelles exactement la même chose est faite, uniquement avec du matériel non infecté ou stérilisé.

@pemile

Vous allez nous donner une petite liste de virologues qui ont sauvé des vies, et comment ils l’ont fait. Vos amis virologues vous seront éternellement reconnaissants.

Quant aux autre sujets, le méthylglyoxal, le système glyoxalase, la glycation non enzymatique des protéines, voire le système endocannabinoïde, tout ceci est parfaitement « étranger » aux fantastiques virologues qui, chaque jour, sauvent des vies. N’est-ce pas pemile ? Soutenez leur travail, ils sont tellement compétents !

Et puis, si vous pouviez avoir à l’esprit « de quoi » meurent les gens, généralement, vous pourriez comprendre pourquoi le travail des virologues est totalement inutile.
... «  La majorité des décès se répartissent entre un nombre restreint de causes : maladies cardiovasculaires, cancer, maladies de l’appareil respiratoire, accidents, actes de violence et démence. »...
... «  En 2019, sept des 10 principales causes de décès à l’échelle mondiale étaient des maladies non transmissibles. Elles ont été responsables de 44 % de tous les décès enregistrés, et de 80 % des décès provoqués par les 10 principales causes de mortalité. Par ailleurs, toutes les maladies non transmissibles prises ensemble ont été responsables de 74 % des décès survenus dans le monde en 2019. »...

@pemile

C’est effectivement « toute la virologie » qui est fausse. Les « virologues » ne sont d’aucune utilité pour protéger la santé des populations. Ils ne servent à rien. Ils vivent sur l’imaginaire collectif.

@pemile

Vous voulez « protéger la santé des populations » pemile ? Alors, ce n’est pas de la vaccination qu’il doit être question, ni des « virus », mais de la formation des AGEs et du méthylglyoxal. De la sur-consommation de glucides, ce que, « pourtant », « nozotorités » nous incitent à faire dans des « recommandations » absolument mortifères ! 

... " La glycation fait référence à la liaison covalente de molécules de sucre à des macromolécules, telles que l’ADN, les protéines et les lipides, dans une réaction non enzymatique, entraînant la formation de produits liés de manière irréversible appelés produits finaux de glycation avancée (AGE).

Les AGE sont synthétisés en grandes quantités à la fois dans des conditions pathologiques, telles que le diabète, et dans des conditions physiologiques entraînant le vieillissement. Les mécanismes de défense anti-glycation de l’organisme jouent un rôle essentiel dans l’élimination des produits glyqués. Cependant, si ce système de défense échoue, les AGE commencent à s’accumuler, ce qui entraîne des conditions pathologiques.

Des études ont montré qu’une accumulation accrue d’AGE agit comme médiateur clé dans de multiples maladies, telles que le diabète, l’obésité, l’arthrite, le cancer, l’athérosclérose, la diminution de l’élasticité de la peau, la dysfonction érectile masculine, la fibrose pulmonaire, le vieillissement et la maladie d’Alzheimer.

De plus, la glycation des nucléotides, des protéines et des phospholipides par les métabolites de l’α-oxoaldéhyde, tels que le glyoxal (GO) et le méthylglyoxal (MGO), provoque des dommages potentiels au génome, au protéome et au lipidome.

La Glyoxalase-1 (GLO-1) fait partie du système de défense anti-glycation en effectuant la détoxification du GO et du MGO. Il a été démontré que GLO-1 protège les modifications dicarbonylées du protéome et du lipidome, entravant ainsi la signalisation cellulaire et affectant les maladies liées à l’âge. Sa relation avec la détoxification et la défense anti-glycation est bien établie. La glycation des protéines par MGO et GO entraîne un mauvais repliement des protéines, affectant ainsi leur structure et leur fonction. Ces résultats prouvent que la modulation fonctionnelle de la voie GLO pourrait être utilisée comme cible thérapeutique potentielle. Dans la présente revue, nous avons résumé la littérature nouvellement apparue sur la voie GLO, y compris les enzymes régulant le processus.